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an overdose of milk and honey ⟐ m.v [WAB]

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Message  Stephy Mar 25 Juil - 20:12



Vilhjálmsson, Medbh
Yes, this is a war zone. Yes, blood has been spilled here.
A warning: It has never been mine.
© pic from we ❤ it & cita by Salma Deera


identité
✧ PRÉNOM(S) Medbh. (Mè-ve) Un bout d’irlande à massacrer, à écorcher, et ce, sans pourtant aucune méchanceté. Un « Mè-ve » qui peine à naître sur les lèvres – trop compliqué, trop différent de sa formule écrite. Un prénom qui ne se chante pas comme on le dessine. Ancienne possession d’une reine guerrière mythologique, un talisman comme un autre. Pour que tu sois forte. Pour que tu sois victorieuse. De qui, de quoi? Mais de tout. De ce monde pourri.
✧ NOM Vilhjálmsson. (Mil-chan-laime-son) Nom impossible, douce torture qui n’en fini jamais. La cruauté de l’islande à son meilleur. Un cauchemar à lire. À écrire. L’air frais et les cheveux blonds de ton père, pour signature. Pour tortionnaire. La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, n’est-ce pas? Jamais.
✧ ÂGE Vingt-deux ans. Un fait qui étonne, qui détonne. La faute à tes airs de petite fille. Poupée sur-vivante, le rire facile. Le sourire comme un bonbon sur la langue. On ne t’en donne bien souvent pas plus de dix-huit. Parce que tu les étourdis, trop sucrée. Trop douce. Trop naïve – qu’ils croient.
✧ LIEU DE NAISSANCE Tybee Island, Georgie. Les doigts enfoncés dans le sable chaud. Les orteils gigotant dans l’eau froide. Et ton rire porté par le vent, celui qui emmêle tes cheveux. Faute d’avoir connu l’Islande, à défaut d’avoir grandis en Irlande, tu t’es fais petit volcan de Tybee. Évidemment, tout ce qui est petit, à tendance à être encore plus dangereux. Mortel. Les feux ne commencent-ils pas de par une simple étincelle? L’étincelle de Tybee, c’est toi. Ou du moins, le crois-tu.
✧ NATIONALITÉ Américaine. Bleu, blanc, rouge, qu’importe tes racines. Le vert de ta mère, le bleu clair de ton père. Il ne reste que le rouge en toi. Le grand rêve américain. La folie des grandeurs – la folie tout court. Les rêves gourmands. Les possibilités illusoires. Et le superficiel de ton univers, de ta patrie, te sers assurément. Ici, tout ce qui est assez joli, peut briller. Et peut-être que tu lui ressembles même un peu trop – aussi pourris de l’intérieur.
✧ ORIGINE Irlandaise et islandaise. Maman t’as légué le feu de ses cheveux et l’éclat lumineux de son sourire. Mais tout le reste porte tout autant son sceau – depuis l’arrondis de ton nez à la moue enfantine de tes lèvres. Papa ne t’a offert que ses yeux clairs, que l’étincelle qui y scintille – tantôt malicieuse, puis brouillée. Mesquine? À peine. Et puis il y a ton feu intérieur, celui qui dévore tout, qui léche tout ce que tu es. Qui consomme – toi et puis tous les autres. Cette faim constante dont il t’a parlé très jeune. Est-ce que la folie est héréditaire? Parfois. La votre, assurément.
✧ ÉTUDES, EMPLOI 1ère année du master en psychologie. Tu rêves de devenir psychiatre. De fouiller l’esprit des autres. De les embrouiller, à coup de comprimé. À coup de cajolerie. Peut-être qu’un jour tu ne seras plus qu’une âme aigrie griffonnant sur des bouts de papiers, gavant le monde entier – parce qu’il est malade, évidemment – de comprimé. Mais pour l’instant, tu ne désires rien de plus que de t’immiscer dans leurs esprits. Dans leurs folies. Tu veux les explorer, eux tous et leurs démons. Fort heureusement pour toi, tes bonnes notes ne trahissent rien d’étrange. D’anormal. Tu vas très bien. Et pour être certaine de garder une longueur d’avance, de rester dans les petits papiers de tout ce beau monde, tu travailles certain soir a l’hôpital. Les petits vieux t’adorent, les enfants chantent ton prénom et même les médecins t’offrent des sourires en coin. Ton coin préféré ? La psychiatrie - parce que tu veux y finir. En tant que spécialiste, évidemment. Tu ne comptes pas y être patient - pas avant longtemps.
✧ STATUT CIVIL Flou. Parce que tu vas trop vite, ou pas assez. Parce que tu n’es jamais entièrement possédée – plus depuis Tyfy. Plus depuis que tu lui a brûlé le ventre – d’envie et de colère. La jalousie comme un acide sur ses plaies. Et tu ne regrettes rien. Jamais. Alors tu laisses les autres approcher, devient la meilleure amie des plus adorable, jusqu’à ce que la limite soit flou. Que l’amitié soit souillée d’autre chose. Des mains baladeuses. Des sourires trop sucrés. De tes lèvres, mordillées, souriantes. Toujours. Tu joues l’ingénue, la candeur incarnée. La petite sœur improvisée, celle qui cogne entre les côtes. Soeur de coeur. Soeur de malheur. Celle qu’ils veulent posséder. Souiller, sans savoir que tu n’as plus rien de nette. Tu aimes devenir la hantise. Le tendre objet de convoitise. Quant aux pantins sans fils, ceux impossible à contrôler, à faire danser, ils sont sans intérêt. Tu n’essaie même pas. Jamais vraiment longtemps. Tyfy est la seule exception – et aujourd’hui une délicieuse obsession.
✧ CARACTÈRE Double face. À la fois douce et piquante. À priori, tu es l’éternelle jeunesse. La candeur, en apparence. Trop pur pour ce monde. Trop bonne, trop gentille. Le coeur sur la main. Généreuse de ton temps et de ta bonne humeur. De tes conseils. De ta chaleur. Solaire mais sans aucune prétention, sans aucun appétit pour le grand et brillant projecteur. Tu es l’amie, la petite sœur, celle qui écoute d’un air attentif et qui ris à toutes les blagues. Passionnée et passionnante, parce que tu vois des merveilles dans tout. Parce que tu brilles de l’intérieur, sans prétention, sans même essayer. Humble. Simplement adorable. Puis il y a le revers de la médaille. Ton sens de l’observation qui ne sert qu’à mieux comprendre les autres pour les utiliser. Les manipuler. Parce que tout ton optimisme ne parvient pas à gommer la vérité toute cru : ce monde est pourri. Ton instinct de survie – mieux vaut eux que toi. Cette fascination pour les obsessions des autres. Les manies. Les tics. Il y a quelque chose de pervers dans ton regard, derrière la plupart de tes gestes. Quelque chose de calculé. Des attentes. Tu n’es pas SI gentille, tu profites, tu attends. Tu prends. Et tu exiges, silencieusement. Tout bas, tu veux être fait reine. La frustration pulse en toi, la colère aussi. Femme volcan, tu es tout feu tout flamme, pour peu qu’on ose approcher trop près. Trop vite. Mais qui pourrait le croire? Personne – Tyfy, âme jumelle. Âme sœur. Tu as la rancœur enraciné profondément.
✧ GROUPE SIROCCO.

ft. Lindsay Hansen
Votre pire souvenir (ou par défaut votre meilleur souvenir) ? ✧ Tu peines à voir le « pire » comme un degré. Il n’y a pas de « pire » mauvais souvenir. Il n’y a que des mauvais souvenirs.
Celui de Chace – bruyant, vibrant. La colère et la rage dans ton ventre, un feu de forêt prêt à tout anéantir. Parce que là où tu avais cru pouvoir être la douce enfant de ta mère, lui ne voulait qu’un tour de manège. Un drame de rien, une norme. Tu es devenue une statistique et tu as oublié son sourire en coin. Le haussement innocent de ses épaules – mauvaise pioche Medbh. Foutu mauvaise pioche, oui.
Celui de Nomi – aigre, doux. Un cobaye mal traité. L’un de tes seuls regrets – de ne pas avoir joué davantage? D’avoir du cesser trop tôt? Tu ne sais plus. Tu sais seulement que son prénom te laisse encore un goût amer en bouche. Ses parents n’avaient pas le droit de te la retirer, de considérer son obsession pour ta personne, comme toxique. Jusqu’où aurait-elle pu aller? Difficile à dire.
Celui de Tyfy – brulant, acide. Comme une gifle en pleine gueule. Un rappel à l’ordre – l’amour n’est pas tendre. Pas facile. L’exclusivité, c’est pour cendrillon – et quelle conne quoi. Tu savais qu’il te trompait, mais jusqu’à là il n’avait jamais osé regarder ailleurs en ta compagnie. Jamais. Tu n’avais aucune envie de te séparer de lui, mais il devait être puni. Il devait apprendre. À la dur.

Quelles sont les personnes en qui vous avez le plus confiance ? ✧ Ton père t’as appris à te fier tout d’abord, à toi même. À ton instinct. Puis, à lui. Parce que papa sera toujours là pour te défendre. Pour t’aider. Achever tes batailles, si jamais une pause pipi devait s’imposer. Le reste du monde n’a qu’à bien se tenir – le monde est égocentrique. Un univers remplis de nombril. Alors tu prends soin du tien. Et jamais, au grand jamais, tu ne comptes sur ta mère. Il n’y a rien de pire que les bonnes intentions de quelqu’un qui croit nous connaître, pour nous faire du mal. Or, ta mère t’aime beaucoup trop. Elle aime l’image qu’elle c’est fait de toi. La Medbh parfaite. L’enfant obéissante. Le modèle à suivre. Elle ne comprend rien à tes angles tranchants. Elle ne voit pas le sang – ce n’est jamais le tien, jamais vraiment. Pauvre maman.

Avez-vous perdu un être cher au cours de votre vie ? ✧ Pas encore. Pas vraiment. Tes parents se portent très bien – dieu merci. Quant à Tyfy, tu ne l’as pas réellement perdu. Jamais. Parce que tu rôdes toujours, trop près. Trop loin. Un bras de distance supplémentaire, pour le garder en haleine. Pour qu’il ne perde pas entièrement ta trace – qu’il ne t’oublie pas. Une sirène n’est rien sans un marin à noyer, sans un bateau à faire sombrer. Et même si son épave gît toujours au fond de l’océan – celui de ses sentiments, une eau trop sombre et grouillante de créature encore inconnue – tu sais qu’elle remontera. Qu’un jour, la voile claquera dans l’air. Tu attends ce jour impatiemment. Perchée sur ton rocher. Du magma solide. Ton propre océan fait de feu liquide. La prochaine fois, Tyfy ne coulera pas. Il brûlera. Peut-être même, avec toi. Tu n’as encore rien perdu. Ni lui. Ni ce « vous » toxique. De l’acide plein la bouche. Et s’il venait à remporter le coeur de la mort, et s’il devait gagner son passage auprès de Charon? Impossible. Il ne peut pas traverser le styx sans toi. Probablement parce que Tyfy n’a pas encore pleinement compris que l’enfer, c’est toi. Que tous ses démons ont ton visage.


anecdotes.

✧ 01 Bonne chrétienne. Même si tu sais que c’est l’enfer qui t’attend – et peut-être que toi aussi, tu l’attends tien – tes dimanches matins sont réservés à la messe. Moment familial. Moment de calme. Il y a quelque chose d’apaisant à s’assoir sur un banc de bois et à prier un être invisible. Un tyran. Dieu doit un peu te ressembler de toute manière, vu l’état du monde actuel. Et les autres peuvent bien en rire, sourire d’un air attendris, tu te contentes d’hausser les épaules. Gentille fille – ou pas. ✧ 02 Enfant unique. Vous auriez du être une armée de gamin. Des roux et des blonds. Mais ta mère n’a pas pu. Son corps n’aurait pas tenu. Alors il n’y a que toi. Et ton appétit dévorant. Et ce manque d’amour. Cet espace trop grand. Cette solitude qui t’a rendu trop charmante avec tous les autres. Parce que si tu ne peux pas avoir une grande famille, alors tu comptes te noyer sous les amitiés aux limites en dents de scie. ✧ 03 Allergie. Les animaux à poil sont un souci. Pour ton nez. Tes yeux. Tout ton système immunitaire. VDM. Pourtant, tu les aimes bien. De loin. Très loin. De fait, aussi adorable puisses-tu vouloir être, tu fuis les petites bestioles à poil. Sauve qui peut. ✧ 04 Sucette. À chacun sa dépendance. Là où certains de tes amis ne savent pas se passer de nicotine ou de cafféine, de boisson énergisante ou d’alcool fort. Toi, tu abuses des drogues douces. Tu folâtres avec le sucre : les sucettes, plus précisément. Chupa Chups, à la vie, à la mort. Et pis ton haleine sucré, ce n’est jamais qu’un argument de plus pour convaincre le monde entier que tu n’es qu’un adorable chaton. ✧ 05 Psychiatrie. C’est ta passion, ton ambition. Plus tard, tu veux prescrire les comprimés de ton choix, mais tu comptes aussi écouter tes patients. Apprendre à connaître chacun de leurs démons. Leur filer des noms. Des intentions. Tu prends presque ton pied, rien qu’à y penser. ✧ 06 Papa. C’est ton héros. Ton modèle. L’homme que tu cherches, ailleurs. Dans le regard sombre, inquiétant même, des autres. Mais personne n’est à la hauteur – pas vraiment. Jamais entièrement, sinon un certain égyptien paumé. Faut que tu lui files un mémo bientôt. Ton père trompe ta mère depuis des années – depuis toujours, te semble-t-il. Mais ça ne te dérange pas, lui non plus. Cela dit, malgré ses errances, il n’a jamais cessé de regarder ta mère avec dévotion. Tu veux la même. La. Même. ✧ 07 Réputation. Tu es depuis toujours la gentille fille, la serviable. Le modèle à suivre, celle qu’on indique et qui fait rouler des yeux les moins conciliant. Trop bonne, trop conne, qu’on dit. Ça te fait sourire. Ça te fait rire. Et puis il y a les quelques chuchotements – ceux étouffé rapidement. Impossible. Incroyable. Ceux qui te dépeint comme autre chose. Une intrigante. Un peu cruelle. Un peu fêlée. Tu es plus exigeante que la moyenne, voilà tout? Ça te fait sourire aussi. ✧ 08 Amitié. Tu as trop d’ami, qu’on dit. Parce que tu as tendance à connaître un peu tout le monde. À noter des informations sur chacun, dans ton esprit. Que tu as toujours un mot gentil. Toujours un sourire à offrir. Amicale, chaleureuse, trop sociale. Il n’existe qu’une poignée de gens qui te connaissent vraiment – et encore, tu peines parfois à réellement te reconnaitre. ✧ 09 Relation. Les limites sont toujours flou avec toi. Tu passes d’amie à meilleure amie, à petite sœur. Et encore plus fort. Plus encore. Tu n’es pas qu’une épaule sur laquelle pleurer. Un front à embrassé. Tu tentes de satisfaire tout le monde – semble-t-il. Mais tu exiges silencieusement. Leur amour. Leur protection. Leur dévotion. La faute à ton charme naturel, à tes allures de petite fille, demoiselle en détresse. À sauver. À enlacer. Si seulement ils acceptaient de te laisser les noyer, eux aussi. Alors tu alternes entre les rôles – jamais entièrement possédée. Jamais réellement offerte. À effleurer du bout des doigts, à étreindre un après midi. L’intimité d’un matin partagé, avant de redevenir ami. De redessiner la limite. Celle perpétuellement flou. Ce ne sont jamais que des jeux d’enfants. ✧ 10 Phobie. Le silence. La solitude. Le grand néant. Alors tu traines toujours des écouteurs avec toi. De la musique pour remède. Les réseaux sociaux pour te rassurer. Tu n’es pas seule, jamais vraiment. ✧ 11 Plein air. En opposition à toutes les heures cumulées à l’intérieur – l’hôpital et l’école exigeant énormément – tu as un besoin presque viscéral d’être à l’extérieur. Tu va camper depuis toute petite – tu as d’ailleurs été jeannette – et de fait, tu adores la randonnée. L’escalade. Mais le camping exige du temps, ce dont tu manques cruellement. Alors tu te contentes des grandes vacances, pour recommencer. Ton compromis? Les roadtrips. ✧ 12 Transport. C’est ton vélo qui te porte partout à travers la ville. Un choix que tu as fais. Parce que plutôt que d’accepter la jolie voiture suggéré par papa, tu préfères avoir une raison de mettre le nez dehors plus de cinq minutes. Le vélo, c’est parfait. Ta planche à roulette aussi, si tu as quelques heures à perdre – ou envie d’aller jouer au basket, quitte à t’inviter dans une partie déjà en cours. ✧ 13 Sport. Autrefois, tu étais une mordu du sport. Le basketball comme premier amour, puis le football, le baseball un peu moins, mais tu as goûté un peu à tout. Parce que tu aimes te dépenser, parce que les sports d’équipe te font vibrer. La faute à l’adrénaline partagée. Au but commun. Parce que la compétition, c’est toujours plus mignon avec des alliés avec qui la partager. ✧ 14 Party. Tu es de celle qui ne dit jamais non, évidemment. Se réunir, danser et boire, c’est toujours un plaisir. Mais seulement les weekends – tu es trop occupée, trop motivée. Et parfois, tu pousses le vice jusqu’à consommer plus que de l’alcool. La faute à Tyfy. La faute à votre passé commun. Depuis, tu aimes bien perdre le nord. Laisser les autre voir ce que tu dissimules dans ton ventre, avec un quelconque comprimé pour prétexte. Pour excuse. Du reste, tu as une descente correct – surtout vu ton poids plume. Oh et tu ne perds pas tes vêtements à mesure que tu te remplis d’alcool, ou d’autre chose, un bon point pour toi. ✧ 15 Vêtement. Avec toi, tout est toujours une question de confort. La dentelle, c’est joli mais ça gratte. Non, vive le coton. Les t-shirt imprimés – de vieux groupe rock que ton père adore ou de message ridicule – sont quasi une passion chez toi. Tu alterne entre le moulant dessous et le trop grand dessus. Les t-shirt ajusté doux sur la peau, les chemises d’homme enfilé par-dessus des hauts exposant tout juste ton nombril et les jeans usés. Des trous partout. Les jupes, c’est pour les grandes occasions. Les robes, c’est pour la messe. Ton unique élan de coquetterie? Ta veste de cuir – un classique. ✧ 16 Parfum. Fidèle à l’image que tu projettes, tu embaume la vanille. Délicatement sucré, un parfum innocent. Familier. Rassurant, si possible. ✧ 17 Bisexuelle. Ce n’est pas un secret pour qui que ce soit – pas même pour ta mère. Exigeante auprès des autres, capricieuse en beaux sentiments, il était essentiel que tu élargisse ton champ de manœuvre. Mais tu aimes les extrêmes – les plus doux ou les plus acides. Rien entre les deux. Tu cherches les filles fait de guimauve, jusqu’à t’en donné la nausée. Tu cherches les roses recouvertes d’épine vénéneuse, pour voir si tu peux encore saigner. Et puis tu aimes les vilains garçons, ceux qui t’offrent tout juste un sourire en coin – ceux qui parlent mal et crois t’apprendre la vie. Pour les voir se repentir, à genoux devant toi, exalté. Et puis tu les aimes timide, osant à peine espérer quoi que ce soit de ta part – pour voir combien ils peuvent devenir tordu une fois poussé à bout. ✧ 18 Musique. Il y a longtemps, avant la médecine, avant la psychiatrie, avant que ta vie passe à la vitesse supérieur, tu jouais du piano. Plutôt bien. Des doigts de fée que disait ta grand-mère – enseignante de musique. Il t’arrive encore, parfois – rarement – de glisser tes doigts sur ton vieux clavier. Il a longtemps comblé le vide effrayant, le silence, l’absence de frère ou de soeur. Il t’arrive encore de pianoté sur les meubles quand un air que tu apprécies énormément, te chatouille les oreilles. ✧ 19 Tyfy. Il n’a pas été le premier, Chace l’ayant devancé de plusieurs années. Pourtant, c’est démarqué des autres – il a été le premier que tu as réellement courtisé. Le premier que tu as cherché à séduire. Le premier de qui tu t’es réellement joué. Et pas avec un seul visage, non. Pour lui, pour sa folie latente, tu as sortit le gros arsenal. Tu n’as jamais réellement cessé, Medbh. Tu tournes encore autour de lui. Doucement. Gentiment. Et tu frémis d’impatience à chaque fois que tu croises son regard, ses élan meurtrier mal dissimulé. Jamais personne d’autre ne t’a consommé comme il l’a fait. Jamais aussi fort. Aussi loin. Tu n’as pas oublié son expression, quand il tombait à genoux devant toi – seulement il c’est fourvoyé. Il a cru qu’il pouvait t’échanger. T’oublier. Te remplacer. Il ne t’a jamais berné, tu n’as jamais rien eu à faire de son infidélité – mais tu ne partagera pas le panthéon avec quiconque. Qu’il fasse de toi sa religion et enfin, tu le ramènera dans ton lit. Dans la chaleur volcanique de tes bras. ✧ 20 En vrac. Tu n’es pas particulièrement douée en danse, mais tu as du rythme. Tu es douée au billard, mais on te sous-estime souvent. Tu aimerais apprendre à manier les armes à feu, parce que tu vises relativement bien, mine de rien. Tu as suivis des cours d’auto-défense, mais tu n’as encore jamais eu la chance de les utiliser. Ta couleur préféré est le bleu clair. Tu es sujette aux migraines, aussi tu t’attache rarement les cheveux – ça te file un mal de crane immonde. Tu adores les petits déjeuner, l’unique repas où on peut aisément manger des légumes puis des pâtisseries avec du sirop. Miom! Niveau manies, tu as tendance à te mâchouiller la lèvre inférieur ou à mordiller le bout de tes crayons. Bien que tu aies une voix chantante, tu chantes comme une casserole – sérieusement, les soirées karaokés en ta compagnie, c’est une horreur.




PRÉNOM, PSEUDO Phanie, bat'phanie.
AGE plus vieille que toi. ❤
PAYS j'ai un drôle d'accent et je parle trop vite ?


AUTRE COMPTE nope.
AVATAR Lindsay Hansen


MOT DE LA FIN Mrwar ! :littleheart2:
Code:
<pp>LINDSAY HANSEN</pp> ▪ medbh vilhjálmsson


Stephy
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charming anti-PRINCE

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