Susanna [Exci]
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Susanna [Exci]
Susanna Phoebe Carrow
feat Crystal Reed • Cristalline
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The stars have faded away
Quant à la vente des rebuts, tu n'arrives pas à ressentir quoi que ce soit pour les « pauvres victimes », en fait si la situation ne t'amuse pas, tu te montres tout de même curieuse. Ta mère aime bien aller aux enchères et de temps à autre, tu l'y accompagnes. C'est d'ailleurs l'une de ses sorties, que tu as demandé à obtenir Julian. Tu ne sais pas encore si c'est une erreur de jugement de ta part, un moment de faiblesse ou un caprice passager, mais tu possèdes dorénavant ton propre rebut. Tu n'arrives pourtant pas à le traiter comme un accessoire, un objet ou un animal. Non, Julian est trop humain pour toi, trop attachant, trop... lui. Tu avais évidemment tort de le prendre, mais il est trop tard.
Nothing compares to you
▋ ▋
- Code:
▋ <a href="http://excidium.bbactif.com/u88">▋</a> <pris>CRYSTAL REED ;</pris> susanna p. carrow
Re: Susanna [Exci]
you won't ever be the same
――――――-―• He made me feel important •――――-―――
then i suddenly mean nothing to you, just because she has filled in the spaces
of your heart where I once used to call my own home.
of your heart where I once used to call my own home.
On raconte que toutes les petites filles en ce monde, sorcières ou pas d’ailleurs, ont comme premier amour leur père et que la nature de leur relation influencera assurément les relations futures de la dite petite fille. Or, avant qu’il y ait Sue ou Phoebe, même avant Anna, il y avait eu Susie : la petite fille chérie de son père. Enfant joueuse, enfant rieuse, tu avais été la parfaite petite princesse, grimpant sur les genoux de ton père pour dévorer ses joues de baisers, riant dans le creux de son cou pour ensuite réclamer des histoires ou seulement son attention. Puis tu te faisait sage, les joues roses, quand on te grondait gentiment. Si tu avais su qu’on te retirerais ton père au bout de quatre petites années, des mois trop entassés, des jours trop courts, pour ne pas parler des heures filant aussi vite que les étoiles passent parfois à travers le ciel, tu aurais davantage profité de sa présence. Ou pas, peut-être aurait-il valu mieux l’éviter, ne pas t’attacher à cet homme cruel, ne pas lui offrir un seul sourire. Encore aujourd’hui tu regrettes ta naïveté, quand bien même tu ne pouvais pas savoir, tu aurais voulu, tu le désires encore ardemment. Parce que dès que le démon blond fit son entrée dans la maison, ton père te fila entre les doigts, pareille à de l’eau de pluie lors des tempêtes, quand tu levais tes paumes vers le ciel. Au revoir les éclats de rires, adieu les histoires, oubliés les sourires, la maison devint terne, peuplé des cris de ta mère, de ses insistances, de sa rage et de sa souffrance. Oh, tu étais bien trop jeune pour comprendre ce qui se déroulait réellement autour de toi, mais l’ambiance lourde et la tension palpable entre ses deux êtres ayant un jour su s’accorder pour vous créer, Ulysse et toi, était en train de détruire votre famille. Tu te souviens encore des après-midi passé dissimulé, avec ton frère, dans des pièces reculées de la grande demeure, afin de ne pas entendre les cris du bébé combiné à ceux de ta mère. Une étrange musique qui te hante encore parfois la nuit, une mélodie discordante qui arrive toujours à t’arracher des frissons. Il y avait les cris de ton père, les coups, les éclats de larme de ta mère, puis la voix tendre de celui-ci, une fois ses pas s’étant effacés, plus loin dans la maison, alors qu’il berçait cet enfant que tu apprenais à détester, un peu plus à chaque jour. Elle t’avait tout volé et elle n’arrêterait pas en grandissant, au contraire. Loin de se limiter à faire éclater ta famille, la terrible enfant arracha tout d’abord l’amour du cœur de ta mère, vidant tes parents du lien les unissant, limitant leur mariage à un simple échange professionnel, puis elle s’accapara entièrement l’attention de ce qui, jadis, avait été ton père. Il ne resta bientôt plus rien pour toi, seulement une petite partie à offrir à ton frère, à cet héritier que ton père ne pouvait décidément pas abandonner. Beatrix, enfant à moitié monstre, enfant belle à croquer, devint la malédiction moderne des Travers, celle qui souillerait une fois pour toute ton nom et ton existence toute entière, ne te laissant que ta mère, à défaut de savoir la séduire, elle aussi.
――――――-―• You are not broken •――――-―――
You shouldn’t have to convince anyone to love you, to stay, to see that you are worth it
You are not the one who has given up, just leave.
You are not the one who has given up, just leave.
L’enfance t’abandonnant en même temps que tes espoirs de reconquérir un jour le cœur de ton géniteur, ne serait-ce qu’une infime parcelle, l’adolescence ne te fit pas particulièrement mal. Ce qui fut l’âge ingrat de certain, se contenta de faire naitre des courbes chez toi, à te faire femme, un statut que tu te sentais prête à endosser depuis déjà un moment. En fait, avec ton enfance, la douleur sembla s’envoler, probablement parce que tu avais suffisamment encaissé de perte et d’abandon pour t’endurcir face à la vie. Non contente de te voler tout l’amour que votre géniteur possédait, la fille démone te déroba aussi l’affection de ton frère, pire, asséchant tout sentiment ayant un jour existé entre vous. Tuant votre lien de sang. Or, depuis bien avant que tu deviennes officiellement femme, alors que ton frère devenait un homme, Beatrix avait su ravir son cœur, l’éloignant de toi, l’attirant dans des balades de plus en plus longue en forêt. Des excursions que ton père t’avais aussitôt interdit fermement, sachant très bien combien il te blessait et combien il faisait du mal à ta mère, car c’est à cela que maintenant votre famille se limitait : un ramassis de menace et de guerre interne. Ulysse n'était plus et tu le pleura. Cet être que tu avais tant aimé enfant, ce complice d’autrefois, n’était plus qu’un étranger, un autre souci dans ta vie, tout aussi ennuyant que ton paternel, tout aussi pitoyable à tes yeux. C'est à cette époque que te vint l'idée de détruire le petit monde de Beatrix. Patiente, sournoise aussi, tu te contentas de rester la même : Sue la sœur Carrow la plus posée, la fille Slughorn, la plus effacée, la plus adulte des deux en somme. Oh à plus d’une occasion tu ressentis cette envie dévorante de hurler, comme ta mère le faisait encore de temps à autre, de cracher sur tous les idiots osant vous surnommer les « sœur Carrow », mais chaque fois, ou presque, tu su puiser en toi pour te contenter de les foudroyer du regard et de rectifier le tir en soulignant les origines bâtardes, voir monstrueuse du monstre blond osant prétendre être une l'une des vôtres. Prenant exemple sur ta mère, tu su préserver les apparences d’une famille stable. Assistant aux soirées auprès du reste de ta famille, accordant de bref sourire à ce frère que tu ne voyais même plus, mais c’est aux côtés de ta mère qu’on te retrouvait toujours, attirant cette dernière dans le sillage de sa propre famille. Carrow et Slughorn se divisant avec un tact poli. C’est durant ses années passées à Poudlard que tu compris à quel point l’homme ayant un jour été ton père, avait perdu l’esprit, obsédé par cette enfant monstrueusement et détestablement belle, subissant ses sautes d’humeurs comme s’il s’agissait de la plus belle occupation au monde, ton frère acquiesçant comme un fidèle toutou devant ses minauderies. C’est aussi à cette époque que tu en vins à la réflexion que les faveurs de ta sœur ne devait certainement pas se limiter à Ulysse et qu’en fait, ton père en faisait assurément les frais aussi, réflexion que tu décidas de partager avec ta mère. Vivre à Poudlard fut donc un soulagement à tes yeux, encore davantage quand le monstre blond fut placé parmi les bleu, loin de toi et de ta vue. Seuls ta mère vint à te manquer sincèrement, te faisant à la fois craindre et attendre les vacances d’été. C’est ainsi, par la volonté d’une créature t’indignant, que tu vis ta famille se transformer, ta mère abandonnant peu à peu sa rage, pour s’apaiser comme toi, retrouvant seulement le sourire en compagnie des siens, tout comme toi. Les fameuses « sœurs Carrow » devinrent ainsi deux êtres bien distincts et facilement repérable : Beatrix la capricieuse souriante et Susanna la muette blasée.
――――――-―• I have lived so long without being loved •――――-―――
that whenever anyone tries to take care of me, I immediately retreat because
all I can see is my alone someday having to rekindle the flame of its own solitude.
all I can see is my alone someday having to rekindle the flame of its own solitude.
La fin de tes études et l’âge adulte t’apportèrent bien plus de soulagement et de cadeaux que ton enfance put un jour être douce avant tes quatre ans. Évidemment, la perte de Marcus te dit du mal, mais tu la perçu comme étant tout naturel que la naissance de votre couple. Un couple improbable qui vécut pas loin de quatre ans au sein du château, tantôt heureux, tantôt déchiré. Quittant Poudlard pour suivre des études auprès du ministère, tu récupéras ton coeur et le mis en symbiose avec ton esprit, pour que ta vie soit plus prévisible, plus stable. Le démon blond ne rôdant pas à la maison, tu eu enfin la chance de t’épanouir, de profiter de cette mère tendre et affectueuse, de retomber en enfance même par moment, alors qu’elle te coiffait, qu’elle te serrait dans ses bras et qu’elle te chuchotait combien elle t’aimait. Tu aurais pu profiter de l’absence du monstre pour fraterniser avec l’idiot partageant tes gènes, puisqu’il était lui aussi présent, mais tu n’en fis rien, quand bien même vos regards s’accrochèrent à plus d’une occasion, laissant un silence presque étrange s’épaissir entre vous. Il était trop tard et vous le saviez tous les deux, vous n’aviez plus que vos parents en commun, un père pour lui et une mère pour toi. Seulement, tu ne pouvais pas lui pardonner son choix, tu ne pouvais pas le comprendre. Toi, ton père t’avais clairement rejeté, préférant offrir l’amour battant en lui à l’une seule de ses deux enfants, mais lui, lui ta mère n’avait jamais cessé de l’aimer et de chercher à l’atteindre. Alors chaque fois que tu le croisais, que vos bouches s’entrouvraient, tu te décidais à le dépasser en soufflant que ça ne servait à rien, ce qui était la stricte vérité. Ulysse et toi, vous n’aviez rien en commun, rien que du sang et des ancêtres. Vous auriez pu trouver un terrain d'entente, mais son incapacité à aimer ta mère, comme elle l'aimait, sut toujours te convaincre de ne pas l'approcher plus de quelques ennuyantes secondes. Tu croisas aussi la route de ton fameux géniteur, parfois alors que tu étais en compagnie de ta mère, parfois alors que tu te déplaçais seule, mais là aussi, il n’y avait strictement rien à faire. L’enfant que tu avais jadis été et qui l’avait aimé, avait appris à imiter son comportement : tout l’amour que toi tu avais autrefois su partagé entre lui et son frère, tu ne savais plus que l’offrir à ta mère. Il y avait de quoi rendre ton géniteur fier, tu apprenais vite. Ses trois années t’offrirent la paix, celle de la serre familial, celle des expériences magiques, celle des apprentissages sous la tutelle patiente et chaleureuse de ta mère et du reste de ta famille. En fait, si Beatrix avait pu rester à Poudlard indéfiniment ou y mourir, la vie aurait été plus belle, plus facile et pourtant, alors que la troisième année s’achevait, tu t’impatientais presque de la voir rentrer. Pas pour devenir son amie, allons donc, mais surtout pour pouvoir reprendre tes petits jeux stratégiques et torturer ce père indigne ainsi que sa stupide descendance masculine. Les jeux allaient enfin pouvoir commencer et le fiancé que ton paternel t’imposa, ne fut que le début d’une longue partie. Tu aurais pu te vexer d’être ignoré par l’homme séduisant à qui on t’avait promise, mais au contraire, soulagée de le voir rôder autour de Beatrix, tu l’avais laissé faire. Tu n’avais que faire d’un futur époux aussi stupide que celui-ci, sans parler que tes minauderies, ne servant finalement qu’à repousser votre possible union le temps que l’homme s’attache au monstre de la maison, arrivait à sincèrement agacer ton père. Puis ton honneur fut bafoué quand le fameux fiancé se jeta sur la favorite du maître des lieux, la demi-vélane, et plutôt que d’en faire toute une histoire, d’exiger réparation, tu leur offris a tous la carte de la compréhension, mais au troisième essai de l’homme sur la blonde, son sort fut scellé dans la soirée. Évidemment, ton attaque ne servait jamais qu’à créer davantage de souci à cet homme ne sachant pas t’aimer et ne te voyant pas même. Tant pis, tu ne regrettes rien et tu comptes bien choisir ton prochain fiancé, quitte à aller à l'encontre des désirs de ton père. Tu ne crains ni ses cris, ni ses coups, encore moins sa magie. Tu ne crains plus que ton coeur, mais il est solide, pas aussi joli ou lisse que celui de ta soeur, mais capable de beaucoup de chose.
Re: Susanna [Exci]
missives depuis. On dit que je ressemble à *:
Crystal Reed
; je dois mon avatar à :
shiya et ma signature à Endlesslove.
‹ parrains, marraines:
Je suis :
trop pris(e)
pour un nouveau rp, mes dialogues sont en :
#7A3757
‹ liens utiles:
☙ She's a goddess ❧
DC ❧ Felix ⌇ Felix the cat
TC ❧ Ekkehardt ⌇ Old'spice
J'ai :
24
ans et je suis :
secrétaire du directeur du département des mystères, Mr.Rookwood.
J'ai appartenu à la maison :
Serpentard
entre :
1989 et 1995
Ma baguette :
est faite de saule, mesure 18 cm et possède un ventricule de dragon, sinon elle est semi-rigide.
J'ai :
1245
Gallions (ʛ) à la banque et on dit de moi que :
je suis aussi intelligente qu'ennuyante... douée avec les poisons et que je n'hésite pas à m'en servir pour me faire justice... qu'entre la mort de mon premier fiancé et ma séparation avec le fils Malfoy, je risque de terminer vieille fille.
‹ expérience:
• dévouement
■■■■■■■■■■
• art
■■■■■■■■■■
• organisation
■■■■■■■■■■
• meilleur hôte
■■■■■■■■■■
• combat
■■■■■■■■■■
• résistance
■■■■■■■■■■
• enseignement
■■■■■■■■■■
• charisme
■■■■■■■■■■
• ambition
■■■■■■■■■■
• discipline
■■■■■■■■■■
Je suis :
maitre des runes.
Il faut savoir que :
j'ai été retrouvé au début du mois de juin, après avoir subit une attaque. Les détails sont flous, mais depuis je ne reste jamais longtemps seule avec des hommes et les grands groupes m'angoisse. Aussi, je ne vais plus nulle part sans ma baguette, pourtant je vais mieux.
J'habite :
à White Hallow, mon propre cottage à Loustry Ste Chaspoule, avec ma demi-soeur Beatrix. C'est un endroit reculé et sans histoire, parfait pour une amoureuse des plantes.
Mon Patronus est :
un cygne
et mon épouvantard représente :
une forêt, pleine de main, de voix rauques. Et Ulysse, qui me fixe, qui se délecte de ma douleur. De ma peur.
Si je le fixais, le Risèd refléterait :
les jardins de White Hallows, en pleine floraison et deux enfants roux qui y cours. Ronald Weasley, derrière moi, le visage à moitié dans mes cheveux, un sourire au coin des lèvres. La fin de la guerre. La fin heureuse.
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Je suis :
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pour un nouveau rp, mes dialogues sont en :
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J'ai :
24
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entre :
1989 et 1995
Ma baguette :
est faite de saule, mesure 18 cm et possède un ventricule de dragon, sinon elle est semi-rigide.
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je suis aussi intelligente qu'ennuyante... douée avec les poisons et que je n'hésite pas à m'en servir pour me faire justice... qu'entre la mort de mon premier fiancé et ma séparation avec le fils Malfoy, je risque de terminer vieille fille.
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• ambition
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Je suis :
maitre des runes.
Il faut savoir que :
j'ai été retrouvé au début du mois de juin, après avoir subit une attaque. Les détails sont flous, mais depuis je ne reste jamais longtemps seule avec des hommes et les grands groupes m'angoisse. Aussi, je ne vais plus nulle part sans ma baguette, pourtant je vais mieux.
J'habite :
à White Hallow, mon propre cottage à Loustry Ste Chaspoule, avec ma demi-soeur Beatrix. C'est un endroit reculé et sans histoire, parfait pour une amoureuse des plantes.
Mon Patronus est :
un cygne
et mon épouvantard représente :
une forêt, pleine de main, de voix rauques. Et Ulysse, qui me fixe, qui se délecte de ma douleur. De ma peur.
Si je le fixais, le Risèd refléterait :
les jardins de White Hallows, en pleine floraison et deux enfants roux qui y cours. Ronald Weasley, derrière moi, le visage à moitié dans mes cheveux, un sourire au coin des lèvres. La fin de la guerre. La fin heureuse.
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