Felix [Exci]
bat'phanie stuff :: TASTY PLAYGROUND :: Rp land ~ :: Fiches
Page 1 sur 1
Felix [Exci]
feat Garrett Hedlund • crédit Datura
The stars have faded away
Quant à la vente des rebuts, quelle merveilleuse invention ! Acheté un esclave, franchement ça manquait cruellement à ma famille ! Je songe même à suggérer l’idée au reste de la famille, qui est resté au Danemark. C’est tellement utile, tellement divertissant, tellement amusant ! Il m’en faut rapidement un ! J’en rêve déjà, mais avec mon boulot, difficile de trouver du temps pour aller faire mon shopping. Homme ou femme ? Vieux ou jeune ? Tant de choix, j’en ai presque la chair de poule tellement je suis excité !
Du reste, la traque des insurgés m’intrigue terriblement. J’y vois une autre possibilité de divertissement sorcier, pour l’élite, pour les mangemorts. Bon, ça demanderait un max de boulot hein, mais je me vois déjà aller chasser l’insurgé dans le bois, comme certains humains chassent le cerf. Ce serait tellement bien ! Tellement amusant ! Et puis on pourrait même faire empailler leurs têtes et les poser au-dessus de nos cheminées. Ça aurait un chic fou !
Nothing compares to you
Re: Felix [Exci]
He was supposed to be an angel
but they took him from that light and turned him into something hungry, something that forgets what his hands are for when they aren’t shaking.
i'm telling you I have a purpose. a mission.
you touch me and i'm fire, painful and bright and oh so tempting. as my flames lick your neck, the burns sound like my laughter. ☘
L’eau est froide. Trop probablement. Ce n’est rien, ça me réveille. C’est bien. Oui. C’est mieux même. L’eau m’éclaircit les idées, elle dilue les émotions en même temps que les voix. Oh je perçois encore l’inquiétude, puis le soulagement de mon grand-père, alors que je ferme les yeux. Mais tout le reste est étouffé par l’eau, celle-là même qui me porte en son sein, qui me pousse doucement vers le fond, puis tente plutôt de me rejeter vers le haut. Quand j’étais petit, j’avais peur de me noyer. Je combattais l’eau, je me débattais, j’écarquillais les yeux et je me vidais les poumons en criant. Mais battre des bras et hurler n’a rien d’intelligent. On y retrouve que de la fatigue et de l’eau dans les poumons, deux facteurs qui peuvent conduire à la noyade. Ce qui est relativement ironique. L’humain est stupide par défaut. Heureusement, j’ai appris avec les années, et grâce à grand-père l’eau a cessé d’être un ennemi. J’ai aussi accessoirement cessé de boire la tasse comme un con. Mais, pourquoi est-ce que je suis en train de flotter dans l’eau en ce moment ? Ha ha, c’est con vous allez voir. Bah voilà, je souris maintenant, ça va mieux. En fait, j’étais en train de déconner il y a quelques minutes de ça, ça m’arrive de temps en temps. Pas tellement souvent, je vous rassure, mais quand je n’arrive plus à différencier mes sentiments de ceux des autres, ça a tendance à vite partir en vrille. Disons que je commence à sortir ma baguette et que je lance des sorts ? Ce n’est pas si terrible, sauf quand je lance des sorts offensifs, parce que le but finalement, c’est que les autres cessent de « ressentir » quoi que ce soit. Bah oui, je veux me vider la tête moi, me durcir le cœur, faire taire celui des autres. Ce qui parfois veut dire qu’il faut le mettre en sourdine, le fameux cœur bavard. Là, ça se passe toujours mal. Mais c’est bon, normalement j’ai quelqu’un qui me tire hors de là, les gens autour de moi sont au courant : si je commence à déconner, faut me lancer dans un point d’eau. Simple et efficace. Après, vrai que c’est plus ou moins confortable de se balader dans des vêtements trempés, surtout l’hiver je dirais, mais vaut mieux ça que de buter tout le monde.
L’eau est curative. En fait, c’est de la merde tout ça, même moi je le sais. L’eau ne change rien aux émotions, ce n’est jamais que dans ma tête. C’est comme ça qu’on m’a dressé, parce que oui finalement tout mon délire avec l’eau n’est jamais qu’une façon de dompter un animal potentiellement dangereux, aka moi. L’empathie est un don, mais c’est aussi un putain de boulet. Du genre à vous tirer vers le fond, surtout quand on se débat et on cris. Après, suffit qu’on vous convainc que ce n’est pas SI terrible, qu’il y a toujours une façon de passer à travers, qu’il suffit de prendre un bain, pour que ça aille tout de suite mieux. Je suis gérable comme ça. Je peux survivre. Je gagne en confiance. Ouais, je suis quand même vachement sexy avec mes vêtements tout mouillé, ne vous laissez pas berné. Et voilà, mon visage émerge et j’avale l’air à grande goulée. Reconnaissant. Soulagé. À nouveau stable. Mais pour combien de temps hein ? Ça c’est la beauté de la chose : on ne peut jamais le savoir. Ha ha ! Heureusement, je n’ai plus besoin de cette chambre terrible, celle sombre où je vivais petit, dans la grande demeure familial. Une chambre immergée sous l’eau où il faisait froid comme pas possible. On fait difficilement plus désagréable, même Durmstrang me semblait plus joyeux durant ma scolarité, c’est dire. Non maintenant, on a plus besoin de m’enfermer le temps que mon pouls se calme, que je cesse de trembler, j’ai appris à apprécier mon don, à l’utiliser, à blinder mon cœur et ma tête. Bon, évidemment les deux sont un peu tordus, mais le premier qui râle, je lui tire la barbichette ! Et pareille pour ceux qui oseront rire quand ils entendront mes pieds couiner au sol, je vais les arroser, muhahaha !
L’eau est froide. Trop probablement. Ce n’est rien, ça me réveille. C’est bien. Oui. C’est mieux même. L’eau m’éclaircit les idées, elle dilue les émotions en même temps que les voix. Oh je perçois encore l’inquiétude, puis le soulagement de mon grand-père, alors que je ferme les yeux. Mais tout le reste est étouffé par l’eau, celle-là même qui me porte en son sein, qui me pousse doucement vers le fond, puis tente plutôt de me rejeter vers le haut. Quand j’étais petit, j’avais peur de me noyer. Je combattais l’eau, je me débattais, j’écarquillais les yeux et je me vidais les poumons en criant. Mais battre des bras et hurler n’a rien d’intelligent. On y retrouve que de la fatigue et de l’eau dans les poumons, deux facteurs qui peuvent conduire à la noyade. Ce qui est relativement ironique. L’humain est stupide par défaut. Heureusement, j’ai appris avec les années, et grâce à grand-père l’eau a cessé d’être un ennemi. J’ai aussi accessoirement cessé de boire la tasse comme un con. Mais, pourquoi est-ce que je suis en train de flotter dans l’eau en ce moment ? Ha ha, c’est con vous allez voir. Bah voilà, je souris maintenant, ça va mieux. En fait, j’étais en train de déconner il y a quelques minutes de ça, ça m’arrive de temps en temps. Pas tellement souvent, je vous rassure, mais quand je n’arrive plus à différencier mes sentiments de ceux des autres, ça a tendance à vite partir en vrille. Disons que je commence à sortir ma baguette et que je lance des sorts ? Ce n’est pas si terrible, sauf quand je lance des sorts offensifs, parce que le but finalement, c’est que les autres cessent de « ressentir » quoi que ce soit. Bah oui, je veux me vider la tête moi, me durcir le cœur, faire taire celui des autres. Ce qui parfois veut dire qu’il faut le mettre en sourdine, le fameux cœur bavard. Là, ça se passe toujours mal. Mais c’est bon, normalement j’ai quelqu’un qui me tire hors de là, les gens autour de moi sont au courant : si je commence à déconner, faut me lancer dans un point d’eau. Simple et efficace. Après, vrai que c’est plus ou moins confortable de se balader dans des vêtements trempés, surtout l’hiver je dirais, mais vaut mieux ça que de buter tout le monde.
L’eau est curative. En fait, c’est de la merde tout ça, même moi je le sais. L’eau ne change rien aux émotions, ce n’est jamais que dans ma tête. C’est comme ça qu’on m’a dressé, parce que oui finalement tout mon délire avec l’eau n’est jamais qu’une façon de dompter un animal potentiellement dangereux, aka moi. L’empathie est un don, mais c’est aussi un putain de boulet. Du genre à vous tirer vers le fond, surtout quand on se débat et on cris. Après, suffit qu’on vous convainc que ce n’est pas SI terrible, qu’il y a toujours une façon de passer à travers, qu’il suffit de prendre un bain, pour que ça aille tout de suite mieux. Je suis gérable comme ça. Je peux survivre. Je gagne en confiance. Ouais, je suis quand même vachement sexy avec mes vêtements tout mouillé, ne vous laissez pas berné. Et voilà, mon visage émerge et j’avale l’air à grande goulée. Reconnaissant. Soulagé. À nouveau stable. Mais pour combien de temps hein ? Ça c’est la beauté de la chose : on ne peut jamais le savoir. Ha ha ! Heureusement, je n’ai plus besoin de cette chambre terrible, celle sombre où je vivais petit, dans la grande demeure familial. Une chambre immergée sous l’eau où il faisait froid comme pas possible. On fait difficilement plus désagréable, même Durmstrang me semblait plus joyeux durant ma scolarité, c’est dire. Non maintenant, on a plus besoin de m’enfermer le temps que mon pouls se calme, que je cesse de trembler, j’ai appris à apprécier mon don, à l’utiliser, à blinder mon cœur et ma tête. Bon, évidemment les deux sont un peu tordus, mais le premier qui râle, je lui tire la barbichette ! Et pareille pour ceux qui oseront rire quand ils entendront mes pieds couiner au sol, je vais les arroser, muhahaha !
you are ten percent horror - don’t worry
you want to tear things apart, watch them bleed and put them back together again. you craves that pain, that sharpness that only you and your blade can bring. ☘
Putain, ça fait un mal de chien cette satanée marque ! Je suis là, plantée sur place, encore à grimacer et à me frotter le bras, alors qu’on m’a estampé le logo « je suis un mauvais garçon trop cool », aka je suis devenue mangemort, il y a quoi quelques heures déjà. Mais rien à faire, moi je me frotte le bras, encore un peu secoué. En fait, je ne m’attendais pas à ce que ça fasse aussi mal. Je ne suis pas douillet normalement. Pas vraiment. Mais là, je dois l’avouer, c’est vraiment terrible ce truc. Et des jeunes en rêve ? Putain la déception qu’ils doivent se farcir après coup. Autour de la table où je finis par m’installer, mon père s’installe sans même regarder son propre bras. C’est qu’aujourd’hui les Hvedrung ont prêtés serment au grand Voldemort. Je suis donc bel et bien le plus douillet du groupe, mais à ma décharge, mon frère cadet se frotte subtilement le bras sur la table et ma petite sœur n’a de cesse de nous regarder avec curiosité. Même mon frère ainé semble serrer les dents, moi au moins je souris. D’ailleurs nous formons un drôle de groupe là tout de suite, normalement nous sommes les plus joyeux membres des assemblés, à rire entre nous, à sourire, à lancer des répliques pas toujours bien accueillis. Pas aujourd’hui il semblerait. Mon père semble réfléchir et moi j’hésite. À sortir mes antennes d’empathe. À sonder leurs émotions. Enfin, du moins celles de papa. Est-ce qu’il regrette son choix ? Parce que moi non. Même si c’est douloureux, je considère que nous avions raison. Tout ça promet tellement !
Alors, utiliser le don ou pas ? C’est difficile de choisir, mais à voir comment mon frère cadet pousse un grognement et se décide à frotter sa marque, je me dis que nope ! Finalement, je n’ai aucune envie de ressentir la douleur et l’agacement de tout le monde. Sinon, je suis bon pour retourner bosser de mauvais poil et ça, Lola ne risque pas d’apprécier. Bon déjà, il faut dire qu’elle ne m’apprécie pas des masses, comme pas mal de gens malheureusement. Il y a beaucoup trop de balais distribués à Londres, tout le monde est d’un sérieux qui frôle la constipation. Je m’inquiéterais si j’étais anglais, quoi que non, si j’étais comme eux tous, je chercherais surement un balai à m’enfoncer là où je pense. BREF ouais, il faut que j’arrête de me frotter le bras, ça va finir par faire une marque, HA HA HA je suis drôle parfois ! Mais non. Bref je me calme un peu et je jette un regard au reste de la famille. Pour un repas entre Hvedrung, ce n’est pas la joie hein. Aller, un petit sourire et je me redresse, quant à devoir regarder tout le monde s’empêcher de se peloter le bras, je préfère encore rentrer bosser. Moi, j’ai à faire. Les autres aussi, mais eux, ils ne bossent pas avec Lola, ce qui explique tout. Je vais aller oublier la douleur agaçante en allant embêter ma collègue, ce sera marrant à tous les coups.
Évidemment, avant que je parte, mon père me retient pour me questionner. Est-ce que je comprends ce que nous venons de faire ? Je souris. Nous sommes tous ensemble, nous avons choisis un camp, évidemment nous allons nous amuser, nous nous amusons toujours, nous les descendants de Loki, mais c’est un jeu possiblement mortel. Ça aussi je le sais. C’est ce qui la rend la chose aussi intéressante, aussi excitante. Qui sait ce que demain nous réserve hein ? Bon, en fait moi je sais déjà, demain je me réserve de la lotion hydratante et probablement un mal de crâne dû à un surplus d’alcool ingérer pour oublier l’élancement qui ne me lâche pas le bras. Aller vite, que je retrouve Lola. Embêter les gens, ça fait tout oublier.
Putain, ça fait un mal de chien cette satanée marque ! Je suis là, plantée sur place, encore à grimacer et à me frotter le bras, alors qu’on m’a estampé le logo « je suis un mauvais garçon trop cool », aka je suis devenue mangemort, il y a quoi quelques heures déjà. Mais rien à faire, moi je me frotte le bras, encore un peu secoué. En fait, je ne m’attendais pas à ce que ça fasse aussi mal. Je ne suis pas douillet normalement. Pas vraiment. Mais là, je dois l’avouer, c’est vraiment terrible ce truc. Et des jeunes en rêve ? Putain la déception qu’ils doivent se farcir après coup. Autour de la table où je finis par m’installer, mon père s’installe sans même regarder son propre bras. C’est qu’aujourd’hui les Hvedrung ont prêtés serment au grand Voldemort. Je suis donc bel et bien le plus douillet du groupe, mais à ma décharge, mon frère cadet se frotte subtilement le bras sur la table et ma petite sœur n’a de cesse de nous regarder avec curiosité. Même mon frère ainé semble serrer les dents, moi au moins je souris. D’ailleurs nous formons un drôle de groupe là tout de suite, normalement nous sommes les plus joyeux membres des assemblés, à rire entre nous, à sourire, à lancer des répliques pas toujours bien accueillis. Pas aujourd’hui il semblerait. Mon père semble réfléchir et moi j’hésite. À sortir mes antennes d’empathe. À sonder leurs émotions. Enfin, du moins celles de papa. Est-ce qu’il regrette son choix ? Parce que moi non. Même si c’est douloureux, je considère que nous avions raison. Tout ça promet tellement !
Alors, utiliser le don ou pas ? C’est difficile de choisir, mais à voir comment mon frère cadet pousse un grognement et se décide à frotter sa marque, je me dis que nope ! Finalement, je n’ai aucune envie de ressentir la douleur et l’agacement de tout le monde. Sinon, je suis bon pour retourner bosser de mauvais poil et ça, Lola ne risque pas d’apprécier. Bon déjà, il faut dire qu’elle ne m’apprécie pas des masses, comme pas mal de gens malheureusement. Il y a beaucoup trop de balais distribués à Londres, tout le monde est d’un sérieux qui frôle la constipation. Je m’inquiéterais si j’étais anglais, quoi que non, si j’étais comme eux tous, je chercherais surement un balai à m’enfoncer là où je pense. BREF ouais, il faut que j’arrête de me frotter le bras, ça va finir par faire une marque, HA HA HA je suis drôle parfois ! Mais non. Bref je me calme un peu et je jette un regard au reste de la famille. Pour un repas entre Hvedrung, ce n’est pas la joie hein. Aller, un petit sourire et je me redresse, quant à devoir regarder tout le monde s’empêcher de se peloter le bras, je préfère encore rentrer bosser. Moi, j’ai à faire. Les autres aussi, mais eux, ils ne bossent pas avec Lola, ce qui explique tout. Je vais aller oublier la douleur agaçante en allant embêter ma collègue, ce sera marrant à tous les coups.
Évidemment, avant que je parte, mon père me retient pour me questionner. Est-ce que je comprends ce que nous venons de faire ? Je souris. Nous sommes tous ensemble, nous avons choisis un camp, évidemment nous allons nous amuser, nous nous amusons toujours, nous les descendants de Loki, mais c’est un jeu possiblement mortel. Ça aussi je le sais. C’est ce qui la rend la chose aussi intéressante, aussi excitante. Qui sait ce que demain nous réserve hein ? Bon, en fait moi je sais déjà, demain je me réserve de la lotion hydratante et probablement un mal de crâne dû à un surplus d’alcool ingérer pour oublier l’élancement qui ne me lâche pas le bras. Aller vite, que je retrouve Lola. Embêter les gens, ça fait tout oublier.
this is what i’ve been yearning for. divine.
this is what divine feels like, your skin beneath my fingertips, and god, i could destroy you, i think, but you wouldn’t let me, you’re the strong one, you keep it all back, you keep my mind from spilling out. ☘
J’inspire un bon coup, puis relâche tout. Je suis bien. Je commence tout juste à m’échauffer et souris un peu plus fort quand mon regard croise celui de la femme que j’interroge en ce moment. Elle, elle ne sourit pas du tout. Je sens même sa peur, elle émane de partout, elle suinte de tous ses pores. C’est assez dégoûtant en fait, de la voir autant s’exposer à moi. Bon, on ne peut pas tous êtres des vainqueurs hein ! Mais tout de même, un peu de tenu ne lui ferait pas de mal. Je n’ai pas besoin d’utiliser mon don avec elle, son visage est un livre ouvert, un peu de sang répandu et elle avoue tout. Ce qu’elle a vu, ce qu’elle a fait, et elle a été vilaine la coquine. C’est mal de se mêler aux histoires des grands sans y être invité. Je fais claquer ma langue contre mon palais en secouant la tête, ma baguette tendu devant moi, sous son menton, que j’entaille très lentement. Elle pleure à nouveau et je lui caresse la tête de l’autre main. Je lui murmure des mots d’une voix douce. Elle va se vider de son sang lentement. Elle va souffrir jusqu’à la fin. Elle aurait une fin plus lente, plus agréable si elle m’avouait plus de chose. Mais c’est faux, elle ne pourra pas s’en tirer. Pas elle. J’ai un travail à faire, je suis venu à Londres pour une raison précise, mais j’y développe un autre penchant. Une passion pour le sang. Celui que je fais couler depuis la chaire meurtris de la femme. Celui que je goûte depuis le bout de ma baguette, que je lèche lentement, devant des yeux écarquillés d’horreur. De dégoût même ? La gifle part toute seule, d’une part reculé de ma personne. Un bout de moi qui ne tolère pas ce genre d’effronterie. Pas de la part d’une victime. D’un animal blessé.
La femme pleure maintenant. Elle sanglote et le bruit ne m’agace pas tant que ça. Non, en fait j’aime bien le son qu’elle fait, prostrée sur sa chaise. L’eau salé se mêle au sang, le dilue par endroit. Rehausse son goût. Alors je me penche et je lape sa joue lentement, je goûte la peur qui lui étreint l’intérieur, je savoure sa détresse. Elle n’est plus qu’une boule d’anxiété, elle craint le pire, sa mort, ma cruauté. Elle a mal, elle est malheureuse, elle est en perdition. Et si je laisse filtrer ses émotions jusqu’à moi, je ne les garde pas assez pour me laisser être affecté. Pas avec une victime. Jamais. Il y a des mesures à prendre quand on joue le rôle de bourreau et l’empathie n’a d’utilité que durant les questions, sinon, il faut la repousser. Alors je referme tout mon être, je laisse ses émotions me glisser dessus comme l’eau sur le dos des canards. Et quand je quitte finalement la pièce, quand je l’abandonne à son sort, soit à saigner à mort, je termine de me lécher le dessus d’une main. Je n’ai pas été très délicat aujourd’hui, je m’en suis mis un peu partout, c’est quand même con. Tant pis hein, j’en suis à frotter une tâche sur ma cravate, quand je rejoins Lola. Elle m’attendait, à ma demande ? Je ne sais plus trop mais je lui offre mon plus beau sourire. Cela dit, c’est plus fort que moi, le goût de sang mêlé de larme toujours en bouche, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer ce que ce serait de la faire saigner, ELLE. Lola la dur, Lola la grande, Lola l’acharné. Son sang doit être goûteux. Son sang doit flatter sa silhouette, son regard. Je l’en habillerais avec soin, pas pour la tuer, non. Je tiens bien trop à ma partenaire, j’adore l’entendre râler, et là elle soupire, agacée. C’était long hein ? Tant mieux, tant mieux. Je range ma baguette et m’arrête à côté de Lola, qui déjà se met en route pour sortir de la vieille maison à moitié détruite, un endroit de choix pour ramener des témoins et les questionner. Mais avant qu’elle ne se mette en route, j’ai le temps de glisser mes doigts dans ses cheveux, de quoi la faire enrager et me faire rire. Je la relâche aussitôt, peut-être que si je me tiens bien, elle acceptera qu’on passe prendre un encas en route hein ? Ou même de prendre un verre après le boulot ! Mais là, je rêve en couleur. Et pourtant, alors que je trotte derrière elle, je sens qu’elle est heureuse d’être près de moi, qu’elle a aimé sentir mes doigts dans ses cheveux. Jamais elle ne l’avouera et c’est pile pourquoi je la pourchasse. Les anglaises sont tellement amusantes !
J’inspire un bon coup, puis relâche tout. Je suis bien. Je commence tout juste à m’échauffer et souris un peu plus fort quand mon regard croise celui de la femme que j’interroge en ce moment. Elle, elle ne sourit pas du tout. Je sens même sa peur, elle émane de partout, elle suinte de tous ses pores. C’est assez dégoûtant en fait, de la voir autant s’exposer à moi. Bon, on ne peut pas tous êtres des vainqueurs hein ! Mais tout de même, un peu de tenu ne lui ferait pas de mal. Je n’ai pas besoin d’utiliser mon don avec elle, son visage est un livre ouvert, un peu de sang répandu et elle avoue tout. Ce qu’elle a vu, ce qu’elle a fait, et elle a été vilaine la coquine. C’est mal de se mêler aux histoires des grands sans y être invité. Je fais claquer ma langue contre mon palais en secouant la tête, ma baguette tendu devant moi, sous son menton, que j’entaille très lentement. Elle pleure à nouveau et je lui caresse la tête de l’autre main. Je lui murmure des mots d’une voix douce. Elle va se vider de son sang lentement. Elle va souffrir jusqu’à la fin. Elle aurait une fin plus lente, plus agréable si elle m’avouait plus de chose. Mais c’est faux, elle ne pourra pas s’en tirer. Pas elle. J’ai un travail à faire, je suis venu à Londres pour une raison précise, mais j’y développe un autre penchant. Une passion pour le sang. Celui que je fais couler depuis la chaire meurtris de la femme. Celui que je goûte depuis le bout de ma baguette, que je lèche lentement, devant des yeux écarquillés d’horreur. De dégoût même ? La gifle part toute seule, d’une part reculé de ma personne. Un bout de moi qui ne tolère pas ce genre d’effronterie. Pas de la part d’une victime. D’un animal blessé.
La femme pleure maintenant. Elle sanglote et le bruit ne m’agace pas tant que ça. Non, en fait j’aime bien le son qu’elle fait, prostrée sur sa chaise. L’eau salé se mêle au sang, le dilue par endroit. Rehausse son goût. Alors je me penche et je lape sa joue lentement, je goûte la peur qui lui étreint l’intérieur, je savoure sa détresse. Elle n’est plus qu’une boule d’anxiété, elle craint le pire, sa mort, ma cruauté. Elle a mal, elle est malheureuse, elle est en perdition. Et si je laisse filtrer ses émotions jusqu’à moi, je ne les garde pas assez pour me laisser être affecté. Pas avec une victime. Jamais. Il y a des mesures à prendre quand on joue le rôle de bourreau et l’empathie n’a d’utilité que durant les questions, sinon, il faut la repousser. Alors je referme tout mon être, je laisse ses émotions me glisser dessus comme l’eau sur le dos des canards. Et quand je quitte finalement la pièce, quand je l’abandonne à son sort, soit à saigner à mort, je termine de me lécher le dessus d’une main. Je n’ai pas été très délicat aujourd’hui, je m’en suis mis un peu partout, c’est quand même con. Tant pis hein, j’en suis à frotter une tâche sur ma cravate, quand je rejoins Lola. Elle m’attendait, à ma demande ? Je ne sais plus trop mais je lui offre mon plus beau sourire. Cela dit, c’est plus fort que moi, le goût de sang mêlé de larme toujours en bouche, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer ce que ce serait de la faire saigner, ELLE. Lola la dur, Lola la grande, Lola l’acharné. Son sang doit être goûteux. Son sang doit flatter sa silhouette, son regard. Je l’en habillerais avec soin, pas pour la tuer, non. Je tiens bien trop à ma partenaire, j’adore l’entendre râler, et là elle soupire, agacée. C’était long hein ? Tant mieux, tant mieux. Je range ma baguette et m’arrête à côté de Lola, qui déjà se met en route pour sortir de la vieille maison à moitié détruite, un endroit de choix pour ramener des témoins et les questionner. Mais avant qu’elle ne se mette en route, j’ai le temps de glisser mes doigts dans ses cheveux, de quoi la faire enrager et me faire rire. Je la relâche aussitôt, peut-être que si je me tiens bien, elle acceptera qu’on passe prendre un encas en route hein ? Ou même de prendre un verre après le boulot ! Mais là, je rêve en couleur. Et pourtant, alors que je trotte derrière elle, je sens qu’elle est heureuse d’être près de moi, qu’elle a aimé sentir mes doigts dans ses cheveux. Jamais elle ne l’avouera et c’est pile pourquoi je la pourchasse. Les anglaises sont tellement amusantes !
Re: Felix [Exci]
missives depuis. On dit que je ressemble à :
Garrett Hedlund
; je dois mon avatar à :
Ronnybaby et ma signature à Shinouh.
Je suis :
trop pris(e)
pour un nouveau rp, mes dialogues sont en :
#1295C1
‹ liens utiles:
She calls my arms a crime scene ☘
CP ☘ Susanna ⌇ Poison Ivy
TC ☘ Ekkehardt ⌇ Old'spice
J'ai :
trente
ans et je suis :
membre de la brigade magique. DONC je vais questionner des gens, je mène des enquêtes et je me gave de café -et de dragée- au frais de la princesse -Voldy-.
J'ai appartenu à la maison :
Durmstrange, rien à voir avec Poudlard
Ma baguette :
est brisée... oh triste vie.
J'ai :
562
Gallions (ʛ) à la banque et on dit de moi que :
je suis un sacré cas. Trop joyeux, trop bavard, trop tactile, trop agaçant, mais aussi bien trop attachant. Ah et très sexy aussi, ça c'est l'accent mesdames et messieurs. Non, non, vous n'avez pas le droit de m'envier, il faut m'aimer !
‹ expérience:
• influence
■■■■■■■■■■
• charisme
■■■■■■■■■■
• discipline
■■■■■■■■■■
• enseignement
■■■■■■■■■■
• organisation
■■■■■■■■■■
• cruauté
■■■■■■■■■■
• meilleur hôte
■■■■■■■■■■
• créativité
■■■■■■■■■■
• combat
■■■■■■■■■■
• résistance
■■■■■■■■■■
Je suis :
empathe, plutôt doué en plus. Un enfoiré qui peut savoir comment vous vous sentez en vous touchant tout simplement. Après, je ne le cri pas sur les toîts hein, c'est bien plus amusant comme ça !
Il faut savoir que :
j'ai un fort accent en anglais, que je souris en permanence, et ce n'est pas QUE pour me foutre de votre gueule. Mon don d'empathie n'est pas encore un fait public, mais que j'en abuse à tout bout de champ. Que je flirt sans arrêt avec tout le monde, ennemi ou pas. Que je suis LE type à inviter à votre réception. Je ne déconne pas !
J'habite :
à la Bran Tower, dans mon appartement personnel. La famille c'est bien beau, mais à mon âge et avec mon don, un peu de solitude fait le plus grand bien. Bon, quand j'aurais une famille, il faudra bien déménager tout ce beau monde ailleurs, mais d'ici là, y'a le temps.
Mon Patronus est :
un renard corsac
et mon épouvantard représente :
la chambre que j'avais gamin, celle qui puait l'humidité, à moitié immergée. Une abomination.
Si je le fixais, le Risèd refléterait :
une armée de gamin avec un vague air de famille avec moi. Ouais, j'assume, moi je veux me reproduire comme les Weasley !
Garrett Hedlund
; je dois mon avatar à :
Ronnybaby et ma signature à Shinouh.
Je suis :
trop pris(e)
pour un nouveau rp, mes dialogues sont en :
#1295C1
‹ liens utiles:
She calls my arms a crime scene ☘
CP ☘ Susanna ⌇ Poison Ivy
TC ☘ Ekkehardt ⌇ Old'spice
J'ai :
trente
ans et je suis :
membre de la brigade magique. DONC je vais questionner des gens, je mène des enquêtes et je me gave de café -et de dragée- au frais de la princesse -Voldy-.
J'ai appartenu à la maison :
Durmstrange, rien à voir avec Poudlard
Ma baguette :
est brisée... oh triste vie.
J'ai :
562
Gallions (ʛ) à la banque et on dit de moi que :
je suis un sacré cas. Trop joyeux, trop bavard, trop tactile, trop agaçant, mais aussi bien trop attachant. Ah et très sexy aussi, ça c'est l'accent mesdames et messieurs. Non, non, vous n'avez pas le droit de m'envier, il faut m'aimer !
‹ expérience:
• influence
■■■■■■■■■■
• charisme
■■■■■■■■■■
• discipline
■■■■■■■■■■
• enseignement
■■■■■■■■■■
• organisation
■■■■■■■■■■
• cruauté
■■■■■■■■■■
• meilleur hôte
■■■■■■■■■■
• créativité
■■■■■■■■■■
• combat
■■■■■■■■■■
• résistance
■■■■■■■■■■
Je suis :
empathe, plutôt doué en plus. Un enfoiré qui peut savoir comment vous vous sentez en vous touchant tout simplement. Après, je ne le cri pas sur les toîts hein, c'est bien plus amusant comme ça !
Il faut savoir que :
j'ai un fort accent en anglais, que je souris en permanence, et ce n'est pas QUE pour me foutre de votre gueule. Mon don d'empathie n'est pas encore un fait public, mais que j'en abuse à tout bout de champ. Que je flirt sans arrêt avec tout le monde, ennemi ou pas. Que je suis LE type à inviter à votre réception. Je ne déconne pas !
J'habite :
à la Bran Tower, dans mon appartement personnel. La famille c'est bien beau, mais à mon âge et avec mon don, un peu de solitude fait le plus grand bien. Bon, quand j'aurais une famille, il faudra bien déménager tout ce beau monde ailleurs, mais d'ici là, y'a le temps.
Mon Patronus est :
un renard corsac
et mon épouvantard représente :
la chambre que j'avais gamin, celle qui puait l'humidité, à moitié immergée. Une abomination.
Si je le fixais, le Risèd refléterait :
une armée de gamin avec un vague air de famille avec moi. Ouais, j'assume, moi je veux me reproduire comme les Weasley !
bat'phanie stuff :: TASTY PLAYGROUND :: Rp land ~ :: Fiches
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|