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Thomas Wayne [sle]

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Message  Stephy Lun 1 Oct - 20:35


Thomas « Tommy » Wayne
(32 ans - antaris - Rafael Lazzini)
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› identité: Thomas, qu'on oubli un peu. Beaucoup. Qui cède place à Tommy, le type mal engueulé. Le tatoué aux sourcils froncés. Son majeur dressé vers le ciel. Wayne, comme une mauvaise blague. Parce que lui, il a pas la fortune. Il a pas les gadgets. Il traine peut-être dans le noir, il sauve peut-être même parfois des vies, mais faut pas se faire des idées. Tommy, c'est pas le gentil. Batman, il a jamais été en taule. › âge, date de naissance: 32 ans, 3 juillet. Il aime pas qu'on le fête, Tommy. Ça le met mal. Ça le rend grognon. Mais il avale les gâteaux avec quelque chose de presque attachant. › signe astrologique: Cancer, le sensible qu'on dit. Le protecteur. Celui qui oscille entre dureté et douceur. Le coeur tourné vers le passé, la mélancolie dans l'âme. Foutaise, tout ça. Tommy il en a rien à foutre. Le cancer, c'est une putain de maladie, oui. › lieu de naissance, origines: Crescent Height, son trou à lui. Une prison sans couvercle, le ciel pour le juger. C'est peut-être une strate de l'enfer, mais c'est le sien, d'enfer. › emploi, études: Cuistot pour un restau, d'Harbor Springs. Un nid à touriste, parce que les plats y sont trop coûteux. T'es pas le chef, mais tu commences à reluquer la position, Tommy. Et pis y'a certain soir où tu dois aller te changer. Quand t'enfile ta chemise immaculée et ton pantalon noir, tu joues plutôt le rôle de barman. Et parfois, mais de moins en moins, tu retrouves ta première fonction là-bas et tu redeviens serveur. T'as beau t'exécuter, faut bien le dire : t'es à chier en serveur. Pas assez souriant. Pas assez agréable ou causant. Toi, tant qu'on te paie, tu t'en fou. › orientation sexuelle: Hétérosexuel, par défaut. Un peu. Beaucoup. Il a pas cherché à savoir, Tommy. Les doigts, pas assez curieux. La bouche déjà pleine, ailleurs. Les femmes, pour ancienne addiction. › statut civil: Papa et pas daddy, faut pas confondre. Tommy il ne balance plus des claques sur les jolis petits culs des jeunettes, non. Ça c'était avant la prison. Avant qu'il prenne cher. Maintenant, Tommy, il s'installe dans le lit de sa gamine et il lui lis Cendrillon ou Blanche-neige. Il change même sa voix. Il a un sourire en coin et dans ses versions - les préférées de Cassie - les princesses ne sont pas toujours en détresse. Cendrillon aura sauvé le prince d'un complot et Blanche-neige est plutôt une superbe espionne - parce que toute la forêt est à sa botte. Bref, non, Tommy il a pas le temps. Il en a déjà trop perdu loin de Cassiopeia, sa gamine. Sa surprise.

› traits de caractère: réservé ; pas très volubile (il préfère s'exprimer en monosyllabe, sauf s'il vous sermonne, là il en fait des tonnes); sensible (mais le nie); grincheux; loyal; maladroit (avec les gens, à travers ses gestes); gueule quand il décide de parler; vaillant, il en fait parfois même trop; mélancolique (le soir, surtout); généreux (surtout avec sa famille); un peu atteint d'un détestable syndrome du sauveur, qu'il combat au quotidien; protecteur; rancunier; possède une très bonne écoute (en partie parce qu'il sait fermer sa gueule); possessif; simple; jaloux (mais étonnement pas envieux); attentionné; culpabilise soit pour un rien, soit pas du tout (faut voir qui est en face); sûr de lui; flirt en permanence avec le déni.

( la tête tournée vers les étoiles )
(Wayne Family) Chaque famille à son manque, un petit bout de vide. Celui qui ne se comble jamais réellement - la faute à pas de chance. La faute de personne. Et chez les Wayne, c'est l'argent qui manquait. Qui creusait les ventres. Qui gâchait un peu les rêves des gamins. Oh, les parents ont bien tenté de combler le trou avec de l'amour, mais même étalé sur du pain, ça n'a pas de réelle valeur nutritive, l'amour. Jackie n'a probablement pas de réel souvenir de cette époque, trop jeune pour comprendre. Trop petite pour se rappeler du manque. Mais Tommy n'a pas oublié. Tommy à été façonné - en partie du moins - par ce manque. Cette faim perpétuelle. De plus, de mieux. Avec un arrière goût de culpabilité - de ressentir tout ça. De savoir que malgré tout ses efforts, papa n'y arrivait pas. Que maman ne parvenait pas à compenser.
Mais l'amour arrange tout - qu'ils disaient. Et Tommy leur a donné raison. En travaillant dès que possible. En participant aux revenus. En léguant son maigre salaire à ses parents. En s'assurant que Jackie ne manquerait de rien - quitte à l'engueuler au sujet de ses caprices. Un droit qu'il considérait comme acquis. Jusqu'à ce qu'il cesse de participer. Jusqu'à ce qu'il soit mis derrière les barreaux.
(Go To Jail) Il ne pensait pas à mal, Tommy, quand il a décidé de faire son coup. Marche ou crève qu'on disait autour de lui. Il a été assez con pour croire qu'il avait les genoux, putain de solide. Que jamais on l'arrêterait. Il n'allait rien faire de bien vilain, le Tommy. Il voulait seulement les billets. De quoi offrir, à sa petite soeur, quelques fringues. C'était pas bien méchant, pas bien grave. Le gars était assuré, mais le gars était pas non plus censé posséder une arme à feu. Ça, Tommy l'a pas vu venir. Lui, il avait pas réellement d'arme. Il aurait pu y rester, mais il a sut réagir - il a sauvé sa peau. Mais il a attaqué, le pauvre con. Puis, il a paniqué.
Il a sacrément merdé. Il avait plus aucune chance, on l'a choppé deux rues plus loin. Livide, les poings serrés et incapable de s'exprimer autrement qu'en jappant. Le gars, il allait bien ? Évidemment. Comme un putain de charme. Pas Tommy. Lui, il a pris. Cinq ans, on a fait de lui un exemple. Et peut-être que s'il avait été mieux élevé, qu'il avait moins grogné, qu'il avait été plus accommodant, on lui en aurait moins filé. Sauf que non. Tommy il a pris. Tommy il a disparu. Une honte, un regret, pour ses vieux.
Il s'en veut encore un peu, Tommy, d'avoir été aussi con. D'avoir abandonné Thomas, là-bas, dans la supérette.
(Proud Daddy) Parce qu'aucune merde ne vient seule, fallait évidemment que le jugement de Tommy ait lieu en même temps que le miracle de la vie. Qu'April, l'une de ses copines, de celles abandonnant leur parfum dans ses draps, ait oublié un comprimé. Qu'elle laisse un bout de lui s'entre-mêler à elle. Il a appris la nouvelle, quelques mois plus tard. Une fois que l'adorable parasite ce soit bien accroché - parce que Tommy est pas con hein. Il la connait bien, April. Elle avait pas davantage envie de devenir maman. Pas au début. Pas quand elle est venue l'engueuler, lui reprochant de foutre sa vie en l'air. Puis d'être protégé par une saloperie de vitre. Et enfin, de ne pas même être fichu de la soutenir. De l'épauler.
Ça a pris quelques mois pour que Tommy sache quoi faire de la situation. Qu'il passe un coup de fil à April - sans qu'elle ne raccroche. Et tant mieux, parce qu'il fait un bien meilleur père que gangster, Thomas.
Bien entendu, il ne s'attendait pas à ce que la cocotte l'attende. Avec April, ça n'avait jamais été sérieux, qu'un peu d'affection partagé autour d'une base plutôt amicale. En fait, elle aurait jamais su le gérer, le Tommy. Alors elle a bien voulu lui envoyer des photos de leur gosse, le visiter de temps à autre, qu'il puisse la voir. Mieux, la tenir. Mais quand Tommy est enfin émergé de son trou, April c'était déjà tiré de là. Sans leur gamine, dieu merci, mais c'est aux bons soins des Wayne qu'elle a laissé Cassiopeia. Alors il a rugit, un peu, le Tommy. Parce qu'il a toujours été con mais sa mioche, c'est la sienne de gamine, hein. Sauf qu'on ne va pas filer la garde d'une gamine comme ça, à un type qui est sortit de taule depuis cinq minutes. Non.
Alors depuis, il se débat comme un beau diable dans l'eau bénite. Il a trouvé un boulot. Il a changé ses habitudes. Il marche droit, Thomas. Pour récupérer Cassie, celle qui est parvenue - mieux que sa mère - à s'enticher du gros ours qu'il est. Celle qui passe la moitié de la semaine avec lui. Celle qui finira par vivre entièrement dans la petite chambre qu'il lui a préparé. Il faut. Il en a besoin.
(Overprotective Brother) Bien avant que Cassie fasse son apparition, Thomas jouait déjà au papa. Parce qu'il fallait que 13 ans après sa naissance, Jacqueline vienne au monde - une petite soeur à aimer. À garder. À surveiller. À pourrir jusqu'à la moelle, pendant au moins quatorze ans - ce qui n'est pas rien. Et il l'aime, Jackie. Tellement. Trop, que disait parfois ses parents, avant. Parce que maintenant, ils ne disent pas grand chose. Il comprend, Tommy, hein. Mais Jackie n'est pas comme eux, elle ne l'a pas rejeté, elle. Au contraire, elle l'a visité autant que possible. Avec Cassie, elle est la lumière au bout du couloir. Celui bordé de fil barbelé. Si c'était possible, il l'aimerait encore plus fort.
Et maintenant qu'il est dehors, il la couve à nouveau. Assez pour qu'elle râle. Trop, parfois, jusqu'à la pousser à se fâcher. À le repousser. Mais il ne pense pas à mal Tommy, il veut seulement le meilleur pour elle. Il ne comprend pas qu'elle a grandit, pendant son absence. En réalité, il peine à l'accepter. Il n'est pas prêt à ce qu'elle soit déjà une adulte. Et y'a ce goût amer, acre même, qui remonte depuis son ventre : l'acidité de l'échec. Parce qu'il a tout raté. Le bal de finissant. Les premières cuites. Le premier petit copain. Alors il s'en veut Tommy. Et parfois, il relâche tout ça sur elle. Sur ceux qui se pressent - de trop près, hein - à sa précieuse petite soeur.
(Work Work Work) Avant de faire de la taule, Tommy a longtemps bossé dans un restau. Plongeur. Parfois serveur. Il a commencé jeune, Tommy. Il a fait dans le manuel aussi, accompagnant papa sur les chantiers. Il y serait retourné, ça aurait même mieux payé. Sauf que papa y tient pas. Alors il a pas renoué avec lui, en abandonnant l'uniforme orange. Il l'a pas embêté plus de quelques minutes.
Puis, il a fait le tour des restaurants, sans cacher d'où il sortait. De toute manière, tout le monde sait. Y'a pas de secret dans les villes comme Crescent Highs. Pas de cachette. Personne voulait d'un ex-taulard, personne sauf un vieux fantôme. Peut-être que si Thomas avait pas bossé pour lui, pendant presque quatre ans, ça l'aurait pas fait. Mais faut croire que même dans le fossé, le nez dans la boue, il reste des étoiles pour briller au-dessus d'une tête aux cheveux sales. Depuis, Tommy à repris le travail - et a pu s'acheter du shampoing, oui. Il se refait. Un nom. Une réputation. Un compte en banque. Une drôle de passion, mal assumé, pour la nourriture. Une place au soleil, quoi - loin des emmerdes. Enfin, il essai.
(Hands Shaking) Tommy, il essaie depuis tout mioche. D'être plus positif. D'avoir la foi. Mais faut bien le dire, il a toujours eu ce petit côté prudent - méfiant. C'est pas qu'il soit défaitiste, quand même pas, mais il n'a jamais été exubérant. Jamais remplis de la joie insouciante qu'on pratiquement possédé tous les gamins. Peut-être parce qu'il a réalisé, très jeune déjà, que l'amour ne suffisait pas. Que fallait se botter le cul pour avancer. Que rien ne lui tomberait tout cuit dans le bec. Alors Tommy il raconte que ça va, il a un sourire en coin et il avance. Coûte que coûte. Sauf que depuis la prison, avancer, c'est vachement plus difficile. Parce que la liberté, ce n'est plus acquis. Parce que maintenant, il a comme une souillure sur son front. Bien en évidence. La liberté aura plus jamais la même valeur, parce qu'il a connu son opposé. Parce qu'il a la trace des menottes sur les poings. Un poids qui essai, certain matin, de le retenir au lit.
Il a commencé a trainer les pieds en prison, Tommy. Quand il a sut pour Cassie. Quand il a réalisé qu'il n'assisterait pas à la naissance, qu'il ne pourrait pas bercer sa gamine. Il a commencé à vouloir rester au lit, la deuxième année de taule, quand Jackie est venu le visiter dans une jupe trop courte. Il aurait pu le dire, réclamer de l'aide, mais il est fier Tommy. Plus que Thomas, même. Alors il a fermé sa gueule, il a serré les dents et il a continué. De faire du surplace. De se torturer l'esprit. Ça aurait pu s'arranger, il pensait que ça se tasserait - pas de raison de s'inquiéter avec ça. Mais Cassie à continuer de grandir, Jackie aussi, et ça lui a pesé plus fort. De tout rater. D'être aussi loin. D'être impuissant et absent. Parce que le temps ne s'arrête pas en dehors des barreaux de fer. Au contraire.
Depuis sa sortie de prison, il continue de dire que ça va. Mais y'a l'ancienne prescription - les bonbons que lui fournissais le psy de la prison - qui lui font de l'oeil. Qui teste son endurance. Ça allait mieux quand il avalait les comprimés. Il a pas besoin de parler Tommy - qu'il croit - il a juste besoin de mieux dormir. Il ne veut pas redevenir faible, trop honteux d'avoir pu être atteint d'une quelconque maladie mentale. La dépression, c'est un mythe - sauf que non.
Alors demandez-lui à Tommy, comment il va. Comment ça se passe depuis qu'il est dehors. Si ça va, au boulot. Avec sa fille. Il vous dira que oui, mais il ne sourit plus trop Tommy. Il rit moins. Comme s'il avait peur qu'en riant trop fort, il y ait ce sanglot, coincé loin loin dans sa gorge, qui émerge. Vaut mieux pas. Alors il grogne, Tommy. Et tout va bien.
(Precious Friendship) Il se rappelle plus bien comment il a fini là, Tommy. La faute à Cash. À moins que ce soit Jackie, sa petite soeur trop dégourdie. Il a fini dans un bar, une bière à la main et au fil du temps, y'a des gens qui ce sont approchés. Qui ce sont accrochés. C'est plus tellement pour l'alcool qu'il y va, le Tommy. C'est pour eux. Il peut boire tout seul chez lui, à ne plus savoir où se trouve sa bouche et son cul. Mais au bar, y'a la connerie et la camaraderie de Cash. Y'a les gloussements et les entourloupes de Jackie. Y'a les prises de tête et les sourires en coin de Tanja. Et ça, c'est pas rien. Y'a même certains jours où Tommy il vous dirait que c'est tout.
Peut-être qu'il a perdu gros, quand on l'a balancé en cage, mais avec eux, ça ne compte pas. Il arrive à oublier. Quand il fait son pilier de bar, Thomas n'existe plus. La taule non plus. Reste que ce rire, qui parfois émerge - entre deux quintes de toux. Reste ce sourire, qui tremble sur ses lèvres - contre le goulot d'une bière qui se meurt lentement. Il ne rate d'ailleurs aucune de leur soirée, nouvelle religion qu'il embrasse avec dévotion.
Cash, c'est comme son frère. Un petit con sur qui veiller, à qui balancer des claques derrière la tête, tout en lui jappant qu'il peut / doit faire mieux. Cash, il ressemble à Thomas et Tommy ne veut pas qu'il prenne comme lui. Il le surveille. Il le pousse en direction de son canapé quand il déconne trop, pour pas le perdre, et il le nourris aux céréales dès que le soleil se lève. Avec lui, y'a pas de pression, pas besoin de parler, de vider son sac. Cash, c'est le seul - il lui semble du moins - qui le comprend. Un peu. Parfois, beaucoup.
Jackie, c'est comme sa fille. Trop grande, trop adulte, trop pressée de retirer ses nattes et tout le reste. Il la couve trop, mais elle le lui rend tout aussi bien. Alors il gueule quand elle vide toutes ses bouteilles, quand elle fait la moue, quand elle croit qu'elle peut se sortir de toutes les bêtises qu'elle fait. Il la torture en lui rappelant son prénom, la sermonne trop, mais c'est la seule femme qui a un réel pouvoir sur lui.
Tanja, c'est comme une mauvaise habitude. Un peu comme l'alcool. Il sait qu'il ne devrait pas, que ça finira mal, mais il recommence. Il la ramène trop souvent à la maison, avec ou sans les deux autres. Avec elle, c'est jamais tendre - danger ultime, ça. Mais il la laisse papoter avec sa gamine, lui coiffer les cheveux et parfois, ça lui fou un mal de ventre pas possible.
(Bad Habits) C'est pas réellement la faute de ses fréquentations, pas même du bar où il a pris l'habitude de trainer, mais Tommy il c'est découvert une passion pour l'alcool. Oh, il a toujours aimé prendre un verre hein. Une bonne cuite, ça remet les idées en place. Sauf que depuis qu'il a récupéré sa liberté, l'alcool se fait sirène. De celle qui dévore, toutes dents sorties. Il résiste difficilement, Tommy. Y'a la main qui vide trop vite les bouteilles dans les petits verres. Y'a sa bouche, trop grande ouverte et sa gorge, trop profonde. Y'a son estomac, accro à la brûlure. Et ses lèvres qui en redemande.
Il est pas alcoolo, Tommy. Pas encore, mais il sait qu'il flirt à mort avec la limite. Avec le titre. Il se retient comme il peut, pour Cassie. Pour ne pas tout foiré. Mais y'a des jours plus difficile que d'autre.
(Sweat And Blood) C'est connu, y'a pas grand chose à faire en prison. Pour passer le temps. Pour ne pas devenir entièrement dingue - même si Tommy se questionne parfois sur son véritable état mental. Alors il c'est mis à la muscu et il a continué en sortant, parce que la routine, ça lui fait du bien. L'exercice, ça fait le vide dans sa tête, déjà trop pleine.
Puis y'a eu Cash, qu'il a suivit trop souvent déjà, sur le ring. Des yeux. En criant son nom. Et il s'y est mis aussi. Il a pas le niveau, encore moins le talent, de son ami. Mais il sait se défendre - à toujours sut, le Tommy. Et puis c'est pas de la violence, c'est de la boxe. C'est un sport. C'est contrôlé. Y'a de quoi le rassurer et le soulager. Ça ralentit même, parfois, sa descente d'alcool. Une thérapie pour une autre, hein.


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› prénom, pseudo: steph(y) / bat'phanie › pré-lien, pi: Pré-lien chéri de bb @"Cash Nichols", tommy is in da house ! :party: › fréquence de connexion: je passe quasi tous les jours maiiiiiis au 2-3 jours MAX ! :sisi: › le mot de la fin: j'vous aimes tous :mama2:

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Stephy
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