-- heart full of hate, no vacancy (madd) [GP]
bat'phanie stuff :: TASTY PLAYGROUND :: Rp land ~ :: Fiches
Page 1 sur 1
-- heart full of hate, no vacancy (madd) [GP]
Maybe it’s adrenaline, or stupidity, might just be that, might not, anymore. |
Enfant unique d'une fille-mère, t'es l'accident, celui qu'on à gardé faute de mieux - ou pour faire chier le géniteur en question. Celui qui c'est tiré avec une autre, plus belle, plus futée. Elle aurait du te virer, combien de fois elle te l'a raconté, hein Madd ? Mais elle a pas pu, trop peur, trop seule. Et c'est à ça que tu servais, à priori, combler l'ennuie. Puis, à la faire se sentir utile et aimé, à la torcher, petit con qui à longtemps fait des pieds et des mains pour ses beaux yeux. Pour être aimé, rien qu'un peu. Sauf que t'as jamais été sa priorité, rien qu'un passe-temps. Un garçon poupée - celui qu'elle emballait dans les valises, votre vie dans vos bagages. Parce qu'elle disait te faire voir le pays, un mec à la fois - ta mère pour séductrice, chasseuse de tête vide aux poches bien pleine. Seulement, t'as davantage passé de temps dans les chambres miteuses des hôtels où elle t'abandonnais, le temps de faire sa petite affaire. Le temps de bien harponner le nouveau poisson. Bouge pas Maddy, maman reviens vite, juste le temps de trouver un nouveau papa, hein que tu veux un papa ? Pas vraiment, mais t'as attendu, encore et encore. Quelques heures, voir toute la journée - la plupart du temps. Trois jours,une fois, LA fameuse fois - jusqu'à finir en sanglot, l'estomac dans les talons, couvert d'urine. Arrête de brailler, Maddy, maman est revenue, hein ? La force pas à repartir, elle ne reviendra pas ! Ferme ta gueule et hop au bain. Et tu l'aimais quand même, parce qu'elle prenait alors soin de toi. Que suffisait de fermer les yeux pour oublier les chambres horribles, celles où tu vis encore dans tes cauchemars.
C'est à cinq ans qu'on t'a enfin ramené à Liberty Heights, là où tes parents t'attendaient avec impatience. Un couple trop jeune pour être grand-parent, qui t'ont immédiatement considéré comme leur fils. Et le passé c'est comme brouillé, un peu comme tes yeux quand maman c'est tiré avec un dernier baiser sur ta joue - hors de question qu'elle gaspille sa jeunesse plus longtemps ici. Elle t'a manqué, au départ. Par habitude, faute de connaitre mieux, puis tu l'as presque oublié. La faute aux camarades de classes, à Lucky, Maxine et Dominic. On appelle ça une renaissance Maddy et c'est okay, tu y as droit. Ne t'inquiète pas, tu es ici chez toi. Tout ira bien, va t'amuser. T'as hésité à le croire, trop habitué à garder ton sac tout prêt, sur le pas de la porte - celui que t'as rangé avec papi, au bout d'une année toute ronde. Sans nouvelle. Sans changement. Le bonheur qui à un goût de bonbon et du rire de tes grands-parents.
Elle est revenu quand t'avais huit ans, la soudaine envie de rejouer à la poupée lui chatouillant le ventre. Son nouveau copain adorant les enfants - en possédant déjà deux lui-même. Et toi, qu'elle voulait lui mettre sous le nez, lui rappeler qu'elle aussi, elle savait comment en faire. Que t'étais bien mieux, même si tu voulais pas repartir. Trop vieux pour pleurer sans avoir honte, mais pas assez pour dire non et que ça ait un impact. C'est jamais que pour l'été, juré Maddy. Après, tu reviens. Tu retrouves ta vie, mamie et papie. Mais elle à mentit - rien d'étonnant là. Qu'elle ne t'a pas retourné à ceux à qui tu appartenais maintenant, avant au moins six mois. Un retour qui c'est fait dans les cris et la colère - Maddox pas assez brillant, pas assez adorable. Cette fois, ses mots ont fais moins mal et t'as rangé ton sac - celui que t'as pas vidé, parce qu'on ne sait jamais, que faut toujours être préparé - dans ton placard. En croisant les doigts pour qu'elle parte et ne revienne pas avant encore trois ans.
T'as alors appris à vivre avec ses humeurs, ta mère disparaissant des mois, avant d'émerger à nouveau. Besoin d'un peu d'argent, de partager ton lit quelques jours. Besoin d'affection, que tu lui jures que tu l'aimes malgré tout - un demi-mensonge, parce que tu l'aimes malgré toi, oui. Ta mère qui s'en retourne, retombe en amour et cherche à t'arracher encore à ses parents, qui te déracine à tes amis à chaque fois. Lucky dans les bras de qui tu pleure à dix ans, même si tu dis que non. Maxine que tu serres trop fort alors que ta mère cherche à achever le klaxon de la voiture de location. Les coups de fils aux potes, les elle est venue me chercher suivis de près ou de loin par les je suis enfin rentré, venez vite ! Ta vie comme un foutoir, jusqu'à ce que les services sociaux s'en mêlent. Jusqu'à ce que tu annonces au juge que tu ne veux plus être avec elle - que ça te brise le coeur en même temps que le sien. Parce que c'est de ta faute, tout ça.
Y'a encore les cauchemars, la nuit. Les couvres lit à motif dégueulasses et les coups du service de chambre, contre la porte. La panique dans la poitrine, quand tu te réveilles contre un corps féminin. Une copine à Maxine - ou Dominic? Pas sur. Un corps de plus sur qui tu testes tes charmes, toi l'indomptable. Rien à voir avec le power couple que forme ton meilleur ami, Lucky, et ta plus vieille amie. Ceux que t'envie, un sourire en coin, mais pas assez pour chercher la même chose. La peur constante, sous la peau, d'être encore arraché à Liberty. La route qui appelle ton nom, sirène de béton que tu reluques plus que tu ne veux l'admettre. Peut-être parce que t'as beau enfoncés les pieds dans le sable, il bouge, il glisse et tu ne trouves pas réellement prise nulle part. Pas suffisamment doué en quoi que ce soit, sinon pour chanter la pomme. Ta voix comme un don, chaude et rauque, du sirop dont t'accompagne les grattements de ta guitare. Puis y'a les contacts de Lucky, la revente. Le deal, comme un passe-temps excitant - faut pas vous faire prendre, faut pas que les (grands)parents le sachent. Et ça regarde qui, si tu consommes un peu - parfois trop ? Personne. Parce que t'es heureux, t'es bien, suffit de tourner la tête vers la ville et de bouder la route, de garder ta bécane sur les routes familières.
Puis y'a Lucky qui t'abandonne, tout seul dans le sillon de Maxine - l'incompréhension jusque dans ta propre poitrine. Parce que leur histoire, tu la vivais un peu par procuration. Tu comprends pas, mais tu soutiens celui qui est pratiquement ton frère. New York, c'est pas si loin, tu fais la route un weekend sur deux. Puis une fois par mois. Lucky vient te rejoindre aussi. C'est pas la même chose, mais c'est pas la fin du monde. C'est pas la mer à boire, après tout, ça te file plus de temps pour trainer dans l'eau et faire tes conneries sur ta moto. Plus de client à fournir, maintenant que la clientèle de Lucky t'a été référer. Sauf que les appels s'estompent, que Lucky est occupé - le barreau ça a rien à voir avec tes cours du soirs, ceux pour achever tes études. Ton meilleur ami trop brillant, que y'a plus de place dans son firmament pour toi. Trois ans et ne reste que des miettes de votre amitié, des étoiles que parfois t'admire, allongé dans le sable. Le coeur perdu quelque part sous une dune. Rien à foutre que tu te dis. Rien. À. Foutre. Tu retournes plus qu'un appel sur deux - de toute façon, il est amoureux et doublement occupé. Ça te console à moitié.
C'est Maxine qui achève de te consoler. Maxine avec qui tu passes les soirées difficiles, avec qui tu va faire de la moto, un sourire en coin. Maxine, dans le lit de qui tu chutes par accident, pour y déraper encore - et encore et encore. Cinq ans où tu répond vaguement aux quelques messages de Lucky, qui tache de donner un pouls à votre amitié comateuse. Cinq ans où tu passes Maxine en priorité, où tu brouilles la limite entre amitié et amour - pas sur de savoir réellement aimer, alors où est le souci ? Aucune idée, jusqu'à ce que ton grand-père meurt. Que le choc te percute et que tu aies besoin d'elle. Maxine pour te soutenir, Lucky qui prend la peine de revenir mais qui ne peut pas rester, de qui t'attend rien de toute manière. Lucky aussi vite arrivé, aussi vite repartit - pas grave. Et c'est la que tu capte que tu l'aimes, que c'est pas que des extras vos nuits ensemble. Tu t'emballes comme un con, Madd. Convaincu que c'est du sérieux entre vous et que tu proposes qu'elle s'installe avec toi - rien à foutre qu'elle voit parfois des gars à côté ou des filles, tu sais que tu comptes pour elle aussi. Sauf que t'as tort. Parce qu'elle éclate de rire, qu'elle ne voit pas qu'elle détruit une belle « pseudo » histoire. Alors ce soir là, tu prouves que t'es le fils de ta mère : tu prends ton sac - celui éternellement prêt dans le placard - et tu files sur ta moto. Où ? Aucune idée, tant que c'est loin d'ici. Loin de la tombe de papi, loin de Max et ses yeux plein d'incompréhension, loin de maman qui est de retour.
Presque deux ans que tu ne réponds que vaguement aux sms des potes - t'as fais comme Lucky, tu t'es refais ailleurs. Nouvelle main, nouveau jeu - plus rien ne va qu'ils disent hein. T'as avalé pas mal de route, transportant de l'illégal pour certain - why not ? T'as noyé ce qui n'allait pas chez toi, le coeur en déroute, dans le ventre des autres. De jolies angelots tombés du ciel, des sirènes échouées sur terre et tu t'es dis que ça irait. Amen, hein. Jusqu'à ce que mamie t'appelle et t'annonce qu'elle est malade - pas besoin de ton aide, qu'elle insiste, mais t'entend les non-dits et devine sa souffrance. Alors t'es rentré, Madd, même si ça fait beaucoup trop plaisir à maman - qui t'as même trouvé un emploi chez son gentil époux, le propriétaire du Blueway Shack, restaurant et bar près du port. Pas envie d'y aller, mais au moins t'as évité de justesse l'installation dans le sous-sol du dude - toi, t'es retourné dans ta chambre d'enfant. Près de mamie. Et si ça fait 4 mois que tu te dis trop occupé pour sortir avec les anciens potes - mais pas ceux liés au deal, ça non, eux tu les a revu direct - c'est le fruit du hasard. Ahem. Mamie a besoin de toi. Ta mère t'as coincée au bar de son chéri. La vie défile vite, au moins aussi vite que les paysages sur ta moto...
Re: -- heart full of hate, no vacancy (madd) [GP]
Famille reconstituée par l'arrivée d'une mère, opportuniste passée pro dans l'art du charme, la séduction pour arme. Y'a la mère de Maddox qui à passé son existence toute entière à chercher le bon, l'homme qui l'entretiendrait, qui la ferait rêvé. Elle a fait le tour du pays, trop d'état même, avec - mais plus souvent sans - son fils. Maddox comme un bagage à main, mignon mais un peu encombrant. Puis y'a deux ans, le le père Kingsley senior casse sa pipe et elle fait l'effort de revenir, pour dire au revoir, pour se rappeler - constamment - pourquoi elle à tout quitter. C'est là qu'elle tombe des nues, qu'elle s'échoue entièrement nue surtout, contre une vieille flamme. Lui, le père de famille fait veuf - brave type à qui elle n'a jamais daigner filer l'heure par le passé. Sauf qu'elle à changé, mais surtout lui. Elle voit le potentiel - à comprendre ici, sa belle maison et son resto-bar qui fonctionne bien. C'est le coup de foudre, pour lui. Pour elle - peut-être. Et maintenant, ne reste que Maddox - unique absent pour le mariage d'ailleurs - qui soit encore un Kingsley dans leur drôle de famille rapiécée à la grosse aiguille.
Edit: La demi-soeur est dorénavant joué, de fait, je vous invite à prendre en compte la fiche et l'avis d'@"enael cheshire" aussi. :coeur7:
Relation houleuse entre le fils et la mère, aussi bien dire qu'ils ne ce sont jamais véritablement compris. Ils s'aiment, mais mal - à s'écorcher. Maman qui l'a mise au monde à tout juste 17-18 ans, sans père pour aider. Maman qui n'a jamais su se poser, qui a faim d'amour, des papillons qui palpite entre ses reins. Jamais « inlove » mais perpétuellement « inlust », maman qui cherche le confort sans l'effort - sinon celui de plaire. Femme qui veut se faire objet. Maman qui est née à Liberty Heights, mais qui voulait voir du pays, le monde entier si possible - qui c'est finalement fait attraper, tel un pokemon sauvage, alors qu'elle a la quarantaine à moitié écoulé. Elle avait pas prévu de céder pour ce type là, mais beau-papa est charmant, beau-papa à surtout de l'argent et un bon sens de l'humour. Maman qui est peut-être - mais on est jamais sûr - en amour. Et qui veut que Maddox revienne, par égoïsme ou avec regret - là non plus, on est jamais certain - jusqu'à elle. Maddox, à qui son chéri à filer un emploi. Maddox qui a maintenant une « petite soeur », soit la jolie poupée qu'elle adore. Après tout, elle à toujours voulu avoir une fille !
Brave type qui à perdu sa première épouse (à vous de voir comment et quand) et qui ne cherchait plus nécessairement l'amour. Pauvre type qui est tombé sur maman, la belle, la lumineuse. Qui s'y est noyé et qui cherche à améliorer son existence. Le passé de sa nouvelle épouse comme un vieux fantôme, celui exorcisé à force d'amour et d'un « je le veux. » Maintenant, elle est à lui et lui, à elle. Pour le meilleur et pour - surtout, selon Madd - le pire. Il ne comprend d'ailleurs pas vraiment la relation entre la mère et le fils, préfère ne pas s'en mêler, sinon pour accueillir Maddox parmi eux. Il a d'ailleurs offert un poste (voir plusieurs, puisque maman chérie l'a assuré qu'il ferait un peu de tout, qu'il devait s'occuper les mains) à celui-ci, dans l'espoir de rapprocher la famille. Il encourage fortement sa fille et son beau-fils à créer un lien amical, dans le fol espoir que sa princesse ait enfin un frère. Pourquoi pas ?
Fille unique d'un couple s'aimant réellement, c'est elle qui à soutenue papa suite au décès de maman (encore une fois, à vous de voir le comment et quand, pourquoi, etc), ce qui les a rapproché. C'est une petite débrouillarde et dynamique, pleine de vie et d'optimisme. Elle a grandit au Blueway Shacks, le resto-bar de fruit de mer - qui passe en mode bar, dès 22h - de son père. Un établissement qui sera à elle, un jour lointain. Là où elle passe beaucoup trop de temps libre, à aider le personnel - comme une seconde famille à ses yeux - ou à faire ses devoirs. Puis papa c'est remariée et il n'est pas le seul à adorer la nouvelle maman, celle qui ne veut pas effacer la place de l'ancienne, mais qui est présente pour la petite. Qui l'amène faire les boutiques. Qui insiste pour qu'elle ait plus de liberté, qu'elle vive sa vie. Belle-maman qui prend des airs de brises fraiches, de cocktails sucrés qu'on accepte qu'elle sirote - tant que ce n'est pas en salle devant les clients. Puis il y a Maddox, le demi-frère qu'on lui offre comme une nouvelle peluche. Madd qui grogne mais qui ne la chasse jamais, celui qui accepte de l'amener en balade sur sa moto. Madd qui est un peu trop joli, quand il traine torse nu et qui elle peut câliner comme elle souhaite, sans que ce soit weird - mais en fait, si, quand même. Madd qu'elle suit un peu à la trace, pour l'aider, parce qu'il est aussi paumé qu'elle - ce qui n'est pas normal, vu qu'il a 10 ans de plus, mais hey. Elle ne le juge pas et elle crush peut-être un chouia sur lui. Enfin, tant que papa ne le sait pas, tout roule.
- Attentes et explications:
- Hello hello ! :dance2:
Déjà, merci d'avoir lu mes petites idées et de t'y intéressé. :coeur8: Du reste, je suis quelqu'un qui s'adapte et qui cherche surtout à trouver des partenaires qui s'approprient les personnages / liens. Donc, parlons-en et ajustons, si besoin est, hein !
Alors, pour la maman, il faut savoir que son mode de vie et l'âge à laquelle elle à mise Madd au monde, reste un peu obligatoire. (soit 17 ou 18 ans) De plus, elle a joué à saute mouton / mec tout le long de sa vie. Après, les raisons sont libre - besoin d'amour, instabilité ou maladie mentale, problème d'addiction diverse ou juste, appât du gain et peur de l'ennui. Je vous laisse voir ce qui vous plait. Mais la relation entre Madd et elle est tendue, il l'aime mais il a trop été déçu. Il revient pourtant vers elle, cherche malgré lui à lui plaire. Et elle utilisait tout ça, autrefois. À savoir qu'elle peut avoir véritablement changé (si vous allez dans le sens d'une addiction, elle peut s'être remise ou autre) ou pas du tout.
Du reste, elle est mariée depuis deux ans à son nouvel époux. Après, elle peut assurément aider au resto-bar et même, y prendre plaisir. À vous de voir. Elle traite bien la fille de ce dernier, mais rien n'exige que son affection soit sincère. Aussi, c'est elle qui a réclamé un job de barman au Blueway Shack, pour son fils. Pour le rapprocher - quant au pourquoi, je vous laisse aussi y réfléchir.
Quant au beau papa et à sa fille, outre le fait que leur famille possède le Blueway Shack, qu'ils y bossent ensemble tous les deux - ce sont des travailleurs dans ma tête, mais la fille peut râler et le papa être un gros paresseux qui délègue hein - tout le reste est relativement libre. Aussi, ils ne sont pas « ouvertement » méfiant ou opposé à ce que Maddox se rapproche de leur famille. Cela dit, il n'est pas dit que papa doit absolument bien vivre le fait qu'un homme de 28 ans - un perdant en plus - approche sa petite fille. Ni que sa fille ait un crush dessus - j'ai mis qu'elle tournait autour en mode puppy, mais ça peut être très pure aussi ou en mode chipie, y'a moyen de faire. Du reste, ils doivent simplement U - natifs si possible, mais tout s'arrange. Oh et la première épouse est assurément morte, les détails vous appartenant.
Bon, j'ai mis des âges comme ça, pour le beau papa et sa fille, mais vous pouvez en changer, si vous en avez envie. Quant aux fc, ce serait bien si maman avait un air de famille avec Maddox, mais pas forcé. Sinon, c'est au choix pour beau papa et la demi-soeur, même si là aussi, ce serait bien qu'eux aient un air de famille. :good:
Bref, n'hésitez pas à me mpotter ou à me poker sur discord ! :coeur6: Je ne promettrais pas de chocolat ou d'amour éternel, mais si vous prenez l'un des trois petits, vous aurez assurément des RPs fun et une tonne de lien. (si si, je vais vous pimper à mes potes :hihihi:)
Re: -- heart full of hate, no vacancy (madd) [GP]
( ? )
(@"Maxine Lancaster", @"Penelope Drake", @"enael cheshire" oops, )
(@"enael cheshire" gérante, @"Wendy Evans" barmaid, @"Penelope Drake" barmaid/serveuse, )
bat'phanie stuff :: TASTY PLAYGROUND :: Rp land ~ :: Fiches
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|