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Yvon [DJ]

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Message  Stephy Mar 18 Juin - 19:03

Calixte Yvon de Villeneuve
feat. Froy Gutierrez

Nom:  De Villeneuve. Un nom connu, que l'on reconnait même un peu trop bien, synonyme d'excès mais aussi de plaisir. D'un manque grandiose de sérieux, mais tu ne t'intéresses pas des regards courroucés ou des murmures, au contraire. Tu portes fièrement ton nom, un sourire aux lèvres et le menton dressé avec quelque chose de culotté. Qu'on parle de toi en bien ou en mal, qu'importe, tant que l'on parle de toi. Prénom de naissance:  Calixte. Un prénom tout en grâce, tout en douceur, le prénom d'un prince que chuchotait ta mère parfois à ton oreille. Un prénom fait de tendresse mais destiné à ne jamais s'échapper de tes lèvres. Tant pis. Après tout, tu n'as pas besoin d'un prénom qui sert de preuve que ton père est un adepte des bacchanales, tu te fais Bacchus tout seul. La faute au sang, la faute aux gènes. Prénom d'usage:  Yvon. D'un banal presque écœurant, sans aucune grâce, l'antipode de ton véritable prénom. Petit, tu le trouvais horrible, preuve que tes parents n'avaient assurément aucun goût, qui irait prénommer sa marmaille de la sorte hein ? Puis avec le temps les blagues nulles du « Yvon ... être jaloux » ont commencés à te venir tout naturellement. Maintenant, dès qu'on souffle ton prénom, tu as une suite à offrir. Généalogie:  Troisième enfant de Léon de Villeneuve, on a tendance à oublier que ta mère n'est nulle autre que Marianne de Vienne, principalement parce qu'elle a repris son nom de jeune fille en quittant ton père. Qui pourrait l'en blâmer cela dit, vu les fresques de ton père et son goût pour le plaisir et la luxure. Tu comptes ainsi du sang de comtes, mais aussi de maréchal, ce qui n'est pas rien à ton avis et tant pis si ton père à refait sa vie avec une autre comtesse. Évidemment, maintenant qu'Hedwige est devenue la nouvelle Madame de Villeneuve, on raconte que tu es son fils, un titre qui t'arrache toujours un sourire. Fils à la fois d'anciens meneurs, d'administrateurs oui, et de seigneurs cultivateur, tu considère avoir plus de vin que d'encre bleu dans les veines. De fait, si ton goût prononcé pour la fête, jusqu'à l'excès parfois, la bonne chair et l'alcool font de toi le digne fils de Villeneuve, le sang de Vienne coule tout autant dans ton sang, de par ton ouverture et ton amabilité. Ta simplicité dirait même certain, celle qui te rend si attrayant, si accessible. En effet, tu n'as que peu d'intérêt pour le rang social des autres et tes amis sont légions, quant aux intimes, ils ne sont pas triés par titre non plus. En somme, tu n'es pas qu'Yvon, tu es aussi discrètement Calixte. Nationalité:  Français, pure souche, ton sang à presque le goût du vin. Il est bleu, blanc et rouge. Une excellent année d'ailleurs ! Lieu et date de naissance:  Le 10 juin, au château de la Barben. À renfort de cri et de coup de pied, les poings serrés, c'est dans ce qui est encore aujourd’hui,hui ta demeure que tu as vu le jour. On raconte d'ailleurs que, comme ton père, tu ne te taisais qu'en échange d'une tétée. (Oui on raconte des trucs chelous à Barben.) Statut:  Célibataire et libre comme l'air, tu courses les belles à travers les corridors, comptant fleurette à tout ce qui capte ton attention. Le temps d'apercevoir autre chose, le temps d'une nuit, ou avec de la chance, de quelques semaines. On te dit aussi séducteur que ton père, on te décris comme un libertin sans âme, sans morale, mais dans les faits, tu te considères principalement comme un homme libre. D'attache, de responsabilité, de futur tout tracé. Tu n'es pas le futur Comte, avenir destiné à ton frère ainé. De fait, tu ris des critiques, tu n'écoutes pas non plus les envieux ou les jaloux. Ton amour est grandiose, entièrement désintéressé et brillant, comme le soleil. Il réchauffe tous ceux qui osent s'en approcher ou qui aime s'y intéresser. Tu es Apollon et tu ne t'intéresse assurément pas qu'aux courbes féminines, non, ton appétit n'a pas de limite. Jamais de fin. Jusqu'ici du moins. Nature du sang:  Mêlé, mais pas moins noble, pas moins précieux. Issu de deux familles n'ayant jamais crains de mêler leur patrimoine à celui de sang-mêlé ou même, de moldu, tu aimes proclamer ton sang comme étant généreux. Et puis c'est de la diversité que nait l'intelligence et la beauté, pas de la pureté qui se fait vicieuse au fil des siècles, créant des tares. Non, tes ancêtres ont su mettre à profit les mélanges et les alliances, tu es d'un cru exemplaire. Etudes/Profession:  4ème année, GRACE, filière des Techniques Sorcières. Un choix qui ne plait pas nécessairement à ton père, ni même à ton frère. Tu as opté pour des études qui n'ont pas le grandiose que ton nom pourrait t'aspirer à rechercher, et c'est en partie pour cela que tu l'as choisis. Pour faire enrager ton père, pour arracher un sourcillement inquiet à ta mère : de quoi attirer l'attention, de quoi les déranger. Sauf que voilà, ce n'est pas seulement ça. Non, tu peux te montrer stupide, mais pas à ce point, pas au point de ruiner ton avenir. Or, si ton père aime qu'on parle de lui, toi tu ressens aussi l'envie de pouvoir parler, d'écrire, de colporter. Tu exiges plus de pouvoir sur les médias, tu rêves de devenir journaliste, ou encore de travailler à la radio. Même la photo à sut gagner ton intérêt, ce qui arrache maint et maint soupirs à ton père. Tu te vois déjà comme une vedette en devenir, non seulement avec ta photo en page couverture, mais bien avec ton avis, ton opinion, imprimé dans plusieurs pages. Pour ensuite être lu, consulté, apprécié ou détesté, par la masse. Oui, tu vois grand, comme tout de Villeneuve. Baguette magique: 28cm, faites de bois de séquoia, elle contient un dard de Billywig. Lorsque tu en as pris possession, on t'as assuré qu'elle te porterait chance. Or, que ce soit l'effet de la baguette ou pas, tu ne peux pas nier que tu as un talent certain pour te sortir des pires catastrophes et que tu arrives toujours à retourner les situations à ton avantage.


Allégories réflexives:


► Quelle est votre opinion sur la restauration de la Monarchie Sorcière ?
Bien que tu te considères encore bien jeune pour avoir un véritable avis, de ceux qui compte du moins, sur le sujet, tu es de ceux qui secoue la tête dès qu'il est abordé. D'une part parce que tu ne vois pas l'intérêt de remettre au goût du jour un ancien régime, considéré comme étant dysfonctionnelle, et puis parce que l'Europe devrait être synonyme de liberté. Tu as été élevé avec un nom, bien entendu, mais tu vois un peu trop clairement les pertes possible, dans un futur qui se fait un peu trop proche. Or, tu apprécies ton train de vie, tu aimes la liberté que tout cet argent, que votre titre, que votre château, vous offre, à ta famille et toi. Est-ce que la France a oublié les têtes tranchées ? Franchement, parfois tu te dis que tu vis dans un monde de con.

► La Mise en Objet des Djinns a donné lieu à un virulent débat centré autour des notions d'esclavagisme, de liberté, de droit des créatures ou encore de la protection magique. Que pensez-vous à ce propos ?
Tu es de Villeneuve et même si tu n'es pas le premier né, pas le fils ayant perdu sa mère à cause d'un Djinn, tu as tout de même été élevé avec cette tragédie en tête. De par ce simple fait, tu ne parviens, et ne parviendra probablement jamais, à considérer ses êtres comme des victimes. Après tout, tout n'est jamais qu'une question d'intelligence, de chaine alimentaire, et malheureusement pour eux, ils n'ont pas sut s'élever au niveau des hommes. S'ils sont assez stupide pour être fait prisonnier, peut-être le méritent-ils ? Dans la même idée, s'ils sont assez intelligents pour se libérer, tu es d'avis qu'il mérite d'être en paix. (Oui, tu souhaites une super retraite au Djinn ayant tué la mère de ton demi-frère, ce n'est jamais qu'une question de sélection Naturelle !)

► Pouvez-vous envisager que le sang puisse un jour devenir plus important que le rang sur le sol français ?
Le sang, comme le rang, n'a pas grand chose à voir avec les individus. Tu ne vois pas en quoi il devrait être synonyme de grandeur, de beauté ou de supériorité. Après tout, si tu es un noble, ce n'est pas grâce à ce que tu as accomplis de tes propres mains, mais bien parce que tu comptes des ancêtres l'ayant fait. Évidemment, tu es reconnaissant, quand tu ne joues pas les trouble-fête (c'est à dire, la plupart du temps, mais c'est pour t'assurer que ton père ait autre chose que des pensées lubriques) mais tu aspires à plus. Toi, le fils de comte, toi le fils de maréchal, toi à l'avenir préservé, à l'enfance doré. Le sang n'a pas plus de droit que le rang, et tout comme la monarchie est une jolie embrouille, le délire des anglais n'a pas à venir se faufiler jusqu'à vous.


Personnalité:


Yvon, c'est à la fois un bonheur et une malédiction. On hurle ton nom avec agacement, on le gronde ou on le souffle entre des dents serrés, parfois il écorche même la langue. Parce que tu es le moins responsable des fils de Villeneuve, parce que tu te crois tout permis, parce qu'on te trouve franchement trop culotté. Comment peux-tu oser coucher avec la fiancé d'un autre ? As-tu réellement cru que tu pourrais peloter la nana dont untel c'est entiché ? De quel droit te permets-tu de reluquer le frère d'un ami ? Tu es bien trop débauché, pas assez sérieux, trop prompt à obéir à tes pulsions, à goûter l'interdit et à repousser les limites. Pervers. Vicelard. Pourquoi ne pourrais-tu pas tenter d'apprivoiser la solitude ? D'en faire une amie ? Mais non, tu refuses. Parce que maman est partie trop tôt du château, parce que tu n'as jamais eu droit qu'à des rapports tièdes avec ton père. Casse-cou, un peu bête même, tu fonces sans réfléchir, du moins c'est ce qu'on raconte. C'est ce qu'on répète. Tu cours dans la même direction que ton père, gamin éternel. Mais tu n'es pas Peter Pan, tu dois vieillir, on n'a de cesse de te le répéter. Il faut ralentir avant de tomber, avant de te blesser, avant de te briser. Sauf que tu considères avoir ton lot de fêlures. Assez. Tu peux perdre haleine si tu veux, quand bien même ta liberté et ton refus d'être entravé est mal considéré. Tu n'hésites alors pas à te faire égoïste, à donner raison aux ragots, embrassant sur la bouche ceux qu'il ne faut pas, à rire quand on t'insultes, impertinent petit garçon. Tu devrais être moins turbulent, tu devrais être moins impulsif, mais à quoi bon ? Tu n'es pas que ça. Tu n'es pas que le digne fils de son père, prêt à accumuler les frasques.

On scande aussi ton nom avec énergie, on le cri avec bonheur, on le chuchote dans ton oreille lorsqu'on grimpe sur ton dos, on le gémis même parfois dans un oreiller. Pourtant, le mieux c'est quand on le souffle tendrement dans tes cheveux. Parce que plus que tes défauts, tu es la joie incarnée. Pour gommer tout le reste, pour effacer les malheurs, la possible solitude, l'anxiété. C'est ta joie, ce soleil que tu as enfermé en toi, qui attire les autres autour de toi. C'est la source de ta popularité et de ton charisme. Tu souris en permanence, tu ris à t'en érailler la voix, les sourcils froncés et les bras battant l'air. Avant de finir contre un corps, un bras, un dos, autour d'un cou. Tu es tactile et si c'est un défaut, parce que tu tripotes presque tes amis, c'est tout aussi une part de ce que tu es. Tu es l'été perpétuel, celui qui colle à la peau mais appelle au plaisir, tu es les bulles de savon qui éclatent contre un nez, avec des risques d'asperger les yeux, mais aussi de faire rire la galerie. On te dit drôle, on aime même parfois tes bavardages incessant, parce que tu la boucles rarement. Tout est matière à rire, tout est matière à discuter. Tu aimes aussi jouer, tu aimes toucher, tu aimes sentir. Câlin, tu n'es peut-être pas fidèle en amour, toi qui aime aller de fleur en fleur, mais tu sais te montrer charmant, séduisant. On te résiste difficilement, parce qu'il est bien plus agréable de t'avoir comme ami, parce que malgré ton titre et tes ancêtres, il reste quelque chose de simple chez toi. Ici, à Beaux Bâtons, tu n'es pas QUE le fils de Léon, tu es le rassembleur, tu es le meneur, mais aussi le petit malin qui n'hésite jamais à influencer les autres pour déranger l'ordre. Tu es l'amant, l'aimé, l'ami et le frère. Tu ne refuses jamais un câlin, pas plus que tu aimes te moquer des autres, pas sans bonne raison, toi qui te veux pacifiste. Tu es l'âme de la fête, le type qui prépare des toges fait maison pour tous tes potes quand il faut oublier que la vie n'est pas qu'une partie de plaisir.

Optimiste ? Tu essais, parce que rien ne sert de pleurer hein. Heureux ? La plupart du temps. Sinon, tu mens. Stupide ? Trop souvent, mais tu l'assumes. Parce que la connerie est souvent synonyme de plaisir. Apprécié ? Pas toujours, mais qu'importe, tu es un de Villeneuve. Or tout ce qui est neuf, tout ce qui brille, tout ce qui ne s'incline pas quand on l'exige, dérange et engendre l'envie. Agaçant ? Pour une tonne de personne, assurément. Et ceux là mérite que tu recommences plus fort, encore et encore. Immature ? Sans aucun doute et sans aucun regret. Chacun son vice, chacun son défaut. Égoïste ? Pas entièrement. Seulement pour survivre, seulement pour encaisser. Parce que parfois, pour survivre, il faut savoir sacrifier les autres. Loyale ? En amitié, toujours. En amour, aucun risque. Pas encore, peut-être jamais. Vicieux ? Oh que oui et avec tellement de plaisir.


Genie in a bottle: Futuh


Yvon [DJ] Iy7RW8 Au départ, tu ne voulais pas le faire. Tu ne voulais pas de lui. En fait, même ton père, aurait préféré t'éviter le fameux rituel. Tout ça parce qu'une idiote à fanfreluche n'avait pas été fichue de savoir contrôler son propre Djinn, tout ça parce qu’elle y avait perdu la vie. Toi, tu savais déjà tout petit, que tu n’aurais pas l’idée de faire pareille connerie. Seulement, les règles sont les règles et comme tous les nobles se soumettent à l’étiquette, courbant l’échine les uns devant les autres, dans des révérences d’un autre temps, tu n’éviterais pas la première évocation. À dix ans on n’est assurément pas prêt à ce genre de chose, pas quand on sait à quoi mène, à quoi sert ce genre de créature. Mais tu irais à Beaux Bâtons, comme tout bon de Villeneuve, et tu ferais venir à toi le Djinn Futuh. Un nom plus que discutable, déjà hein, mais aussi l’une de tes premières attaches tangibles avec la créature : avec un prénom tel que le tien, connaitre pire ne pouvait t’apporter que du soulagement. Mais c’était de bref durée, parce qu’après des mois de préparation, de correction et de reprise, afin que tout soit parfaitement exécuté, ton précepteur vérifiant tes pentacles et le matériel utilisé : il fut enfin temps de répéter la chose. Ce n’était plus une pratique, plus un simple test et cette fois, aucun adulte ne vint te retrouver pour te féliciter de ta minutie, toi qu’on aimait déjà décrire comme trop turbulent, trop impulsif. Non, cette fois, lorsque les bougies furent presque soufflées et que le silence se mit à grésiller, personne ne vint. Isolé des autres dans le pavillon de nuit, unique endroit où ton père tolérait la venue d’un Djinn, et encore ce ne serait que d’ici tes quinze ans après quoi tu serais considéré comme traitre à ton sang si tu osais recommencer, la peur vint à toi. Grandiose. Grotesque. Terrible aussi, une odeur doucereuse dans son sillage.

Certains de tes amis t’avaient parlé d’odeurs nauséabondes ; de crottin, de pourriture, mais pas de cette odeur humide. L’odeur d’un point d’eau, un lac ? Mélange de terre humide, de végétation et de fleur. Rien à voir avec le souffre, le feu ou le fond d’un puits. Rien. Pas une odeur de vieux, de mort, mais un effluve vivant. De quoi te retourner l’estomac, alors qu’un cheval majestueux, d’un gris foncé parfaitement agencé aux ténèbres environnant, s’avance lentement vers toi. Le terrible souvenir d’enfance refait alors surface, tu peux presque apercevoir le lac derrière lui, l’eau sombre qui s’y dissimule et l’envie étrange de grimper sur l’animal. Ton cœur bat plus fort et de la brume clair s’échappe des nasaux de l’animal, qui te fixe avec quelque chose de bien trop intelligent. Plus qu’autrefois, à moins que cela ne t’ai échappé ? Après tout, si tu avais su que tu te trouvais en présence d’un kelpie, jamais tu n’aurais grimpé sur son dos ! Le trauma est resté, peur à l’allure infondée des équidés, depuis tu ne peux pas grimper, tu ne veux pas les approcher. Abraxas majestueux ou simple jument, tu les fuis tous. On n’est jamais trop sûr, jamais trop certain. Mais pas ce soir, pas quand le Djinn appelé s’approche avec quelque chose de sadique, se dandinant avec majesté devant toi. Les mots s’échappent avec difficulté de ta bouche, comme bousculer, ce qui fait rire l’animal, le monstre. Il se moque de toi, petit humain, enfant en culotte courte. Il ne fera qu’une bouchée de toi, quand tu seras monté sur son dos, à moins que tu ne le renvois ? Seulement, tu ne peux pas. Le devoir passe avant la peur, ça tu l’as longtemps répété, pour y croire, pour arriver à pratiquer la chose. Aussi, tu serres les poings et dans un souci purement technique, tu le sommes d’aller … te faire un sandwiche.

Bon d’accord, le cheval semble moins amusé, mais tu répètes ta requête. Tu veux un sandwiche au jambon-bacon, avec beaucoup de laitue et de la mayonnaise. Pas de tomate, dont tu as horreur ! Tu le sommes alors de s’exécuter immédiatement. Qu’importe s’il refuse, tu répètes, en ajoutant des détails à chaque fois, jusqu’à ce qu’il cède : « Je refuse de prendre l’apparence d’une femme de petite vertu, permet moi de prendre l’apparence qui me sied et j’obéirais, petit humain. » Toute ta famille t’a appris que tu ne devais pas céder aux caprices d’un Djinn, pourtant tu abaisses ton exemplaire de Nymphe-Coquine, le magazine adulte que ton père te laisse lui piquer. C’est que tu es un garçon curieux. Tu hésites à céder, un peu part intérêt, ce n’est pas tous les jours que Titania, une très jolie brune aux corps voluptueux, vient faire un sandwiche à un gamin de dix ans. Mais aussi parce que quelque part, tu n’as pas envie de souillé l’image de celle que tu espères épouser, oui tu es encore un peu niais et mené par tes hormones bouillonnantes. « Soit. Je te permets de prendre une apparence humanoïde qui te sied, tant qu’il ne s’agit pas d’un membre vivant de ma famille ou d’un visage effrayant. » Le cheval pousse encore un peu d’air, observe les environs, puis dans un soupir ressemblant étrangement à un hennissement, il prend forme. Celle-là même qu’il endosse aujourd’hui encore : soit l’apparence du domestique personnel de ton arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père, Fergulus. Le premier de Villeneuve à avoir fait appel à Futuh. Le visage sévère, il fronce les sourcils et devant tes lunettes, qui pendent sur le bout de ton nez, parce que tu recules de deux pas, sans quitter ton propre pentacle, il en enfile à son tour. « Eh bien, allons faire ce fameux sandwiche, si telle est ta volonté… » Et franchement, ce fut de loin le meilleur sandwiche du monde entier ! Pas seulement à cause de la mayonnaise maison de Futuh, non pas cette mayonnaise là hein, mais parce qu’il avait un arrière-goût de pouvoir.

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Depuis ce fameux sandwiche, tu n’irais pas jusqu’à dire que tu es devenu le meilleur ami du Djinn, mais force est de constater que malgré tout, tu as appris à l’apprécier. Toujours tiré à quatre épingles, ton Djinn possède un goût certain en matière de vêtement et ses lunettes, depuis votre toute première rencontre, n’ont jamais quittées le bout de son nez. Une simple parure, évidemment, mais tu aimes la considéré comme un point commun. Enfin, avant c’est ce que tu disais, ce que tu pensais. Peut-être pour te rattacher à lui, peut-être parce que tu t’es davantage fait gronder par la créature que par ton propre père. Cela dit, il ne faut pas croire que l’allure noble de ton Djinn à sut te convaincre qu’il s’agissait bel et bien de « quelqu’un », tu n’es pas bête à ce point. (Et surtout, tu n'as pas envie d'être la deuxième connerie familial en te jetant en bas d'un balcon.) Le physique avenant de la créature ne t’a jamais berné, seulement rassuré. D’un naturel sérieux, ataraxique même, il ne te ressemble absolument pas, mais c’est peut-être ce qui te le rend aussi sympathique. Probablement aussi la raison du pourquoi tu as pris l’habitude, au contraire de ce que ton père espérais, de l’appeler pour toutes les raisons possible. Il est de ses créatures que l’on aime taquiner, que l’on ne peut s’empêcher d’embêter et dont les soupirs, mais surtout le roulement des yeux, a quelque chose de merveilleux. Du reste, il est toujours efficace, très à cheval sur l’étiquette, poli même quand tu ne le mérites pas et, évidemment, hautain à souhait. Lorsqu’il fait son apparition, il a tendance à avoir déjà les bras croisés, ou encore, à être déjà bien installé sur un fauteuil, les jambes croisées. Il ne te porte pas en haute estime, il te critique dès qu’il le peut, depuis tes tenues, à savoir qu’il déteste profondément les toges, à ton attitude. Tu n’es pas assez sérieux, pas assez responsable, pas assez ambitieux. À croire qu’il voudrait que tu l’utilises davantage ou à des fins plus irrévérencieuses. Dans les faits, il s’ennuie facilement, les petites corvées l’humilie, tes requêtes stupides le vexe, alors avec le temps tu t’es adapté. Ce qui signifie que tu as cessé de lui demander d’enfiler la peau d’une vedette coquine ou de préparer des long island lors de tes soirées au château. Évidemment, ça ne veut pas dire que tu as viré ENTIÈREMENT l’idée de ton esprit, seulement… tu essais autant que possible, d’éviter de le faire. Quelque part, tu t’es assurément attacher à lui et à ses reproches, sans parler qu’en échange d’un peu de respect, il sait se taire, un peu.

Mais qui est Futuh ? Tu n’as jamais réellement cherché à le savoir, par manque d’intérêt. Non pas que tu considères le Djinn comme un domestique, mais en fait oui. Après tout, c'est aussi ce que faisait ton ancêtre, dans la famille on ne change pas ses habitudes ! Tu l’aimes bien, assurément, mais tu ne te sens pas concerné par son passé. Par ses prouesses. Et pourtant, malgré ton manque de curiosité à son égard, de temps à autre, tu lui fais l’honneur de le laisser chanter ses propres louanges. Après tout, tout le monde a besoin d’étaler ses titres devant les autres, de temps à autre. Sans parler que ça a tendance à le calmer. Ainsi tu as appris qu’il avait été l’un des destructeurs de la cité de Zéboïm, voisine de Sodome et Gomorrhe, dites citées pécheresses par la bible, un autre ramassis de mensonges à son avis. Des sorciers imprudents ont seulement mal formulé leur requête, mais il aurait épargné Zoar, à la demande d’un sorcier plus prudent. Plus sage. Parce que derrière chaque récit que le Djinn t’offre, de son passé et de ses prouesses, de sa grandeur oui, se cache aussi des sermons. Il fait presque ton éducation en t’apprenant qu’il est l’un des inventeurs de la peste, ainsi que quelques-uns de ses semblables, avec qui il a toujours aimé faire équipe. Il rayonne même de bonheur en te racontant comment les gens mourraient lentement, il sourit quand il te récite certain poème fait en son honneur, Futuh fait faucheuse. Oui bon, c’est bien joli, mais tu as tendance à te lasser rapidement, ou encore à avoir faim. Ce qui vous ramène aussitôt a d’autre souci : il te faut un sandwiche. Et là, franchement, tu as intérêt à soit être excessivement précis, parce qu’il n’a assurément pas perdu la main avec les infections mortelles, ou à demander à quelqu’un d’autre. Du reste, il n’aime pas particulièrement toute cette histoire d’amulette, quand bien même tu as compris qu’il était soulagé d’être rattaché à la chevalière du fameux ancêtre qu'il a connu. Comme il l’a si bien dit : quitte à vivre en cage, aussi bien que ce soit celle d’un prince. C’est qu’il est très fier le Djinn !


Pseudo:  bat'phanie, nanananananan ! Age:  28 ans, déjà, trop vite, trop tard. En fait j'assume bien ma marchette.  Yvon [DJ] 24983549 Où avez-vu connu DJ?  C'est Adrien, aka Lydzi, qui m'a montré votre projet sur Bazzart, puis je suis devenue une VIP, vous connaissez la chanson. :cutie:  Autres comptes?  Bientôt. Bientôt...  Yvon [DJ] 3676679460  Une remarque ?  Le forum est BEAUUUUUUU mais genre VRAIMENT beau !!  Yvon [DJ] 3554398469 Et puis les annexes me ijnhbgjikoj, que ce soit le bestiaire, les particularités magiques, les familles ou les cursus, je suis fan.  Yvon [DJ] 2789087921  Un mot pour la fin ?  NOOOOOOOOOO, RIEN DE RIEN ! NOOOOOOOOON JE NE REGRETTE RIEN ! (et surtout pas d'avoir suivi mon poussiou et mon potiron jusqu'ici  Yvon [DJ] 1023733589)


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Message  Stephy Mar 18 Juin - 19:03

you are a city shaped like a human
finding happiness is a radical political act

Yvon [DJ] Tumblr_nratgvn6Zi1sognhno4_r1_250Tu as eu de la chance. Tu le sais, tu l’as toujours sut. Parce que tu es le petit dernier, la dernière possession d’un homme possédant déjà tout : fils, fille, argent, château et honneur. Du plaisir à ne plus savoir quoi en faire et finalement, un deuxième fils, à qui caresser la tête et à qui chuchoter des conseils. La voilà d’ailleurs, la raison même de ton existence : la joie. Le bonheur. Parce qu’on n’attendait rien de toi, sinon de te choyer, de t’aimer et de te pourrir jusqu’à la moelle. Or, tu te souviens encore vaguement des éclats de rire de ton frère, qu’importe que sa mère soit morte, tu voulais bien partager la tienne avec lui. Tu te rappelles encore de la main de ta sœur, abandonnée par sa mère qu’osait prétendre ton père, mais tu savais déjà qu’il mentait puisque les mamans n’abandonnent jamais leurs petits. Et à travers les rires, les mains tendues et les baisers sur les joues, il y avait maman. Aux yeux brillants, au sourire aussi doux que ses cheveux et à la voix tendre, te lisant des histoires le soir et plissant les yeux quand tu te montrais impossible. Petit, tu la vénérais presque, cette mère au cœur aussi grand que l’océan et au sourire aussi merveilleux que le firmament. Maman n’étais jamais triste. Maman ne pleurait que si tu tombais, par empathie, parce que de te voir souffrir, la mettait dans tous ses états. Maman avait toujours les mains chaudes, pour les passer dans tes cheveux. Maman avait toujours les lèvres douces, pressées contre ton front ou ta nuque, pour ensuite murmurer les mots les plus sucrés qui soit : je t’aime. Et papa ? Tu ne te souviens pas bien, trop attaché à ta mère, trop emmêlé dans les pans de ses jupes, petit garçon amoureux de sa douceur, de sa pureté. Comme si déjà tout petit, tu avais compris qu’un jour, on te l’enlèverait. Comme si tu avais voulu profiter du peu de temps alloué.

Yvon [DJ] Tumblr_ncr10hJFYy1qdyykpo1_250Combien de fois t’as-t-on avertit de ne pas t’approcher du lac ? Au moins une centaine de fois. À chaque été, quand vous quittez le château de la Barben pour venir profiter du beau temps au château de Burnand, c’est la même histoire. Ta mère vous met en garde, ton frère, ta sœur et toi, contre les créatures de la forêt. Elle vous connait bien, elle te connaît encore mieux, elle sait que vous irez de par le vignoble, jusque dans les bois, jusqu’au lac peut-être même. Alors elle vous rappelle la présence des créatures, des risques, des dangers. Et une fois de plus, une fois de trop, tu n’as pas écouté. Parce que maman est trop naïve, votre père le dit souvent, parce que maman s’inquiète en permanence pour toi, ça tu l’as compris tout seul évidemment. Et quand un sublime cheval gris perle s’approche lentement de toi, curieux, tu oublies les avertissements. Le cheval est si joli, il semble même gentil. Tu dois ressembler à ta mère, vu ta candeur, vu ta naïveté, parce qu’il suffit de quelques caresses sur le museau de la bête, puis sur son flanc, pour qu’il s’immobilise. Peut-être que si tu n’étais pas un de Villeneuve, tu ne considérerais pas avec autant d’intérêt le dos du cheval, peut-être qu’il ne te semblerait pas aussi naturel de le monter. Après tout, tu es fils de comte, tu es fils de maréchal, monter un cheval est tout à fait dans tes cordes. Et tant pis si personne n’est avec toi, tu n’hésites pas, trop fier, trop vaniteux, si prompt à ramener la bête au château pour montrer à tes parents combien tu sais y faire avec les chevaux, que tu grimpes sur son dos. Tu te hisses sur sa robe, sur son corps tiède et alors que tu cherches à diriger l’animal en direction de la maison, tu te fais piéger. C’est l’eau que vous gagnez, la terrible créature et toi. Petit homme stupide, il va te dévorer le monstre, il va te noyer et déjà tu cherches à te retirer de sur lui, mais sans succès. Tu cris alors que l’eau te lèche les pieds, tu hurles quand tes pieds s’enfonce dans l’eau, glacé évidemment. Les aiguilles se faufilent sous ta peau, en même temps que la panique, en même temps que la peur. Tu vas mourir, tu es bien trop jeune, mais tu vas mourir. Tu te débats pourtant, petit humain vigoureux, fils trop noble, descendance trop aimé, pour être avalé par les flots. Par un kelpie. Mais une corde est lancée, une corde te sauve la vie et deux bras aussi. Tu ne retiens pas le visage inquiet de ton sauveur, trop pressé d’être secouru, trop secoué pour réfléchir avant d’être enfermé entre les bras tremblants de ta mère. Folle de rage. Inquiète. Soulagée. Des baisers pleuvent sur tes joues, des couvertures t’étouffent et tu enfonces ton visage dans le cou de ta mère, en larme. Et reconnaissant. À l’avenir, tu seras un brave petit. Tu n’iras plus seul au lac, tu en viens même à angoissé dès que l’odeur de celui-ci te parvient. C’est encore pire quand un cheval s’approche, l’écurie devient la source de tous tes cauchemars. C’est presque risible, si seulement ce n’était pas aussi triste au vu de ton âge. Sept ans, c’est bien jeune pour avoir aussi peur, mais maman est là. Enfin, pour un temps.

Yvon [DJ] Tumblr_nm3wlfkTte1qan0hfo5_250Ton père ne comprend pas, que tu as besoin d’elle, que sans ta mère, les cauchemars reviendront. Non, il ne comprend absolument pas et debout devant toi, il fronce les sourcils, exigeant de toi, ce qu’il n’est pas même en mesure, à lui seul, d’accomplir : d’agir en fonction de ton âge. Tu n’es plus un bébé, il est temps que tu quittes les jupons de ta mère. Tout comme lui, visiblement. Ta mère n’est pas malheureuse, elle ne pleure pas son abandon, tout comme elle ne le supplie pas. Il y a quelque chose de résigné dans sa posture, de triste mais de fier dans son regard. Elle accepte son sort sans sourciller, se contentant de te sourire tendrement et de caresser tes cheveux. Ce n’est pas un au revoir définitif, jamais. Ses bras te happent, ses bras te drapent et tu l’enlaces comme si bientôt vous devriez disparaitre. Elle chuchote des douceurs à ton oreille, te rassures comme elle seule sait le faire. Vous vous reverrez, tu pourras la visiter, tout le temps. Seulement, tu te cramponnes trop fort à elle, perdu. En mer. En plein désert. Parce que tu sais que sans sa présence, sans ses yeux sombres, sans son sourire permanent et ses éclats de rire, les cauchemars reviendront. Le château ne sera plus jamais le même sans elle. Sauf qu’elle nie tout ce que tu avances, toutes tes plaintes, toutes tes craintes, elle les fait disparaitre doucement, à coup de baiser et de cajolerie. Tout ira bien. Tu la rejoindras l’été. Sauf que c’est faux et tu le réalises, alors qu’elle jette un regard à ses sacs, que les domestiques transportent à l’extérieur. Elle connait bien Léon, bien mieux que toi, et elle sait déjà que de te retrouver ne sera pas une mince tâche. Tu es son fils, avant d’être le sien. Légalement, dans l’esprit de ton père, mais dans le tien. Pas dans le sien. Non et alors qu’elle quitte le château, tu comprends enfin la perte de ton frère et de ta sœur. Ta mère n’est peut-être pas morte, mais les couloirs du château ne font rien pour t’aider à t’en convaincre, vidé du bruit de ses pas, du froissement de ses robes et de son rire majestueux. Il ne reste que votre père, Léon de Villeneuve, entouré d’intrigante. Et c’est à qui sera la future femme, à qui cours le plus vite jusqu’à la piscine, jusque sur des draps perpétuellement défait. Voilà donc à quoi se résume la vie, Yvon : au bon temps, éphémère. L’amour ne dure que le temps d’une saison. Alors tu vieillis. Plus que de raison. Trop vite. Trop fort. Heureusement, maman n'en saura rien.

Yvon [DJ] Tumblr_ns6nfwh7Am1sognhno7_r1_250Sans garde-fou pour ralentir ta chute, tu t’improvises Alice. Tu tombes au fond du terrier, redécouvre ton univers, sans queue ni tête par moment. Les couleurs sont à la fois chatoyantes et hypnotisantes, tu te laisses donc prendre au jeu. Il suffit de choisir lequel t’intéresse. Puisque ta mère a toujours jouer un rôle de barricade, entre l’univers de ton père et le tien, son départ signe la fin des secrets. Les fêtes reprennent une place considérable au château, des fêtes auxquelles un jeune garçon ne devrait pas se mêler. Et pourtant, te voilà en train de zigzaguer entre les invités, goûtant les petits fours, te permettant même une coupe de champagne. Si ta mère te manque, les fêtes en gomment la dure réalité. Quand la musique pulse entre ses murs, les couloirs semblent moins vident. Quand des corps se pressent sur les parquets, que les rires fusent, l’absence des pas mesuré de ta mère et du froissement de ses jupes, ne sont plus à pleurer. Plus autant. Évidemment, ton Djinn n’est pas du même avis et quand tu l’infiltres dans une soirée, il se montre même récalcitrant. Les fêtes de ce genre, celle virant trop facilement en bacchanale, ne sont pas un endroit pour un garçon de ton âge. Mais ton rang excuse tout. Ton nom balaye les doutes et les craintes du revers de la main. A tout juste treize ans, tu te trouves plus proche d’un monstre que de ton père, Futuh te servant parfois de conscience, quand il ne te sermonne pas. Quant à ton père, il devient Léon. Pas plus mal, pas plus mauvais, seulement plus fantasque. Plus grandiose aussi. Ta vision change, tes passions aussi. La natation ne se résume maintenant plus qu’à la piscine, remplis de jolies créatures. Évidemment, tu es encore trop jeune pour faire de l’ombre à ton père, mais tu ne te prives pas d’apprendre, d’observer. Parce que l’élève surpasse toujours le maitre. Toujours.

Yvon [DJ] Tumblr_no9mlh42lb1qdee5uo10_250Quand enfin les autres se mettent à te remarquer, quand enfin tu arrives à faire, ne serait-ce qu’un peu du moins, de l’ombre à ton géniteur, Beaux Bâtons t’appelle dans ses bras. Cette même école qui a avalé ton frère et ta sœur, ce dit enfin prête à t’accueillir. Futuh en est la clé, mais tu as un instant d’hésitation, un doute quant à quitter ton joli terrier de lapin, pour partir vers l’inconnu. Évidemment, tes amis, d’autres fils nobles, se lancent dans l’aventure et tu te dois de faire de même, mais tu oscilles. Ce qui agace ton père, tant mieux, ce qui inquiète ta mère, moins bien, avec qui tu corresponds toujours. Il est temps d’apprendre, temps d’essayer de nouvelles choses. Futuh t'y encourages, à coup d'insulte grandiose, puissante, un vrai gentilhomme. Alors tu abandonnes le strass des fêtes, retires les paillettes de tes cheveux et c’est d’un pied ferme que tu rejoins l’académie. La tête haute, les yeux grands ouverts, pour ne rien manquer, et surtout, un sourire immense aux lèvres. Beaux Bâtons t’apporte alors d’autres couleurs, celle du bleu, du vert, un aqua de plaisir continue. Ici, il n’y a pas de réel interdit, il n’y a que des règles, que tu suis au gré de tes envies. Tu ne crains que peu les foudres, qui t'amuse au final. Étudiant turbulent, bien qu’intelligent, c’est ta bonne humeur envahissante qui dérange. Tes éclats de rire en pleine classe, ton manque de pudeur, ta manie de flirter en respirant. Pourtant tu t’accommodes de tout ça, tu gagnes ta place au soleil, tu sais t’entourer. Pas seulement en meneur, tu ne cherches pas à régner, tu veux seulement t'amuser, grandir. Ta mère n'étant plus là, d'autres individus viennent faire taire les cauchemars et même le polo ailé ne réussit pas à entaché ta vision de l'école. Et si les fêtes te manquent parfois, ce n’est jamais que de courte durée. Les fêtes à l’académie n’ont assurément pas la décadence de ton père, mais il n’en tient qu’à toi de les rendre aussi mémorables. Éternelles. Alors tu arraches les rideaux des fenêtres, tu voles les draps des lits et avec tes amis, vous vous improvisez romains. Rois des bacchanales et reines de l’olympe, vous vous proclamez jeunes dieux en devenir. Or, tu as des années devant toi pour t'améliorer, et aussi pour faire des heures de colles. Tant pis hein !

Yvon [DJ] Tumblr_nq2ijzQUZU1qan0hfo9_250Assis en face de ton Djinn, tu ne peux pas t’empêcher de remarquer qu’il observe fixement sa nouvelle prison : ta chevalière. Ancien présent accordé par ton père, lors de ton entrée à Beaux Bâtons, tu ne l’as jamais réellement considéré, jusqu’à aujourd’hui. Fini les sorties en douce, surtout dans ce terrible pavillon de nuit, théâtre de certains de tes cauchemars, encore aujourd’hui et la faute exclusive de l’entité installée en face de toi, dans un fauteuil. Dorénavant, il te suffit d’un coup de baguette, d’une incantation et hop, monsieur le grand sage est de retour. Or, tu as toujours la nette impression que Futuh ne détestes pas ton monde, ta réalité. C’est simplement ce qu’elle impose à son être, qui l’embête. Enfin, ça et ta personnalité, assurément. Les sourcils froncés, il observe ton bijou puis baisse les yeux sur sa propre main, vide de toute parure. Une moue agacée se déploie lentement sur son visage, alors qu’un sourire gagne le tien. Tu sais où tout ça vous mène et presque sournois, mais tu préfères dire joueur, tu souffles doucement : « Ne me dit pas que tu souhaites que je t'offre des bijoux, Futuh. Parce que... c'est futuh d'avance.. » Et voilà, il retrouve son air agacé et tu ris avec bonne humeur, te redressant pour aller ouvrir les portes du balcon. Le jour est enfin levé et au moins vêtu d’un pantalon, tu es un tant soit peu respectable pour t’offrir à la vue des autres. Et tant pis pour l’avis du djinn, qui te juge en silence, le regard perçant. Avec les vacances d’été, tu as retrouvé le château, mais l’animation y est moindre. Enfin, non pas que les fêtes aient diminuées drastiquement, mais ton père compte de moins en moins d’invité. La faute à sa belle-famille et à cette fameuse nouvelle « mère » qu’on vous a offert, à ton frère, ta sœur et toi. Un bien joli cadeau cela dit, pour peu que tu omettes le fait qu’on t’impose d’en faire ta mère, publiquement parlant. Hedwige est charmante, vraiment. Et tout près de toi, Futuh pose les mains sur la rambarde, observant la piscine en contre-bas, où justement, ta délicieuse « maman » prend un bain de soleil. « Elle est de ta famille dorénavant, que ça te plaise ou non. » Tu souris sous les paroles du djinn et lui lance une œillade complice, qu’il ne te rend absolument pas. « Je sais, mais ça me plait en fait. » Et pas à cause des cauchemars, non, Hedwige ne sert strictement à rien de ce point de vue-là. Elle n’est pas rassurante, elle n’a rien de maternelle, même. Elle te fait plutôt penser à Titania, l’ancienne pinup ayant coloré tes rêves d’enfant. Or, même si Futuh ne lis pas dans tes pensées, il comprend très bien toutes les nuances de tes sourires et déjà, il se rembrunit. Il ne sait pas s’amuser, mais c'est parce qu'il est trop vieux. « C’est ta belle-mère, Yvon. » Tu ris à nouveau, sans chercher à t’en empêcher, pour sourire à la blonde qui redresse sa jolie tête dans ta direction. Son sourire est aussi intéressé que le tien et là, sous le regard courroucé du Djinn, tu poses les avant-bras sur la rambarde, presque fier. « C’est elle qui a commencé tu sais. Après, je blâme la jeunesse, les hormones, tout ça. Tu sais bien, la fougue de la jeunesse. Et puis… si Léon peut retrousser les jupes de la nouvelle reine… » tu te redresses lentement, pour t’étirer sous le regard gourmand de ta nouvelle « maman » et satisfait, tu te retournes vers Futuh. « Je crois que je peux me permettre, à mon tour, de trousser ma petite maman. Aller, il faut être en accord avec son temps, mon vieux ! » La créature grince déjà des dents, mais tu es trop joyeux pour t’en inquiéter. Non, tu rejoins plutôt la porte menant au corridor. « Aller, viens Futuh, je te somme d’aller chasser une quelconque proie te permettant de te nourrir, puis de venir déjeuner avec moi. Ici. Disons dans quinze minutes ? » Oh et puis tu fais même mine de ne pas remarquer que Futuh lève les yeux au ciel sous ta requête. Quel mal élevé, franchement, tu dois avoir une mauvaise influence sur lui !
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Message  Stephy Mar 18 Juin - 19:05

Calixte Yvon de Villeneuve
Fiche de liens : Yvon ☘ Kiss me, and you will see how important I am

Yvon [DJ] Tumblr_pboen8F6jb1xxmzk2o1_400 Yvon [DJ] Tumblr_pboen8F6jb1xxmzk2o2_400
infos
Surnom(s)
Vonvon, petitpatapon, bro, vieux, dude, 2V. Ma banane (Cirilla à les meilleurs surnoms. Yvon [DJ] 4252242557)
Âge
18 ans, il est né le 10 juin 1952. (Gémeau powa !!)
Rang Social
Noble, il est le 3ème né de Léon de Villeneuve, second fils et premier né de Marianne de Vienne. Il possède le titre, mais guère de responsabilité. De fait, on l'a fiancé depuis le mois de mars 71 à Cirilla Baudelaire, riche et charmante héritière d'une famille bourgeoise tout à fait respectable. Et dans quel but ? Redorer le blason familial, que l'aigle et le soleil soit encore plus brillant. Que les de Villeneuve récupère un peu de sérieux au sein de la noblesse française, que l'on trouve une fiancée de noble naissance à Basile l'ainé, que Faustine soit mieux lotie. Yvon sert de levier, mais il n'y voit là aucun problème.
Sang
Mêlé, savant mélange entre les de Villeneuve et les de Vienne. Un grand crû, assurément. À la fois riche et chaud sur la langue, il sait satisfaire pratiquement tout les palais.
Origines & Nationalité
Les de Villeneuve sont connus pour leur implication en administration et pour leur relation amicale avec les moldus, quand au sang de sa mère, une de Vienne, il est de la même couleur que leur vin le plus goûteux. De fait, Yvon est entièrement français.
Etudes
4ème année, GRACE, filière des Techniques Sorcières. Culture Sorcière en option. Il est aussi membre du club d'athlétisme et président du club de danse. Un titre dont il tire fierté.
Saison
Fons, la belle, la grande. La plus amusante de toutes les saisons.

Caractère
Qualités : Jovial - Espiègle - Drôle - Rieur - Chaleureux - Attachant - Loyal - Brave - Charismatique - Sympathique - Charmant - Rassembleur - Optimiste - Social - Accessible
Défauts : Culotté - Immature - Pleureuse - Débauché - Fauteur de trouble - Vicieux - Casse-cou - Turbulent - Impertinent - Égocentrique - Agaçant - Sectaire - Cruel

Adore
Sa maman - Sa fratrie - La danse - La photographie - Les inventions (moldus et sorcières) - Cirilla Baudelaire, sa fiancée - Poser des questions - Grimper - Bouger - Rire en rejetant la tête vers l'arrière - Le soleil - La piscine - Les fêtes - Boire - Les desserts sucrés - Flirter - Paresser au lit - Le chocolat - Le vert - Entendre rire une femme - Séduire - Le chaos - Jouer des blagues - Foutre le bordel - L'attention - Les nœuds papillons - Son petit carlin, Huahua - Le champagne - Qu'on lui caresse les cheveux - Être et dormir nu

Déteste
Aimable Destombes - Avoir mal - Être ignoré - Être seul - Les gens déprimants - Le mépris - Les tyrans - Les manipulateurs ou les gens pompeux - Le café - Le machisme - Les préjugés sur la danse - Devoir attendre - Que son titre joue en sa défaveur - Charlotte Bellombre - Son père (mais de moins en moins) - La noblesse pompeuse - Ne pas vivre avec sa mère

Attitudes et comportement général en compagnie de
Inconnus / Connaissances : Yvon est charmant, il flirte, il rit facilement et séduit d'un rien. Terriblement social, rassembleur, il n'hésite jamais à suggérer des idées - souvent terrible, mais il faut vivre dangereusement - aux autres. Il lance la conversation, se mêle aux autre aisément et ne déteste pas être le centre d'intérêt. Toutefois, il ne se concentre pas sur lui, non il a tendance à plutôt s'intéresser aux autres. Mais, malheureusement, ça ne dure que rarement. Il est pareille à un papillon, il va et vient, ne se rattachant réellement qu'à son cercle privé. Il est donc sympathique, assez marrant même, mais il passe rapidement d'un groupe à l'autre.
Amis : Loyal et terriblement tactile, Yvon grimpe pratiquement sur tous ses amis. Il a les yeux qui brillent avec eux, le rire permanent sur les lèvres et ne se lasse pas de leur compagnie. Ils parlent d'eux en permanence aussi. Il aime en avoir un près de lui en tout temps, ses amis lui donne plus confiance en lui. Il les défend bec et ongle, quitte à devenir une petite « bitch » avec les autres. Aussi, s'il aime bien flirter - avec eux aussi, évidemment - il passe toujours ses amis en priorité. Toujours. Bros over hoes.
Familles : Terriblement soudé, les de Villeneuve sont plus que loyaux ou dévoués. Ils forment presque une entité à eux seuls et Yvon à beau être le plus jeune, il n'est pas pour autant le plus couvé des trois. Non, il idolâtre un peu son grand frère, mais il le défend tout autant. Basile est son meilleur ami, son confident ultime. Une partie de lui. De fait, Yvon a tendance à se mettre aisément devant le reste de sa fratrie, qu'il ne supporte pas de voir être rabaissé ou sous-estimé. Quant à Faustine, elle est peut-être plus âgé, elle est à ses yeux, sa « petite soeur » et elle mérite qu'il la couve triplement. Quitte à en devenir agaçant. Mais pour Yvon, les de Villeneuve sont tout simplement intouchable.
Adultes : Il oscille entre l'insolence et une douce obéissance. Tantôt élève docile et même sympathique, il peut rapidement devenir une peste auprès d'autres enseignants. Il joue souvent avec les limites, parce que terriblement fauteur de trouble au sein des classes. Toutefois, pour peu qu'on apprécie Yvon - et la pleureuse / le petit prince en lui - il sait se montrer adorable. Serviable même.
Nobles : Outre sa propre famille et les de Vienne - qu'il considère comme sa famille aussi, une extension du moins - Yvon a tendance à s'amuser des autres familles. Oh, il ne les déteste pas, mais il considère voir clair à travers tout le bordel de la noblesse. Les 2V sont peut-être les moins respectés, mais ils sont très honnêtes et Yvon trouve grand plaisir à regarder les failles des autres familles. Il est légèrement adepte du « les de Villeneuve » contre le monde et oui, il n'hésitera jamais à encouragé les conflits entre membre de la noblesse. Pourquoi ? Parce que c'est amusant !
Moldus : Yvon aime bien les moldus, ils sont amusants, très sympathiques même ! Il ne les connait pas beaucoup, soit, mais il n'en apprécie pas moins leur invention. En réalité, les moldus le fascine un peu beaucoup !
Djinns : Il hésite toujours au sujet des djinns, surtout depuis Halloween passé, quand Futuh c'est avéré moins sympathique qu'à son habitude. Et puis il y a l'histoire de Basile, sa mère tuée par son djinn. Cela dit, il les trouve amusant, pour peu qu'il n'y réfléchisse pas trop. (Ça vaut mieux...)

Attitudes et comportement général quand il est
En classe : C'est un joyeux luron, très curieux, mais un chouia insolent et culotté - tout dépend de l'enseignant. Cela dit, avec Yvon, c'est tout ou rien. Soit il est présent et à l'affut, la main joyeusement dressé et des questions / réponses amusantes aux lèvres. Soit il dors sur son bureau et se contente de bailler quand on appelle son nom. Avec lui, son rapport avec l'adulte compte énormément. Si la relation est positive, il est un élève amusant, quoi qu'un peu turbulent. Dans le cas contraire, il ne paye aucune attention, fait des bêtises, s'en va ou dors. Oh et il aime bien jouer le bouffon, faire rire tout le monde.
En pause : Il parle fort avec ses amis, aime bien grimper partout, on le vois courir dans tous les sens. Ou faire sa pleureuse, s'il a le malheur de se faire mal. C'est un grand gamin. Il parle un peu à tout le monde, s'intéresse à tout, mais au final, son attention est de bien courte durée et il revient toujours auprès des siens.
Au club de danse : C'est l'endroit où il est le plus sérieux, assurément. Depuis qu'il est président, il s'assure de demander l'avis de tout le monde et tente de partager sa passion avec les autres. Il n'hésite jamais à aider ses camarades, reste plus tard avec ceux le souhaitant et se montre terriblement patient. Il adopte le renforcement positif et même les pires danseurs, sont normalement encouragés et rassurés.
Au club d’athlétisme : Alors là, il se défoule entièrement et il aime lancer des défis aux autres (mais surtout à Evan). Ce qui signifie que bien souvent, il ne suit pas nécessairement les directives de l'étudiant président le club. Il préfère courir dans tous les sens, grimper là où il ne faut pas et, parfois, se blesser. Il déborde d'énergie et c'est peu de le dire.
À Germinal : Bon vivant, il a tendance à saluer pratiquement tout le monde. C'est que monsieur est social et aime bien les ragots. Aussi, quand il n'est pas avec ses amis à l'extérieur, il peut rôder jusqu'à tard - voir hors des heures du couvre-feu, même pas peur - dans la salle commune. Il rit fort, s'empiffre de petit gâteau (et dont il ne manque étrangement jamais ?) et aime bien se caler contre Cirilla. Sa fiancée. C'est un câlin. Un farceur.

Like me :
Yvon aime bien parler avec tout le monde et savoir tout sur tout le monde, mais dans les faits, son cercle est relativement privé. Il aime bien les autres, mais il se lasse vite de leur compagnie. Il faut être soit très drôle, soit très casse-cou, soit très fidèle et peu importe « très » quoi, sauf noble ou pompeux, pour qu'Yvon vous adopte. Mais après, il devient collant. Vous êtes avertis. Aussi, il considère que les amis de ses amis sont les siens, mais que les ennemis de ses ennemis, sont aussi ses amis.
Les VIPs : Sa famille (Basile & Faustine), Valentin (son frère de coeur) & Honoré (son bro et futur beau frère), Cirilla (sa fiancée), Evan (un poto), Cassiopeia (une ex et poto).

Hate me:
Yvon n'est pas un mauvais bougre, même qu'il est pacifique et tente d'apprécier tout le monde. Mais il est noble pour commencer et doté d'une naïveté propre à cet univers : il a tendance à ne pas faire attention aux petits soucis du peuple. Et puis il aime bien les ragots, beaucoup même, et n'hésite jamais à répéter une bonne histoire - et parfois, sans réfléchir à si c'est une bonne idée ou pas, si ça pourrait vexer la personne que la rumeur concerne. Sinon, il aime bien flirter, garçon ou fille, ce qui peut être mal perçu / vu. Il est aussi très taquin, pas méchamment, mais les plus susceptibles peuvent aisément se vexer. Finalement, il faut bien le dire, Yvon adore les situations bordéliques - tant qu'elle ne le concerne pas lui ou ses proches directement. Le chaos le fascine et donc, il est de ceux encourageant les conflits entre élèves, qui rappelle à untel que l'autre à dit un truc vraiment pas sympa. Un peu chieur ? Ouip !
Mais en somme, Yvon déteste très peu de gens. (Seulement Barthélémy jusqu'ici.)

Love me :
Yvon était, jusqu'à l'année 1970, un tombeur. Un joli bourdon, butinant de fleur en fleur, sans jamais s'arrêter plus de quelques instants. Trop jeune, trop con, trop impatient de tout goûter, quitte à s'en carier les dents. Parce qu'Yvon n'a pas d'à priori sur le sexe de son partenaire, évidemment. (Mais il évite tout de même de se lancer dans des histoires avec les membres de la noblesse, ce n'est jamais bon, selon lui. Trop délicat.) Puis, il est tombé sur Charlotte Bellombre. Une camarade de saison, plus jeune, un autre de ses rares à priori : pas de noblesse, de quelqu'un plus jeune ou vierge, ni quelqu'un pour qui l'un des membres de sa famille à un penchant.
+ Et il est tombé fort Yvon, trop fort. Il c'est fait avoir, est tombé complètement amoureux de la jeune bourgeoise, la laissant lui remplir la tête de projet face à la monarchie. Renverser le pouvoir, prendre la tête des familles avec les de Villeneuve (il a bien été question d'écarter son frère et sa soeur, mais il n'a jamais vraiment tint compte de pareille folie) et semer le chaos au sein des familles pleine de titre. Et dans sa dévotion toute aveugle (et parce qu'il est quand même un peu con hein) il a cru qu'en acceptant de se fiancer - projet dont sa douce lui parlait sans arrêt - il lui ferait plaisir. Sauf que non. Et celle qui lui n'avait cesse de lui susurrer des douceurs, qu'ils seraient ensemble malgré tout, que ses fiançailles ne seraient jamais qu'une question d'alliance, de papier, de jeu de pouvoir, c'est avéré être une manipulatrice. Une menteuse.
+ +Yvon c'est toutefois fiancé à Cirilla Baudelaire, peu avant l'équinoxe du mois de mars 71. Il l'a fait dans l'espoir de redoré le blason familial, mais c'est juré de prendre la chose au sérieux et de veiller sur la rouquine. Ce qu'il fait. Mais avec l'abandon et le rejet de Charlotte, il c'est assurément rapproché de sa fiancée. Il comptait s'en faire une amie, mais elle est devenue bien plus que cela. Une confidente, sa partenaire de danse et de crime, une amie intime. Et depuis que son ancienne flamme à quitté l'académie, transférée dans une école quelconque plus prestigieuse selon ses parents, il parvient presque à oublier que son coeur n'est plus tout à fait en état. C'est que Cirilla est charmante et drôle, d'une simplicité désarmante et doté d'une bouche délicatement sucrée. C'est simple, il ne sait plus se passer d'elle et on le voit rôder à ses côtés en quasi permanence.
+ + + C'est au courant des vacances de pâques, alors qu'il passait du temps (tantôt chez lui puis chez elle) en compagnie de Cirilla, qu'il a enfin réaliser toute l'ampleur de ses sentiments pour la rousse. Leur union est peut-être déjà prévue et arrangée, Yvon n'en est pas moins amoureux de la jeune femme. Il ne se considère d'ailleurs plus uniquement comme étant son « fiancé » mais bien comme son « petit-ami » - il compte donc se montrer fidèle.

PLUS

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon porte des lunettes quand il doit lire / écrire, sinon bonsoir le mal de crâne. Cela dit, il ne les aime pas trop, il évite de les enfiler. Il se trouve moche avec.  Yvon [DJ] 2775150216

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon n'a aucune pudeur, il pourrait se balader tout nu en permanence. (Mais il a de très jolies tâches de rousseurs, donc c'est tout bénef !)  Yvon [DJ] 4008641707

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon fonctionne avec un groupe d'ami très proche « ses gens » pour qui il donnerait probablement sa vie. Le reste du monde ? Oh, il les aime bien, mais ils peuvent crever sans qu'il lève le petit doigt.  Yvon [DJ] 1646624798

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon possède quatre passions primaires : la danse, les petits gâteaux, les inventions moldus et la photographie. De fait, a) il est passé président du club de danse cette année. b) Il se gave perpétuellement d'éclair au chocolat et de mille-feuilles. c) Il a réclamé une voiture moldu modifié pour ses 19 ans. d) Il possède une vingtaine d'appareil photo différent et sa chambre, au château de la Barben, compte une chambre noir depuis déjà deux ans.  Yvon [DJ] 4261103799

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est un habitué des fêtes - en fait avec son frère Basile, ils considèrent qu'une fête n'en est pas une sans leur présence AHEM - et donc, il a une excellente descente. L'alcool, ce n'est pas un souci.  Yvon [DJ] 1023733589

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est très proche de sa fratrie, qu'il protège coûte que coûte. Quant à Valentin Bellamy, il le considère comme étant son frère adoptif.  Yvon [DJ] 1344048672

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est le petit dernier des de Villeneuve, mais protège sa soeur comme si elle était plus jeune. Faites bobo à Faustie et il s'assurera de faire de votre vie un enfer constant.  Yvon [DJ] 2475136235

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon traîne une réputation de débauché, de gentil garçon sans attache, un pervers au pire des cas. Il n'est pas considéré comme un « bon partit » et pourtant, il c'est fiancé en mars à Cirilla Baudelaire. Une camarade fons, une bourgeoise de bonne famille. Il le vit TRÈS très bien d'ailleurs.  Yvon [DJ] 3600453465

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est un peu en train de tomber amoureux de Cirilla, mais comme c'est sa fiancée, il se dit que ça va ? Il évite de se poser trop de question. Yvon [DJ] 956212128

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon possède un petit chien, un carlin prénommé « Huahua ». Il l'adore terriblement, aussi agaçant puisse être la bestiole.  Yvon [DJ] 607358141  

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon à une maman de Vienne, y'a de quoi être jaloux quand on connait leur vignoble, mais encore quand on sait combien sa maman est géniale. Il vit encore à moitié sous ses jupes dès qu'il le met un pied dans leur château et il le vit TRÈS BIEN MERCI.  Yvon [DJ] 2178041104

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon a une phobie terrible des chevaux, y compris les Abraxans, créature de l'enfer ! La faute au Kelpie qui a voulut en faire son 4h quand il était un petit ponpon.  Yvon [DJ] 3557560000

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon à reçu un tapis volant pour cadeau de noël, cadeau dont il parle encore et encore. Un joli tapis vert brodé d'or. Yvon [DJ] 3105096552

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est un petit singe, il adore grimper et il n'y a donc rien d'étonnant à le trouver perché sur un toit ou une rambarde quelconque. Sinon, il aime grimper dans le dos de ses gens. (oui, SES gens, genre son cercle privé, les autres... non.)  Yvon [DJ] 1385829025

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est bisexuel, mais franchement on le soupçonne de se taper même les meubles, tant il aime flirter.  Yvon [DJ] 4008641707

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est un glouton, il peut manger en permanence et il mange pour trois ! (Évidemment ne parlons pas des desserts, son péché mignon.)  Yvon [DJ] 2932702015

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon a une étrange fascination pour le chaos, enfin tant que ça ne touche pas ses proches de trop près. Il aime assister aux catfight, au walk of shame, au lendemain de veille, au découverte d'infidélité. Il adore les ragots, il adore les embrouilles, tant que ça ne l'atteint pas.  Yvon [DJ] 700610535

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon a une multitude de petite cicatrice sur le dessus des deux mains. La faute à la seconde épreuve ayant eu lieu à l'académie, celle du labyrinthe et de ses roses. Il aurait pu les faire effacer entièrement, mais tire finalement fierté des petites marques pâles. C'est là une preuve qu'il a fait quelque chose de brave - et de stupide - dans sa jeunesse.  Yvon [DJ] 1385829025

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon adore porter des toges, il essai de faire des greek party à tous les trois mois au moins.  Yvon [DJ] 3669880849

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon est abonné à Nymphe-Coquine, SexySelkie et KinkyWiz. Si jamais vous cherchez de quoi vous rincer l'oeil, passez le voir.  Yvon [DJ] 4008641707

Yvon [DJ] 2618.png?v=2.2 Yvon a avoué, lors d'une lettre à sa fiancée, avoir une préférences pour les culottes en cotons. Il les trouve douces.  Yvon [DJ] 4252242557
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