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Message  Stephy Mer 29 Avr - 3:33

Demande de visaDouanesAménagement à New-York.Autres candidatures
Jericho Myers
FEAT. Armie Hammer
Do not call me perfect, a lie is never a compliment. Call me an erratic, damaged and insecure mess. Then tell me that you love me for it.
⇢ Carte d’identité
Nom
Myers
Prénoms
Jericho Samuel
Né le, à
7 avril 1985 à Boston
Nationalité
Américain
Âge
35 ans
Statut
Marié, highschool sweetheart qui ne s'aiment plus. Le divorce comme une épée de Damoclès, tombera, tombera pas.
classe sociale
Aisé, même si moins qu'auparavant. Il s'adapte, fait attention mais se montre assez avare et radin.
Sexualité
Hétérosexuel
Métier
Agent d'artiste, il a quitté le milieu sportif il y a 3 ans.
Avatar
Armie Hammer
⇢ Fiche psychologique
Social : Jeri il à toujours une minute à offrir à tout le monde. Sa vie sociale, c'est un peu la base de sa personne, et ce, depuis toujours. Le sourire facile et les mains qui gesticulent, il aime le contact humain.
trop Franc : Parfois trop abrupte, il manque de délicatesse et sa franchise n'est assurément pas une qualité. Ça pique toujours un peu quand il donne son avis.
Sympathique : Jeri, c'est rapidement un ami, un bon pote. Celui avec qui on va boire quelques bières et qu'on se surprend à texter pendant qu'on fait la file à l'épicerie. Parce qu'il met les autres à l'aise, parce qu'il sait écouter et que ça ne le fait pas chier d'échanger ou de filer des conseils.
Sévère : On ne déconne pas avec lui, enfin pas longtemps. Un brin autoritaire, il a l'index qui se redresse facilement et la voix d'un sergent. On ne se fiche pas de sa gueule longtemps, c'est Jeri qui le dit.
Efficace : Jeri, il n'entreprend jamais quoi que ce soit sans l'idée d'aller jusqu'au bout. La méthode importe un peu, parce qu'avec lui, les résultats sont toujours à la hauteur de ses promesses.
Opportuniste : Parce que tous les moyens sont bons pour obtenir gain de cause. Il ne voit pas le mal à profiter de ce qui lui passe sous le nez ou à saboter ses rivaux. La loi du plus fort, ce n'est pas qu'un mythe, la sélection naturelle c'est lui.

⇢ Biographie
-- Golden boy, golden dreams
Si Myers n'a pas toujours rimés avec opulence, vous n'avez jamais manqué de rien. Ni d'attention, ni d'amour, ta fratrie et toi. T'es donc le second enfant de ta famille, une soeur ainée et un frère benjamin - la belle vie, donc. Y'a toujours eu quelqu'un à embêter à la maison, des amis pour envahir la maison et le sport pour vous défouler. Le baseball, c'est pas une passion qui t'as habité tout de suite. Non, c'est venue avec l'adolescence, les boutons et la faim des filles dans le ventre en bonus. Après, le baseball ça te permettait de changer d'air, de frapper, de courir. Et faut le dire, mais t'était foutrement doué, le meilleur de ton équipe - celle que t'as mené à la victoire trois années consécutives. C'est aussi à Boston que tu l'as rencontré, Jane. Ta douce moitié, déjà toute satinée, l'enfance s'arrachant doucement à elle en même temps que tu lui dérobais sa culotte. Tu l'as aimé, longtemps, tellement fort même. Tu l'as aimé comme si elle était le mot lui-même. Davantage amoureux de l'image que tu te faisais d'elle, que de sa propre personne. Et tant pis, que tu disais déjà, quand on te faisait remarqué qu'elle profitait un peu de ton titre et de ta popularité. Pourquoi pas hein ? Tu n'as jamais vu le mal là, c'est pas comme si t'étais joueur pro, pas comme si elle gagnait autre chose que des soirées sur la banquette arrière de ta voiture. Non, à cette époque, tout était encore pure, lumineux même. Simple.

-- Aim high, don't ever hesitate
Y'a ensuite eu l'université et les quelques complications qu'apporte une bourse en sport. Le baseball pour obsession, terrible amant tentant de détrôner Jane. Sauf qu'à cette époque là, t'étais encore un peu naïf, rattaché à ta famille, celle s'inquiétant de te voir tout lâcher. Pour le plaisir. Parce que l'université fait parfois cet effet. T'aurais pu la virer, la jolie Jane, elle et ses mains coquines, mais elle a toujours eu le chic de retrousser sa jupe au bon moment. Un talent bien à elle, oui. Alors tu l'as pas lâché, au plus grand soulagement de tes parents et de couple un peu superficiel (ceux ayant le plus de chance de finir marié, selon l'album de finissant, ouais) vous êtes passés à fiancés. La grande demande exécuté sur le terrain de baseball, juste avant le dernier match de la saison - celui que vous avez gagné, porter par ta passion et ton amour pour la future Mrs.Myers qu'on aura écrit dans le journal étudiant. Ouais, on va dire. T'étais déjà pas très certain à l'époque, de ce que tu faisais, ou pourquoi, sinon que ça faisait plaisir à tes parents. Que ça semblait plus facile, mieux. Simple, peut-être - mais plus tant que ça.

-- High in the sky, shiny and brand new
La ligue pro, ce n'était visiblement pas qu'un rêve et tu t'es mis à pleurer comme un môme quand t'as reçu l'appel. Quand on a enfin exaucé ton souhait : te laisser jouer devant le monde entier. Le rêve, c'était de jouer pour les Red Sox, ton équipe préférée, celle de qui t'as toujours suivis les parties. La casquette fétiche sur la tête quand ils ont commencé à former les équipes, à choisir leur recrue. Sauf que non, t'as terminé chez les Phillies, à Philadelphie. Sacré changement, mais t'as encaissé, t'as essayé d'apprendre le plus possible pour devenir le meilleur, pour avoir droit à ton petit bout de gloire. C'est là que tu t'es décidé à annoncer à Jane, dont la vie se résumait à dépenser ton argent aussi vite que possible, que ça ne fonctionnait plus. Que ça n'irait pas plus loin. Sauf qu'elle t'a devancé pour t'annoncer sa grossesse. Un bébé, ça tu l'as assurément pas vu venir, pourtant t'aurais dû. Après ça, la vie n'a plus jamais été simple.

-- you miss 100 of the shots you don't take
Quand les Yankees t'ont enfin approché, ça recommençait à aller de travers avec ta femme. Des accusations qui pleuvent dans tous les sens. Pas assez présent pour votre gamine, trop égocentrique selon elle, à faire la fête et jouer à la baballe alors qu'elle se défonçe pour s'occuper de la maison. Sauf que non, c'est la bonne qui fait ça, chérie - bonjour les engueulades qui n'en finissent plus. Alors ouais, c'est le soulagement de revenir plus près de Boston et même que New York te plait terriblement. Un endroit que tu n'as que visité par le passé, durant des matchs extérieurs, durant des vacances en amoureux - plus récemment, en famille. New York qui t'acceuille à bras ouvert et une équipe où tu te sens ENFIN chez toi, t'es plus juste un rookie maintenant. T'as fais tes preuves et ça se ressent. Jane est du même avis, parce qu'elle râle de plus belle, une fois la première année écoulée et le tour du propriétaire achevé - aka la belle pomme qu'elle à toute dévoré. Tu la fuis presque, kidnappant votre bestiole à vous, petite fille que tu entraine dans tes excursions diverses. Comme pour t'excuser de ne jamais que t'engueuler avec sa mère, Jane de qui tu songes à te séparer. Sauf qu'un gros scandale fait rage au sein de l'équipe et qu'a l'inverse, toi tu dois servir d'exemple. Le bon père de famille qui va épouser sa fiancée, t'as plus ou moins le choix - même tes parents te disent qu'il serait temps et le projet mariage semblant apaiser Jane, tu te lances. Alors, encore une fois, tu t'agenouilles sur un terrain de baseball. Mais ici, c'est pas juste un campus qui t'écoute débiter tes conneries, c'est tous le pays et on t'applaudis tellement Jericho, que tu y crois presque, toi aussi. À ton beau bonheur, à la réception grandiose et aux photos où tu souris comme un con. La photo de votre mariage en première page d'une tonne de magazine - Jane est si fière qu'elle pleure. Elle dit qu'elle t'aime, que tout va s'arranger et toi, tu ne peux pas t'empêcher de te dire que la vie est un peu triste à ce moment. La faute au regret, celui qui vit dans ton ventre, mais t'es père, t'avais ton devoir à faire. Tant pis, après tout t'es un gars simple.

-- got no malice, just a little bit of regret
Tu pars clairement en vrille, Jericho. Parce que tu es marié et que la belle brune que tu plaques contre le mur, n'est assurément pas Jane. Mais c'est bien ce qui te pousses à le faire, non ? Oui. Parce qu'entre la pression de ne pas perdre ton niveau au baseball, y'a les rôles pourris que t'as acceptés au cinéma. C'était clairement pas pour toi, mais c'est pas pour ton talent qu'ils t'ont pris de toute manière. C'est la gueule qu'il voulait, le sourire et le torse nue. Tu te sentirais presque sale, si seulement ça t'avais pas poussé jusqu'à ta maitresse actuelle. Lou, qui est un délicieux passe-temps et la pire des décisions. Parce que même si vous avez frôlé la catastrophe il y a deux mois à peine, tu reviens constamment jusqu'à elle. Tu laisse la belle sirène te convaincre à coup de sexto, un cliché osé à la fois. Ton agent t'as avertis, tu ne dois pas déconner à nouveau, l'équipe n'a pas besoin de ça - les Yankees que tu aimes peut-être trop, où tu t'es bien enraciné. La grosse pomme qui goûte si sucrée que tu ne veux plus la quitter, New York que tu refuses de quitter, même si Jane râle encore. Tout le temps - surtout maintenant qu'elle est enceinte de votre deuxième enfant. Un garçon que t'aimes déjà trop fort - mais pas tant actuellement, préférant renverser Lou et te perdre en elle. Oublier qu'entre ton engagement envers ton équipe, ton épouse qui te reproche ton infidélité et ta maitresse sporadique, la simplicité ça n'existe plus dans ton vocabulaire.

-- you can't fill the hole inside of you
T'as tout donné au baseball. D'abord ta jeunesse, passant le plus clair de ton temps à jouer, à t'entrainer et à créer des réflexes chez toi. Tes couilles, à ne pas quitter ton épouse, parce que c'était mieux pour ta carrière et ton image, que ça te rendait plus attrayant pour ton équipe. Ton âme, parce que t'aurais du réaliser que c'était pas tout, le baseball. Parce qu'à trop vouloir ne jamais quitter ta véritable femme : New York et son équipe - fuck les Mets d'ailleurs - t'as pas voulu lâcher la fausse. Jane qui a exiger une thérapie de couple, visiblement à bout de toi et de votre bordel conjugal. La faute à ton histoire avec Lou qui ne s'achève pas, des preuves qu'elle à trouvé dans ton téléphone. Alors tu t'es incliné, tu lui a même laissé le volant alors qu'elle vous ramenait de votre fameuse soirée - parait que tu dois lui laisser plus de place, que tu la blâme de tout et la perçois injustement comme une opportuniste. Peut-être. Puis, elle a mal exécuté sa courbe et la voiture a dérapé. Parait que c'est la faute de la chaussée mouillée, la faute à pas de chance. Mais c'est plus facile de l'accuser, elle, encore une fois. Jane qui à pleurée jusqu'à l'ambulance vienne te récupérer et qui n'a jamais quitté ton chevet. Tu t'es même adoucit un peu, conscient de ses efforts, acceptant - pour la première fois depuis des années - de faire d'elle ton alliée. Jane qui t'a aidé à te remettre sur pied après l'opération, qui t'a même accompagné à chacune de tes séances de physiothérapie. Et les enfants, avec qui tu réapprends à être plus humain, papa presque à temps plein, le temps d'aller mieux. Puis tu tentes ton retour sur le monticule, quand bien même ça ne semble pas plaire à Jane. Parce que le baseball vos éloignent, aussi bref soit ton retour - ton épaule n'y arrive plus. Ta hanche a changée ton swing. C'est foutu. Fini. C'est tout aussi simple que ça.

-- nothing grows, when a house ain't a home
Tu broies du noir, t'en peux plus. Fuck New York, la belle, la grande, celle qui te rappelle tout ce que tu n'es plus. C'est dans la grande maison familial du Rhode Island que tu t'empresses d'aller te terrer. Comme un animal blessé. C'est là que tu panse tes blessures, que tu laisses Jane revenir - que tu te surprend à l'aimer et à culpabiliser de vos différents, de ton infidélité. Elle ne méritait pas ça, pas vraiment. Mais l'argent s'écoule et tu crains le manque, alors ton agent t'offre une sortie de secour : l'agence sportive. Pas nécessairement le baseball, non. Mais tu peux te charger de quelques atlèthes, tu connais le milieu, comprend les enjeux. Parcours presque parfait qu'il dit, parce que ton dérapage avec Lou à été étouffé par de beaux chèques à trop de chiffre. Et pendant deux ans, ça va, c'est presque suffisant. Jane est heureuse, tu ne fais plus la navette, mais tu ne parviens pas à vendre la maison de New York - source constante de conflit. Elle t'imagine amoureux de Lou et ça te fait rire, comme si cette dernière se rappellait encore de toi, comme si elle voulait d'un raté dans ton genre. Non, ça n'a rien à voir, mais ça te pèse finalement. Les reproches quotidiens qui reviennent, Jane qui tente de se purger de tout ce qui comprime la poitrine. Et le travail où on te parle constamment de ta blessure, où on te demande ce que ça fait, de tout perdre, de devoir regarder les autres te remplacer et ton nom, s'effacer. Suffit, il est temps de changer de cap et d'abandonner ce qui s'apparente aux pépins de pomme. Le sport comme du cyanure, trop souvent avalé. Celui que tu ne peux tout simplement plus ingurgiter, la peur au ventre d'en crever.

-- it's useless, somehow I just want you more
Jane est encore enceinte, parce que c'est le seul moyen que t'as trouvé pour la rassurer, au retour de ton premier voyage solo à New York. Depuis votre départ précipité et ton orgueil blessé. Tu vas un peu mieux, t'as des clients à voir - des vedettes qui n'ont rien à foutre de tes blessures, mais qui rient encore parfois de tes trois rôles ridicules. Ha ha ha, va chier, ouais. Et si tu ne recontacte pas Lou, une entente avec Jane que tu ne veux pas inquiéter, c'est avec Diamond que tu entres en contact. Cette fois, ça n'a rien de bien méchant, tu ne trompes pas ta femme, pas vraiment. Tu paies plutôt pour regarder une camgirl se désaper, danser en t'exposant son ventre vierge de tout enfant. Diamond, d'abord pour passe-temps, un fantasme comme un autre. Moins cher ou risqué qu'une escorte, surtout avec ton métier, avec ton passé. Ton identité en sûreté. Puis les soirs en sa compagnie s'accumulent et elle devient, au fil des mois, plus qu'une jolie fille à qui tu donnes des ordres. Diamond avec qui tu parles de ta journée pénible ou de ton petit dernier, Maddox, et avec qui tu débats sur le meilleur restaurant thaï dans x arrondissement. Et ça y est, tu sombres un peu plus, obsédée par la sirène aux cheveux neigeux. Au bout de deux ans, il faut que tu la rencontres ! Tu profites donc d'une réception au travail, ta femme et tes gamins restant au chaud à Rhode Island - là où tu vis normalement, New York n'étant jamais que ta maitresse - pour la rencontrer. Pour t'abîmer en elle, jusqu'à ne refaire surface qu'au petit matin. Toi qui espérais qu'en la dévorant tu briserais le sort qu'elle t'a jeté, tu t'es gouré. Jane n'est plus, tu dois te faire une évidence, mais April ne comprend qu'une chose : tu es marié. Alors elle prend ses distances et difficile de le lui reprocher. C'est pourtant clair dans ton esprit que c'est terminé avec ta femme - et pourtant, tu retournes à la maison. Là où tu lui avoues tout, navré, mais jamais qu'à moitié. Parce que tu la regardes toujours, April, ton petit diamant. Plus que quelques mois et tout est prêt pour que tu retournes à New York. Définitivement, aussi déchirante soit la décision pour Jane et les enfants. Ceux que tu comptes visiter de toute façon, ceux qui sont déjà pressés de te retrouver. Et le divorce ? Jane n'est pas prête. Jane à besoin de temps. Okay, okay. Et toi ? T'as du boulot et une certaine camgirl à convaincre que ce sera bientôt très sérieux vous deux. Que le divorce est à venir, suffit que les enfants se stabilisent. Annah, l'ainée de 9 ans, peinant à gérer vos nombreux conflits familial. Puis il y a Desmond, ton cadet de 5 ans, qui a recommencé à mouiller son lit. Finalement, Maddox, à tout juste 2 ans, pleure un peu plus souvent. Tout ça, c'est de ta faute... Et peut-être que Jane à raison, peut-être que c'est toi, ici, le méchant de l'histoire.

⇢ In real life
Ton pseudo : bat'phanie Ton âge : 32 ans Ta région : Québec Ton crédit gif ddlovatosrps.tumblr RPS courts / Longs : Longs Présence : 1-2j/sem Newbie / D.C : Newbie Personnage inventé / Scénario : Inventé.
Stephy
Stephy
charming anti-PRINCE

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Date d'inscription : 30/05/2007

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