Re: Ezekiel Haesen ; Croque pantoufle [UC]

Stephy Jeu 28 Mar - 5:37

Ezekiel Haesen ; Croque pantoufle [UC] Mypictr_280x210_zpse67fff55

Ezekiel Haesen ; Croque pantoufle [UC] Mypictr_280x100_zps53a937b0

Ezekiel Haesen ; feat Kurosaki Ichigo. Né le 3 janvier 1925, j'appartiens à la Lower Class, où j'y joue le rôle de Valet Royal. Je suis arrivé à Cloverfield il y a 8 ans de cela et j'ai maintenant 16 ans. Je suis coupable et adepte de luxure et d'envie, je me présente sous le totem du lion.

✝ Craignez toujours les monstres ✝
Pas ceux qui se trouvent sous votre lit, mais ceux qui tentent de se glisser à l'intérieur.

❝ I ndubitalement social, j'ai probablement approché chacun d'entre-vous, pauvres orphelins de Cloverfield, à au moins une occasion depuis votre arrivée. Fille ou garçon, j'ai pris l'habitude de parler avec les autres sans me poser de question et ce, peu importe votre rang ou votre statut. Sympathique ? Oui, sans aucun doute, je souris, je ris, je vous indique même gentiment le chemin menant à la pièce que vous tentez de rejoindre lorsque vous êtes perdu. Bien entendu, il n'est pas certain que mes intentions ou le chemin soient bons. Cela dit, les plus mignons auront droit à quelques avances de ma part, je ne suis pas du genre subtil d'ailleurs, ni discret et c'est bien connu, je suis un séducteur. Je suis un croqueur de fruit oui, peu importe s'il sont mûrs ou pas. Si vous me plaisez, vous le saurez, avec moi le jeu de la séduction est relativement clair et comme le temps à tendance à s'emballer dans le coin, moi j'ai tendance à le laisser m'influencer. Certain vous dirons que j'ai simplement perdu la boule, après tout c'est peut-être vrai, mais d'autres y crois sincèrement. Mon avis sur la chose ? Rien, je n'aime pas avoir d'opinion, penser n'est pas mon fort. Moi, je préfère parler ou agir, la réflexion je la laisse aux autres, ils sont meilleurs que moi. Alors ne me demandez surtout pas si je culpabilise lorsque je dévore un fruit lors de notre première rencontre, de force évidemment, ou encore si ce sont les remords qui me poussent à être plus tendre avec un autre, le lendemain. Je n'en ai aucune idée, le temps agis simplement sur moi. Un instant je prend mon temps, je charme tout en patience, puis tout s'emballe dans ma tête et je me retrouve trempé de sueur sur le corps de la dite personne, voir d'une autre, souvent en train de saigner sous ma violence. Mais les remords, ça non, jamais. Sauf si ça le concerne lui... Lucifel, notre prince.

Ce qu'il faut savoir, d'ailleurs je ne m'en cache pas, c'est que je suis littéralement obsédé par Lucifel. En fait, je ne vis que pour lui, du moins je le crois. Tout s’emmêle dans ma tête depuis la disparition des adultes, mais pas ça. Pas ma loyauté pour lui, ma dévotion, mon affection, mon amour oui ! Il est MON prince, depuis bien avant le changement, il occupe mes pensées presque en permanence et lorsque je prend un fruit dans le panier qui lui sert de peuple, c'est vers lui que mes pensées se tendent. Je ne considère pas ma dévotion comme malsaine, c'est tout simplement ainsi. Pour lui je suis prêt à tout; souffrir, disparaitre, mourir, venger, tuer même. C'est d'ailleurs pour toutes ses raisons que je suis ce que je suis, soit son valet. Est-ce que je rêve de plus ? Pas d'un rang du moins, grimper dans la hiérarchie n'a rien d'intéressant à mes yeux, en fait tout ses petits jeux d'aristocratie m'ennuie. Non, moi ce que je cherche à atteindre, c'est la symbiose avec Lucifel, qu'il ait autant besoin de moi, que moi de lui. Je veux que la seule personne qu'il voit, à qui il pense, ce soit moi. Je veux devenir son univers, la source de tout ce qui l'atteint, le bien comme le mal.

De ce fait, je joue souvent avec le feu. Car si l'on veut devenir tout pour une personne, on en peut décidément pas se contenter de faire son bonheur. Qui serait alors la cause de son malheur ? De ses colères ? De ses frustrations ? Il ne peut y avoir que moi, alors je vous laisse deviner combien je travail fort pour arriver à hanter toutes ses pensées. Un moment docile, obéissant et attentionné, je mérite ma place il ne faut pas en douter, mais il n'y a rien d'étonnant à ce que je devienne impoli ou trop audacieux celui d'après, afin de mériter ses foudres, de subir sa colère. Les récompenses valent tout autant que les punitions, lorsqu'elle vienne de mon prince. Mon oeil droit en est une excellente preuve, car on pourrait croire, à tort évidemment, qu'après s'être fait crever un oeil je me montrerais plus prudent avec le prince, mais non. Il m'en reste un après tout et vous l'avez deviné, je suis d'un naturel plutôt optimiste. Et s'il voulait le crever aussi ? J'apprendrais à le servir dans le noir le plus total, je le jure sur ma vie.

Ah et puis vous savez, ce n'est pas parce que je suis sympathique que vous devez vous y fier. En fait, je suis aussi très impulsif et je change d'avis souvent. C'est comme avec le temps, vous vous rappelez ? Il change, il tourne, avance, recule et moi, je fais pareil. Nous ne serons donc jamais réellement amis, sauf si vous étiez là avant le grand changement. Avec eux, étonnement, je me sens moins éparpillé dans ma tête. Le temps tourne moins dans tous les sens, pareille pour mes pensées. C'est plus facile. Aucune idée du pourquoi, autrefois j'ai cru que c'était parce qu'ils étaient morts avec moi, mais comme je suis encore vivant, j'ai cessé de chercher. Ça me donne trop mal à la tête.

Cela dit, si mon amitié n'est pas coulé dans le béton, ma haine peut l'être sans aucun mal. D'un naturel jaloux, voir maniaque sur les bords, je ne tolère pas les rivaux dans la quête à l'obtention de l'affection de Lucifel. Puisqu'il est prince, j'avoue que cela pose un peu problème. Tout le monde s'incline devant lui, mais je vous rassure, je ne m'attaque qu'à ceux qui le regarde plus de trente secondes, avant ce délai, je me montre compréhensif. Après tout, il mérite que vous le regardiez, que vous l'aimiez, que vous faisiez tout pour lui, mais il est tout simplement hors de question que quiconque l'approche de trop près, pas si je suis là. Et croyez moi, il y a toutes les chances pour que ce soit le cas. En fait, je ne me retire que si mon prince le demande. Bref, je peux devenir violent, fou même, mais ça ne dure jamais longtemps. Dès les premières gouttes de sang, je sais m'arrêter, mais si vous persistez à vouloir me 'voler' MON prince, il y a toutes les chances pour que je revienne plus tard, vous faire saigner à nouveau. De ce fait, je plaide coupable quand il s'agit de sadisme. Faire du mal aux autres ne me rebutent pas, en fait il m'arrive même de trouver ça très distrayant, comme pour la dégustation de fruit tien ! De plus, si vous attirez trop l'attention du prince, vous l'aurez cherché, ne l'oubliez pas.

✞ Méfiez vous du temps ✞
À trop le surveiller, on le gaspille, à ne pas lui porter attention, il nous échappe. Quelle pute.

❝ Q u'est-ce que je pense de la royauté ? Elle est sacrée, intouchable même. Comme MON prince en est le chef, car à mes yeux la princesse n'a pas la moitié de son pouvoir ou de sa prestance, que voulez-vous on doit tous faire des choix, la royauté est vital à mes yeux. Quiconque voudrait la renverser ne serait qu'un pauvre fou méritant que je me lance à sa gorge. On ne touche pas la royauté, on la subit de plein gré. Que pensez-vous de l'Aristocratie ? Une belle perte de temps et d'énergie, sans parler d'attention de la part de Lucifel. La plupart d'entre eux ne doivent même pas savoir comment respecter RÉELLEMENT un prince, ils se contentent de lui donner raison ou de faire leur caprice. Aussi bien dire que ceux-là, je ne les porte pas dans mon coeur. Ils ne connaissent pas toute la profondeur du dévouement, leurs objectifs étant trop personnel. Quel est votre sentiments sur Le Sycophante et les Remords ? Eux, ils me fichent la frousse. C'est viscéral, je ne cherche pas à comprendre, mais ils me font sincèrement peur. J'évite le plus possible de les croiser, de leur parler, de les voir oui ! Au début, je faisais même des cauchemars à leur sujet, maintenant ça va mieux, mais je ferais tout pour éviter d'avoir à m'y frotter. Quel est l'investissement de votre personnage dans la course aux privilèges ? Nul. Je ne vois pas l'intérêt de gagner des privilèges, j'ai déjà tout ce qu'il faut et si j'ai besoin de plus, je sais comment l'obtenir. Oh, à moins que ce ne soit ça, la course aux privilèges ? En fait je m'en fiche, moi tant que Lucifel accepte que je le touche et de me toucher... au diable le reste.

Stephy Jeu 28 Mar - 5:37

Ezekiel Haesen ; Croque pantoufle [UC] Fotor032844922_zps73fce65e

Ezekiel Haesen ; Croque pantoufle [UC] Fotor03284510_zps49885569

☨ Les enfants ne grandissent pas ☨
Leurs corps deviennent plus grand et leur coeur, plus tordu encore.

❝ Ma mère s'appelait Wendy et mon père... mon père c'était dieu qu'elle disait. Évidemment, petit j'y croyais, si Marie la sainte vierge avait pu mettre au monde un gamin, sans l'aide de Joseph, pourquoi ma mère n'aurait pas eut le droit d'avoir un môme toute seule aussi hein ? C'était tout con en fait, mais j'y ai longtemps cru. Parce que ma mère était gentille et qu'elle aimait me caresser la nuque, là où les cheveux sont toujours plus fins et qu'ils se tordent légèrement, comme pour attirer l'attention. J'aimais qu'elle me touche, elle ne le faisait pas assez que je me disais, pas comme le couple de voisin qui prenait soin de moi la nuit, alors qu'elle allait vendre des fleurs. Ma mère disait que les fleurs embellissait le coeur des gens, en même temps que leur demeure. Tout ce qu'elle me disait me semblait poétique, féérique, magnifique oui. Je l'adorais oui et même lorsqu'elle rentrait avec le visage rouge de fatigue, les vêtements pêle mêle et les yeux humides, je me cramponnais à cette histoire de fleur. Qu'importe au fond qu'elle ait vendu son corps, je l'aimais pour sa façon de m'aimer sans exiger en retour. Je la trouvais belle ma mère, dans sa façon de parler, mais aussi dans sa façon d'être. Encore aujourd'hui, il m'arrive de songer à elle, de me demander si elle va bien et si elle vend toujours ses fleurs.

Quant à nos voisins, c'était un couple gentil, mais très affectueux, trop même. L'homme, Edward, aimait que je l'embrasse sous le ventre, ça aussi je m'en rappelle très bien. À cette époque, ça ne m'emballait pas tellement, à vrai dire encore aujourd'hui je doute que des organes adultes me fasse réellement plaisir à voir, mais j'étais un enfant docile dans ce temps là. Sa femme, Sue, aimait me faire la même chose et je trouvais ça bizarre, mais pas désagréable. Il y avait des soirs où je me retrouvais seul avec Edward, d'autre avec Sue, mais la plupart du temps, ils m'amenaient au lit avec eux. Ça ne me dérangeait pas vraiment, ils savaient comment me chatouiller et puis j'aimais beaucoup la bouche de Sue. Puis il a fallut que maman découvre ce qui se passait, aujourd'hui je comprend pourquoi ça l'a choqué, mais autrefois ça m'a surtout brisé le coeur. Parce que même si parfois je les trouvais étouffant, au sens littéral de la chose avec Edward, je les aimais bien lui et Sue. C'est là que j'ai été envoyé a Cloverfield, ma mère croyant que cela vaudrait mieux pour moi, que sinon je deviendrais fou, que je serais perdu et damné. Je trouve ça légèrement ironique venant de la part d'une femme qui vendait son corps, mais je n'ai pas eu mon mot à dire et à huit ans je rejoignais les rangs des orphelins.

Ça n'a pas été facile de passer de maman, bien qu'elle soit souvent absente, à un personnel se contentant du stricte minimum en soin. Heureusement il y avait les autres enfants et comme je n'avais pas eu de frère ou de soeur, que mes relations se limitaient la plupart du temps à Sue et Edward, j'ai tout de suite été emballé par l'idée d'une proximité permanente avec des jeunes de mon âge. Sauf que mes jeux n'avaient rien à voir avec les leurs, certains trouvaient ça dégoûtant et on m'a souvent punis pour n'être qu'un -et je cite- petit pervers. Au début je n'aimais pas, puis avec le temps... on se fait à tout hein, mais pire, parfois on apprend à aimer. La fessée ne m'a pas longtemps rebuté, aussi c'est debout dans un coin que j'ai trop vite eut à subir mes punitions. Là, c'était moins drôle. Puis le temps à passer et Zeke le dégoûtant est simplement devenu Zeke le flamboyant. Ah bah oui hein, pas de demi mesure pour moi, soit je suis pourris jusqu'à la moelle, soit je suis un joyaux, pas de juste milieu. Il faut dire qu'avec les années, mes petits jeux tordus avaient finis par devenir au goût des autres. Comme quoi ça a du bon d'être en avance sur son temps, car bientôt c'est moi qui jouait les professeurs en douce.

Puis il a fallut que tout cesse, que le plaisir tout simple que je tirais des échanges physiques avec des jeunes de mon âge, plus jeune aussi de temps à autre -ou vraiment mal pris- se tarisse. Maintenant je comprend pourquoi c'est ainsi et je ne regrette rien, mais la première fois que j'ai croiser le regard de Lucifel, qu'il c'est joint à nous pour venir rire de nos blagues et s'imposer dans notre groupe d'ainé, j'étais loin de comprendre. Évidemment, ce n'est pas ce jour là que mon obsession pour sa personne est né, il a fallut attendre que je le coince seul un soir après la classe, alors que je savais que pas un adulte ne repasserais avant quelques heures, pour ça. Il a fallut que je lui vole sa virginité, que la lui dérobe sans délicatesse, dans le sang et la douleur, dans mon plaisir et mes gémissement. C'est là que mon obsession est né, c'est là, quand j'ai croisé son regard alors que je nettoyais son sang sur mon propre corps, que j'ai enfin compris qu'il était ce que j'avais toujours attendu, ma moitié, ma raison de vivre.

Bien entendu, ça personne ne pouvait le comprendre, pas même le dit intéressé. Il m'a fuit durant presque deux mois, évitant d'être seul avec moi, pire, d'être à côté de moi. Ça a été de la pure torture, tellement que j'en étais venu a le suivre partout, sans même le réaliser. En fait, Lucifel était devenu le centre de mon univers, c'est lui que mes yeux cherchaient dans la foule, c'est son nom que mes lèvres chuchotaient lorsque je somnolais et c'est son parfum que je cherchais en vain dans les airs. Puis il m'a libéré, il est venu a moi et il a prit conscience de ce que j'étais, du moins je le crois. Parce qu'il ne voyait peut-être pas sa moitié en moi, mais il avait au moins compris que je lui donnerais tout ce que j'avais, pour peu qu'il m'offre de sa personne. À ce moment là, c'était presque une monnaie d'échange je crois... puis les choses ont changés.

Je me rappelle vaguement la maladie de tout le monde, la douleur, l'inquiétude. Je me rappelle le froid, le visage pâle de Lucifel, mon si cher Lucifel. Puis moi aussi, allongé dans un lit, les os douloureux, le ventre crispé sous la faim, sous les vomissements, puis plus rien. J'aurais du mourir, j'en suis persuadé, mais les horloges ont repris leur courses, pas nécessairement correctement, mais au fond ce ne sont que des détails. Moi aussi, j'ai repris ma course, tout aussi incorrectement que les aiguilles des horloges et la vie à reprit, sans les adultes. Au début je trouvais ça étrange, mais puisque Lucifel semblait ne pas s'en inquiéter, j'en ai fait de même, puis il y a eu les élections et j'ai décidé d'oublier. À moins que ce soit la faute des horloges, parfois je m'égare encore, je dois cesser de les regarder, on passe son temps à me le dire, sauf que le temps ne va pas bien et ma tête non plus.

Cela dit, ce n'est pas non plus très important, car Lucifel, MON Lucifel, est devenu le prince. Qui a besoin d'adulte, quand Lucifel est prince hein ? Sans parler que comme le temps ne s'égraine plus correctement, que ma tête passe dans le brouillard a la lumière sans arrêt, j'ai réalisé que mon voeu le plus cher deviendrait réalité : être à jamais réunis avec Lucifel. Moi qui suis plus âgé, j'aurais du quitter l'orphelinat plus tard au courant de l'année, me trouver un emploi dans un atelier près d'ici et j'aurais perdu tout contact avec mon prince. Or, les adultes disparus et le temps ayant perdu la tête, j'ai cette délicieuse impression que je vais pouvoir profiter pleinement du temps alloué. Mais alloué par qui, par quoi ? Ça me fait peur rien que d'y penser... c'est pareil avec les 'entités' qui hantent maintenant l'orphelinat. Évidemment je n'en ai pas parlé longuement avec Lucifel, mais je déteste ses choses, elle me rappelle mes cauchemars d'enfant et franchement, je ne tiens pas à devoir m'y frotter. Si seulement ses choses pouvaient partir et me laisser conquérir entièrement l'univers de mon petit prince.

Ezekiel Haesen ; Croque pantoufle [UC] Fotor032864929_zps2b919255

Chupa Choops pour vous servir ! Alors j'ai 25 ans, je suis une vieille mémé en puissance et je l'assume he he ! Je suis une fille, sinon j'aurais sûrement dit pépé. Sinon, Zeke est mon premier & unique compte. Et puis j'ai connu le forum grâce au fameux prince tien, vive Kana, vive toi. XD Quant au forum, je le trouve cool ! Sincèrement tout est bien expliqué et puis le concept est awesome, j'ai hâte de RP !