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Hildred [SH]

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Message  Stephy Mer 23 Juil - 22:27

Hildred-Maddox Humphrey
I could give you love but it won't be enough. I'll never allow your heart to break, no I can't be your everything and I'll always be this way.
Dossier scolaire
◇ nom : Toi, t’es un Humphrey, un vrai. Le sang allemand coule à peine dans tes veines maintenant, mais ton nom est là pour rappeler à tout le monde que malgré tes cheveux et ton affection pour le thé, ton grand-père paternel avait bel et bien les cheveux blonds et les yeux clairs. En attendant, la signification de votre nom, soit « guerrier pacifique », te va quand même comme un gant. ◇ prénom : Hildred, parce que c'était le prénom de ton grand-père et que oui, les Humphrey sont le genre de famille à redonner de vieux noms déjà tout usés à leur gamin. On est vieux jeu ou on ne l’est pas quoi. Puis Maddox, parce qu'il y a une certaine justice en ce monde et qu’il te fallait bien un prénom pas trop moche et au sens trop mignon pour maman, soit « le fils de la bonne fortune ». C'est très poétique, mais franchement, c’est pas avec ça que tu vas pécho, t’es pas con non plus. ◇ âge, date et lieu de naissance : 20 ans, né le 12 juin à Bristol, que tu ne quitteras probablement jamais, dans une banalité à toute épreuve. ◇ lieu de résidence : Bristol, encore et toujours. Plus précisément dans un quartier assez banal, voir pauvre pour pas mal de gens, dans ta maison clone. Parce que faut pas non plus mentir, quand tu bois trop, t’as du mal à rentrer hein. Après, fallait quand même être con pour créer un quartier avec des maisons identiques sur tout un pâté de maison, bonjour le bordel pour trouver la bonne serrure. ◇ nature du sang : Parait que t’es un « né-moldu », mais toi t’as surtout envie de dire « normal », soit rhésus A+, la norme quoi. Après, toi t’es d’avis que pour avoir le sang « pur » faut être victime de consanguinité, donc forcément aussi trisomique que le chat que t’as un jour eu, celui qui est mort dans le ruisseau à côté de la maison. Mouais, tu t’es toujours dis que du lot d’élève de Poudlard, valait toujours mieux être plus humain que triso, mais ça c’est ton avis, parce que le monde des consanguins pense différemment. (En même temps, vu leur état mental, t’es pas trop étonné.)

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◇ maison : Tous les nés-moldus vont à Grindlemonk et toi, Hildred dit Red par tes potes, tu n'as pas fait exception. Le truc, c’est que tu n'y es pas allé en criant ton indignation, tu n'as pas non plus porté plainte, non non toi, tu t'es contenté de faire ton sac et de quitter les serdaigles sans même sourciller. Pourquoi ? Parce que hurler, pleurer ou péter ne changerait rien à la situation, sauf de te foutre une honte sans nom. Or, ton sang ne mérite pas que tu ais honte, ça hors de question. Les gens ont pu rire, lancer des insultes, toi tu t’es toujours considéré au-dessus de tout ça et si ça a été une marche honteuse pour la plupart de tes camarades, toi tu l’as pleinement assumé. Pourquoi avoir honte d’être dans une famille de sang clean hein ? Au revoir les triso, bonjour le parc à bétail, t’as encore du mal à décider ce qui est pire finalement mais tant pis. ◇ occupation : Élève de 3ème année universitaire, cursus de soin aux créatures magiques, mais en fait ce que tu espères de tes études n'a rien à voir avec les « soins » fait aux créatures magiques, à moins qu’on parle d’un bon coup de maillet, là ouais t’es intéressé. Non, c’est plutôt les moyens possibles pour les éliminer qui t’intéressent. Ce n’est pourtant pas que tu sois d'accord avec le braconnage ou d’avis que les animaux n’ont aucun droit, même si tu n’as rien à foutre des hippies quoi, mais un animal dangereux est toujours mieux empaillé, c’est vachement plus mignon. Juré. Tu n'es pas cruel, tu es pragmatique, ça fait d’ailleurs déjà quelques années que tu tentes de le faire comprendre à Penny la hippie parce que y’a une putain de différence entre les deux quand même. Si elle, ça l’amuse de se balader dans la même forêt que trois loups garous, boire dans même rivière qu’un dragon, toi tu trouves ça con. Chacun son avis, mais évidemment le tien est plus logique. Juré. ◇ composition de votre baguette : Faite de bois de noisetier , elle mesure 32,5cm et contient un crin de licorne, ce qui en fait une baguette sensible à tes émotions et tes humeurs, un peu comme une copine avec une autre qui a ses règles. Ha ha ha, ahem. Disons que quand tu es en colère, ta baguette envoie de petites décharges électriques à qui osera la toucher et même, elle n'est pratiquement pas utilisable pour les autres, toi tu dirais pas du tout, mais y’a des cons partout c’est prouvé. (Et puis qui dit triso… bref.) Ça te plait, évidemment, qu'elle te soit autant fidèle et comme on t'a répété à plusieurs reprises qu'une baguette de ce genre meurs avec son sorcier, tu en prends grand soin. Trop soin même, parce que s'en est presque maladif, tant tu la polis, tant tu la tiens fermement (et pas de mauvaise pensées ici hein). En fait, tu lui a même donné un nom « Cadabra », mais peu de gens le savent, parce que ça ne les regardent pas. (Tout comme cette partie de toi qui a hérité du premier « Abraca » comme nom, AHEM.) ◇ La forme de votre patronus : Si plusieurs de tes camarades espérais un patronus fort, menaçant ou super viril, toi tu n'as pas bronché quand un petit oiseau c'est dessiné devant toi. En fait, tu l'as trouvé plutôt mignon pour un bout de volaille et tant pis si ça en a fait rire certain, toi tu t'es contenté d'un petit sourire entendu. Les parulines couronnées sont des oiseaux tout ce qu'il y a plus de respectable après tout, toi tu n'as pas à sortir un ours pour te sentir homme devant les filles du château, ton oiseau riquiqui fait largement l'affaire. Après, c’est quand même pas ton problème à toi, si certains se sentent diminuer hein, toi tu as tout ce qu’il faut pour assumer un moineau. ◇ A quoi ressemble l'épouvantard : C’est con, mais c’est toi que tu vois. Un toi que tes parents adoreraient avoir un jour, un toi avec des cheveux court et parfait pour aller avec le boulot de bureau qu’ils rêvent de te voir posséder. Un toi avec un costume banal, un regard banal et une mallette banal à la main. Pas de cigarette en vue, pas de veste de cuir, pas de regard blasé ou intelligent, non ton épouvantard c’est un toi abrutit par la vie et vide d’émotion, de sensation. › Votre camp officiel : [] Le Cercle [] Mangemort [] Ordre de Woodcroft [x] indécis › Pourquoi choisir ce camp : Ce n'est pas que tu sois réellement indécis, en fait c’est surtout que tu n’as rien à foutre de l’ordre, parce que niveau choix, c’est le seul que toi et les autres « normaux » possédez. Or, tu n'en vois pas l'intérêt, pourquoi perdre du temps à défendre une cause qui ne s’intéresse pas réellement à toi, à grand cri ou à coup de pied ? Eh bah non, très peu pour toi, mener ta propre vie, faire ton bout de chemin et assumer tes actes, sans avoir à t'inquiéter de ce que le autres en pensent, ça te va parfaitement. De toute manière, tu n’as jamais été très « meute », toi tu aimes avoir la paix et si tu n’as pas l’âme d’un leader, tu n’as rien du mouton. Chiant ? Probablement, raison de plus pour ne pas te joindre à un gentil club, du reste si ça dérange quelqu’un, Bristol t’auras au moins appris à te défendre. › Position sur la nature du sang & sur la création de Grindlemonk : Bien que le sang ne soit pas ta priorité à Poudlard, tu as toujours eu ton propre avis sur la chose : moins de sang magique un individu possède, moins ils possèdent de façon de venir te faire chier, c’est relativement simple. Es-tu un anti-sang-pur ? Pas à ce point, mais tu es du genre à te méfier des enfants nobles, parce que toutes ses années au château t’ont appris que les sorciers les plus purs, sont aussi souvent les plus fous et les plus vicieux. Ils sont tous un peu comme ce roi qui était fou, à force de consanguinité, tout ça est logique quoi. Quant à la création de la maison des nés-moldus, tu ne t'y étais assurément pas préparé, parce que comme ton amie Penny, tu considères la cabane qu'on vous a construit, comme un parc à bétail où on vous entasse en attendant de vous faire la peau. Le problème, c'est que toutes les autres maisons ne sont pas du même avis, qu'il reste des élèves de sangs-mêlés à travers Poudlard ou même, des purs qui n'ont pas été suffisamment atteignent par la pureté de leur sang et qui ne cherchent pas encore à quelle sauce ils vont te manger. Du coup, tu te trouves peut-être dans le parc à bétail, mais vous êtes plus futés que des vaches et vous possédez, vous aussi, la magie. Au final, qui sont les vrais dindons, eux ou vous ? Eux, évidemment. ◇ détails à communiquer : Un jour on a fait une caricature de toi, sans te demander ton avis bien sûr (qui serait assez con pour vouloir d’une caricature hein), et le résultat a été assez probant : tu es une cheminée. Bah voilà, c’est ça ton vice, ton addiction, ta dépendance, ton trou dans ton compte en banque : tu fumes et t’adore ça. En fait, c’est presque malsain tellement tu aimes ça, c’est mieux que les femmes et plus gouteux que les petits plats de maman. C’est simple, t’as toujours le temps pour une cigarette, TOUJOURS. Mais qui dit bâton de la mort, dit haleine de merde, du coup en plus d’être accro de tes bâtons de poison, t’as aussi développé un goût développé et tout particulier pour la gomme à mâcher à la cerise. Du coup, ouais, tu goute le bonbon et ce n’est pas pour te déplaire.

Histoire d'une vie
Avant Red, il y avait Hildred, un petit garçon existant bien avant le rouge, un enfant d’une autre couleur. Tout d’abord celle que tes parents ont tentés de te donner, à coup de nuance calme et tempérée, de reflet mature et réfléchis. Ils n’espéraient pas un Red, eux, ils visaient plutôt le bleu ou le beige, quelque chose passe-partout, quelque chose de calme, de doux, de posé. Ils se sont fait baisés évidemment, comme la plupart des gens qui tentent cette belle expérience que l’on nomme la vie, comme toi quoi. Oui, avant que tu deviennes ce type au sourire en coin, celui aux doigts un peu jaunis par la nicotine et à l’haleine de cerise, avant que tu sois le garçon ne sachant pas avoir une relation stable avec le sexe opposé et au code moral propre à sa personne, tu as été Hildred le gamin. Gauche, pas très mignon même, tu n’avais que ton intelligence pour te défendre, ça et ton obstination, le tout hérité de tes parents. Parce que même si tu as toujours été conscient qu’ils avaient un balais enfoncés bien loin dans l’arrière train, ils ne t’ont pas apportés que du négatif, la preuve se trouve d’ailleurs dans tes quelques séjours à la maison durant les vacances, parce que si tu ne les aimais pas un minimum, tu n’y retournerais pas. Voilà le gamin qu’ils ont élevé, un type pragmatique, réaliste et réfléchis, mais chiant et toujours confiant. Sauf que voilà, en grandissant tu as aussi développé ta propre idée sur le monde et si tu peux accepter l’idée qu’ils soient tous les deux aptes à vivre une vie banale et sans rebondissement, tu as vite compris que ça n’était pas fait pour toi. Mais avant que la magie ne s’annonce clairement en toi, avant que cette fameuse lettre vienne te délivrer de ce quotidien ennuyant qui était le tien, il y avait eu Penny, la voisine.

Ta famille n’a jamais été adepte du voisinage, en même temps, même toi tu n’as jamais été un enfant très sociable, alors pas la peine de les blâmer, tu n’oserais pas. De ce fait, tu n’as pas fait la connaissance officielle de ta voisine avant vos cinq et six ans, oh tu l’avais bien remarqué avant, mais avec ses cheveux tout emmêlés et son regard perçant, tu avais toujours préféré l’éviter. Bon, ça c’était évidemment jusqu’à ce qu’elle prenne ton chat, TON Earl, ta bestiole de compagnie quoi. Le chat avait toujours été assez débile, le genre de minet à LE chêne pour ensuite miauler pour qu’on vienne le récupérer ou encore à lécher les cailloux dehors, mais tu l’aimais bien. T’y pouvais rien, t’y avais été conditionné, comme il était plus petit et plus con que toi, tu le protégeais et là, dans les bras de la gamine des voisins « sauvages », tu l’avais cru en danger de mort. Tu avais donc exigé ton chat, mais sans succès et puis même si l’idiot braillait dans ses bras, Penny avait su tenir bon, tu l’avais alors menacé et comme elle n’avait pas flancher, tu avais finis par en avoir marre et t’étais rentrer. Mais pas pour pleurer sur la perte d’Earl, ça non, tu t’étais plutôt installer dans le salon pour préparer ta vengeance et c’est pile au moment où tu commençais à dessiner les araignées que tu comptais balancer partout au visage de Penny, qu’elle était venue toquer à la porte. Tes parents t’avais toujours dis que les Savage étaient des sauvages, mais les parents de la petite blonde n’avaient rien de si étrange, en fait ils t’avaient même fait bonne impression, mais ça, c’était évidemment lié au fait qu’ils forçaient leur sale gamine à te rendre ton chat. Tu avais alors offert ton premier sourire à Penny, peut-être pas un sourire amicale, mais un vrai de vrai. Qui aurait pu alors croire que tu deviendrais son meilleur ami ? Que tu exigerais même la chambre donnant sur la sienne ? Assurément pas tes parents, qui avaient osés espérer que plus jamais les « sauvages » ne reviendraient chez eux.

D’abord rivaux, parce que tu n’allais pas laisser passer cette histoire de vol de chat sans rien faire, tu étais devenu peu à peu son ami. Comment ? Tout naturellement, un jour tu lui balançais des boules de neige, celui suivant tu la défendais alors qu’un type de ta classe osait l’embêter. Tu avais cru t’être attaché à ta victime, mais en fait non, c’est à Penny que tu t’étais attaché, à son effronterie, à ses allures de mère thérésa capable de sauver tous les animaux du monde et puis à son rire. Ça t’avais bien agacé au départ, puis tu t’y étais fait, en partie parce que ça embêtait tes parents et que tu aimais bien les ennuyer, mais aussi parce que les Savage te donnait le droit de manger des bonbons entre les repas, eux. T’étais donc devenu le petit voisin, puis le meilleur ami de la cadette sauvage, avant de devenir son partenaire de crime et finalement son premier baiser. Ça, tu l’avais pas du tout prévu, t’avais même bluffé. « Évidemment que j’ai déjà embrassé des filles, tu me prends pour quoi ? Un demeuré ? Viens là, je vais te montrer, petite joueuse. » Mais en fait, quand tu avais enfin pressé ta bouche contre la sienne, tes mains tremblaient un peu et tu aurais été incapable d’ouvrir les yeux avant la fin du dit baiser. Oh, tu aurais dû lui dire la vérité, mais tu avais préféré éviter, par orgueil mais aussi par crainte que ça change votre relation. Toi, tu avais toujours aimé la Penny honnête, impulsive et fonceuse, si elle avait du devenir aussi chiante que les autres filles de ton âge, ça aurait été la galère. Alors tu l’avais bouclé et t’avais attendu plusieurs années avant de tout lui avouer.

En fait, tu avais attendu que votre relation passe à un autre stade, pour avouer la vérité sur votre baiser, soit que c’était une première fois pour vous deux. Parce que ce jour-là, agenouillé devant elle, entre ses jambes en fait, alors que tu retirais ton t-shirt, tu te sentais en plein contrôle. Si autrefois tu avais bluffé quant à ton expérience en matière de baiser, t’avais eu le temps de grandir, d’expérimenter la vie et abandonnant tes cigarettes, promettant même à Penny qu’elles seraient encore meilleures une fois l’acte accomplis, tu lui avais assuré que tu t’occuperais bien d’elle. Tu y avais cru en plus, sur de toi malgré tes deux seules partenaires à vie, tu avais décidé de prendre en main l’apprentissage sexuelle de ta meilleure amie, parce que suite à son récit foireux sur son premier essai horrible, tu t’étais dit que tu pouvais faire ça pour elle. Le truc, c’est qu’en fait, toi aussi t’en avais envie et que ça t’arrangeais bien. Ça, tu l’avais gardé pour toi, un secret pour un autre quoi, puis tu l’avais ramené chez toi. Tu lui avais même sorti le grand jeu avec tes bougies allumées partout à travers la chambre, la musique douce en sourdine et puis tes cheveux humides, parce que tu sortais de la douche. Elle n’avait rien vu venir, puis vous aviez échangé les rôles, parce qu’une fois que tu avais goûté Penny, à sa douceur, à sa candeur, tu avais été le plus surpris des deux. T’avais aussitôt compris que si tu n’y prenais pas garde, c’est toi qui deviendrait esclave d’elle, pire, tu avais compris qu’elle pourrait bien être celle qu’il te faudrait un jour mais que tu ne serais jamais à la hauteur. Depuis, tu protèges son cœur de la pire façon possible : en l’engourdissant à ton contact. Tout est de ta faute bien sûr, mais tu es prêt à accepter le blâme.

Puis il y avait eu Poudlard, l’annonce de tes pouvoirs et la catastrophe peinte sur les visages de tes parents, pourtant ils n’étaient pas dupes non plus, ils avaient toujours su que tu étais différents. Évidemment, au château il n’y avait pas de fenêtre tombant sur la chambre de Penny, ou la limonade maison de maman, ni la voix agréable de papa lisant le journal le matin, mais auprès des bleus tu avais su trouver ta place. Parce que si on te considérait déjà comme un petit garçon curieux et intelligent dans le monde moldu, Poudlard su te laisser t’épanouir, le savoir s’offrant à toi. La première année fut la plus magique, mais la seconde fut probablement la plus marquante, parce que Penny, ta petite sauvage, t’y rejoignit. C’était parfait, trop parfait probablement, mais la vie ayant toujours été une connasse, elle s’empressa de te rappeler à l’ordre. D’abord avec les idées débiles de ta blondie favorite, soit de chercher le grand amour, donc te compliquer la vie en la surveillant triplement, puis avec la connerie du reste des sorciers, soit la création de Grindlemonk. Celle-là tu ne l’as pas vu venir, pas plus que la bisexualité de Penny tien, et tu t’es pris les deux nouvelles en pleine gueule. Sauf que toi, tu as su encaissé, quand on t’a demandé de tout quitter, d’emballer tes affaires et de t’installer dans la cabane des condamnés. En fait, tu as même mieux géré l’histoire de Grindlemonk que celle de Penny, parce que là tu t’es sentie forcer de mettre fin à cette idylle stupide en faisant ce que tu savais faire le mieux : suivre ton propre code moral.

Est-ce que ça te manque de vivre avec les serdaigles ? Pas vraiment, mais tu sais pertinemment que c’est parce que tu es égoïste, parce que tu suis ton propre code de conduite personnel et qu’entre vivre avec des gens aussi posés et logiques que toi ou Penny, tu préfères ta meilleure amie. C’est plus pratique pour la garder à l’œil, or toi t’es possessif, t’es un peu barjot aussi, mais tu l’assumes. En fait, tout ce que tu es, bon comme mauvais, tu l’as toujours accepté. Certains diront que c’est parce que tu es arrogant et si oui, ça t’arrive de l’être, toi tu es plutôt d’avis que ta confiance en toi est en béton armé. Meilleur que les autres ? Probablement, mais en tout humilité. Tu n’as pas besoin de te vanter de quoi que ce soit, ni de rabaisser les autres, en fait tu te suffis presque à toi-même, mais il y surtout le fait que tu n’as rien à faire de l’avis des autres. Ce n’est pas que tu ne les aimes pas, même si tu ne te considères pas de « bonne » compagnie, mais les grands discours n’ont jamais été ta tasse de thé, parler c’est limite chiant à ton avis, mais surtout qu’ils ne suivent pas souvent ton code de conduite. Est-ce que tout le monde devrait le faire ? Évidemment que oui ! Après, tu ne comptes pas lancer un nouveau régime à ton nom, tu n’es pas stupide non plus et le pouvoir ne t’intéresse pas vraiment, non toi tu es plutôt le type mystérieux pour les autres, même si ça ne t’enchante pas des masses. Tu es difficiles à cerner, gentil un moment, connard le suivant, tu t’inquiètes difficilement de l’avis des autres. Cela dit, peu importe tes actes, ton attitude ou tes paroles, ton code se doit d’être appliqué à tous, toi y compris. De ce fait, tu n’es pas le genre de mec à fuir une correction, si tu l’as mérité et même que tu encaisses comme un homme, pas de fuite, pas d’esquive, tout va directement sur bibi. Cela dit, même si tu es calme et posé la plupart du temps, quand on te cherche on te trouve et tu as alors tendance à « exploser ». Or, là il n’est pas question de casser le nez d’un type qui t’embête depuis déjà deux jours, mais plutôt de l’envoyer directement à l’infirmerie, inconscient. Une fois que tu commences à taper, tu as du mal à t’arrêter, peut-être qu’en fait sous toute cette couche de calme se dissimule un enragé, mais au final, tu le vis bien toi et c’est tout ce qui compte. Pour toi du moins. Quant à ta présence à Poudlard, tu l’expliques de par ton lien avec Penny, mais tu prends aussi ton avenir à cœur, parce que tu crains sincèrement de retourner à la maison et de suivre la voie de ton père. Cette vie-là, plus que de t’ennuyer, t’effraie sincèrement. Oui, tu es un type tout ce qu’il y a de plus banal, mais tu n’accepteras pas de mener une vie terne, ça jamais.

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