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ariel giannopoulos || nathan niehaus [AH]

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Message  Stephy Ven 1 Mai - 21:08

ariel giannopoulos

On dit de moi que je suis un FUCKBOY.


Nom, prénom et surnom: (Giannopoulos), aka ton premier test de vie, quand t'as du apprendre à l'écrire. Les ancêtres grecques qu'on soupçonne à travers ton teint, ceux qui reprennent vie quand papa prend ses airs de petit roi et qu'il exige la même chose de part. So not cool, dude. Pauvre mommy. (Ariel), comme la petite sirène, wesh. (Ari), que tu préfère. Ari, qui a gardé la queue mais viré tout le reste, ainsi va la vie hein. L'idée stupide de maman, qui c'est dit que comme ça, son gamin serait plus à l'aise dans sa sexualité et dans son genre. Raté, parce que porter ce nom sans être rousse et les coquillages, c'est foutrement plus compliqué qu'il n'y parait. (Bartholomew), parce que y'a des trucs comme ça qui ne s'arrange pas, même avec le temps. Le nom de ton grand-père, l'idée de ton père ça, celui que t'entend que quand on t'engueule, meh. Et après, on se demande pourquoi t'es un petit con, faut voir tout ce que tu dois faire pour compenser.

Age, date et lieu de naissance: (Dix-sept ans), l'âge un peu brouillon où t'es censé devenir moins con. Un jour à la fois, hein ? Peut-être, faut voir mommy. Parce que tout ça, c'est depuis le (4 juillet 2003) que ça dure. Ouais, toi t'es né le jour de l'indépendance, en plein (Washington), les feux d'artifices pour enterrer tes cris. De peur, qu'aime ajouter joyeusement ta mère, la main dans tes cheveux, mais c'est mort. Mum, just don't.

Activité et niveau d'études: (Junior year), soit la plus précieuse, parce que c'est l'avant dernière. Que bientôt, ce sera la senior puis l'université et la fraternité obligatoire. T'es pas encore prêt pour tout ça, pas prêt à quitter ton cocon rassurant. En attendant, pour oublier tout ça, tu t'actives sur le terrain de (football) où tu fais la fierté de tes parents, de ton père surtout. Seul sujet que vous avez en commun. Seul terrain qu'il foule sans juger ou ronchonner, seul terrain d'entente. Parce que le football c'était son truc à lui, avant. De devenir vieux et d'être parent, pas de chance hein.

Situation financière: (Aisé), depuis quatre générations, peut-être cinq, ça ne t'a jamais intéressé. Daddy qui en tire fierté et toi qui préfère bailler, avant d'embrasser la joue de mum puis de t'éclipser. La faute à ta mère, tout ça, qu'il aime grommeler. Mommy qui à grandit dans un mobile home, les pieds bien enfoncés dans le sol. Ta mère qui c'est marié pour s'élever et échapper à une vie médiocre dans un trou paumé, pour mieux y revenir, wtf indeed.

A Twadogs Hill depuis: (2004), soit ton premier anniversaire. Le caprice de mum, qui en avait marre de Washington. Qui ne voyait pas pourquoi elle devrait rester là-bas, ses études terminées et toi expulsé, charmante image que voilà. Tu sais, damn.

Quartier habité: (South Natural Park), où vous occupez l'aile est de la Villa Giannopoulos. Et oui, il existe bien une aile ouest, nord et sud. La première étant toujours occupée par tes grands-parents paternels, aussi étrange que ça semble l'être. Parce qu'il suffit que tu traverse le jardin du centre pour aller faire la bise à mamie, giagiá pour les VIP, et hériter de quelques billets. Ceux qu'elle a toujours le bon sens de glisser dans ta poche. Quant à l'aile nord, elle abrite plutôt une grande verrière, le sud prenant la forme d'une écurie. Deux endroits où, oh la surprise hein, tu traines assez peu. T'as 17 ans, pas 71.

Situation familiale: (Fils unique), tu fais le bonheur de tes parents et des vieux de ton père. (Mommy) te trouve parfois trop gâté et indélicat avec le beau sexe. Psychologue, elle aime bien te sortir son petit numéro de psychanalyse et te souffler que tu es un momma boy, jamais sans un petit sourire attendris. C'est peut-être vrai, mais ew mum, stop ! (Daddy) est toujours le premier à lui assurer que tu vas très bien, que les filles et les bêtises, c'est de ton âge et un rite de passage. Avocat commercial, il est tout le temps ailleurs, en voyage. Tu le soupçonnes d'ailleurs de se taper sa secrétaire, après vu le look de la bombe qui le suis partout, tu ne peux même pas le blâmer. Ni lui, ses écarts ou son absence, y'en à qui ont tout dans la vie, tsk. Puis y'a (giagiá) et (pappoús) Giannopoulos, soit ta grand-mère et ton grand-père, qui te considèrent comme un petit prince. Si parfait, si brillant et si bien élevé. C'est beau l'amour aveugle, ou la démence... maman penche pour le second et franchement, toi aussi.

Statut civil et orientation : (Célibatard), fuckboy qu'on souffle sur ton passage et ça te fais rire. Bande de gros envieux, bande de vilaines jalouses, y'a assez d'Ariel pour tout le monde. Suffit de demander, suffit de venir chercher. Après, quand tu dis tout le monde, tu penses aux filles, hein. C'est pas que t'ai peur de toucher un type, en fait ton sang grecque te rend très tactile avec tes potes, mais si t'as envie de jouer avec une saucisse, t'as déjà la tienne. Faut varier les plaisirs, guys. Nan, toi t'es purement (hétérosexuel) et c'est pas plus mal, t’ose pas imaginer le drame que ce serait avec ton père.

Maybe tomorrow

Ton avis à propos de la ville ?
À la fois trop petite et trop grande, tu sais jamais trop ce que t'y espère. T'es partager entre le réconfort que mum y puise et la frustration que dad en ressent. T'aimerais qu'on ne te reconnaisse pas à tous les coins de rue, avoir la paix c'est un putain de luxe dans le coin. Et pourtant, tu tires tout autant de la fierté à te faire héler à la pharmacie ou au parc, qu'on te félicite pour le foot ou qu'on te demande comment vont tes vieux. Ici, t'es jamais réellement seul, mais t’arrive pas à savoir si c'est bien ou mal. Peur, à quelque part, que comme ton père, ça ne te suffise pas. Peur de perdre Juno et Rhiannon, ça, ce serait vachement con. L'envie terrible d'être mieux que vos mères, les trois mousquetaires qui ne ce sont jamais réellement perdu de vue, mais qui ont coupés le contact. Un temps, trop longtemps que souffle parfois mommy, un verre de vin à la main. Peur chronique qu'elles ne suffisent pas, toutes les deux, à te garder ici. Qu'ensuite tu regrettes à ton tour, que tout change et qu'elles continuent sans toi.
Ta réputation selon toi ?
T'es le gars à connaitre, celui avec qui on s'emmerde jamais, parce qu'il a toujours un bon plan quelque part. T'alterne entre le gars de bonne famille, parce que personne à jamais eu honte de se présenter avec toi ou à ses vieux, et le sale petit con. T'es la jeunesse qui doit passer, mais qu'on tolère, un sourire attendris aux lèvres. T'es jamais bien méchant et si c'est le cas, on y crois pas trop. Parce que tu t'excuses d'une courbette. Le sourire trop facile et les pickup lines qui font glousser jusqu'aux femmes beaucoup trop âgées. Après, tu sais que t'es pas reconnu pour ta fiabilité, les copains qui roulent des yeux quand tu jures que tu seras là, parce que la ponctualité c'est pour les cons. T'as le coeur volage aussi, le coeur qui saccage tout sur son passage. Tu jures être amoureux, mais c'est jamais que temporaire, toi tu promet jamais, mais merde si tu le sous-entend pas. Fuckboy, un titre que t'assumes à moitié, un rire dans la voix et les épaules que tu hausses. Jalous much, fuckers ? Confiant, malgré la pression, t'aurais assurément l'un des premiers rôles dans une série pour adolescent. Sportif, mignon, une fille différente au bras, mais toujours tes deux potes d'enfances pas loin. Celles que tu ne touchent pourtant pas, pas beaucoup en tout cas, signe que t'es pas qu'un gros connard. Et t'es conscient que certains croient que vous faites des trucs à trois, d'ailleurs t'as jamais rien démentis. Ce serait quand même tout un exploit, heh.

le caractère

Ariel ou le type qui souris perpétuellement, toujours heureux et les gestes un peu nerveux. Trop d'énergie dans le mouvement constant de ton corps, jusqu'à tes mains qui gesticulent quand tu parles et ton genou qui tressaute dès que tu t'assois. Tu tiens pas en place, t'as jamais su. Expressif, qu'ils disent et tu ris un peu plus, la parole souvent trop rapide. Sympathique, assurément, tu parles à tout le monde et t'es pas élitiste ou raciste. Nan, t'aimes les gens comme ils sont, mais faut pas se leurrer, parce que t'aimes tout autant ton pickup ou ton skate. T'es bruyant, aussi. Grand gamin qui recherche activement l'attention des autres, peu importe l'endroit ou comment. T'as le besoin constant d'être rassuré, que t'es un gagnant, que t'es désiré, que y'a pas que tes parents qui t'aime. Et tant pis si parfois ça t'attire des ennuis, d'avoir une grande gueule, parce que t'es bien élevé. Qu'on pardonne tout aux gens polis, c'est bien connu et que tu sais te montrer adorable. Et sinon y'a papa, pour venir rembourser, pour venir mentir. Repentant, mais jamais qu'à moitié, tu prends jamais rien au sérieux, sauf le sport. Le foot, c'est presque une religion chez toi et si tu le fais pour ne pas perdre ton lien avec ton père, t'aimes quand même le jeu. Le sport, c'est un moyen de te rattacher aux autres et de te rendre plus appréciable, à comprendre désirable, à leurs yeux. C'est pas tant une passion donc, mais plutôt une condition que tu t'imposes. Un régime de vie, papa s'occupant du corps quand il t'entraine dans votre salle de gym, maman se chargeant de ton esprit quand elle petit déjeune avec toi et te fais la conversation. De fait, t'es un mec socialement tactile, les mains qui balancent des claques amicales dans le dos des potes et les doigts dans les cheveux des jolies filles. Alors ouais, ton tableau de chasse est conséquent. Les filles qui tombent comme les jolies pommes du verger, derrière la villa familial. Les seins ronds et les joues rouges, après tout le monde sait qu'avec toi, non c'est jamais qu'un défi. Une invitation à faire mieux, parce que tu gagnes tout le temps. Arrogant ? Un peu, ça dépend du moment, ça dépend des gens. Mais pas vraiment avec Rhiannon ou Juno, les intouchables, celles sur qui tu fantasmes comme le looser que tu refuses d'être. Plutôt crever que de l'avouer. Fuckboy qu'on dit, beau parleur, superbe menteur, les paroles faciles et le coeur jamais investit, maybe.

Derrière l'écran


Pseudo: (s)laugther Âge: vieux, très vieux, "dracula l'empaleur était mon pote" vieux Mon personnage est un: inventé J'ai pensé à envoyer ma face cachée au staff: Non, mais je fais ça dès que j'ai fini ma fiche, juré craché. C'est fait, en espérant que ce soit ok. Qu'est-ce que je recherche sur ce forum: rp sans me prendre la tête et pécho avec Ariel (chacun ses rêves, yup) autre chose ? votre forum est super cute et je n'en ai entendu que du bien. Seul petit bémol pour les couleurs et le texte minuscule, après je suis vieux et ça doit jouer, mais ça pique un peu mes yeux... :what:

feat. nathan niehaus || crédits: all souls (avatar), soldiers eyes. (icons)
Never enough and no satisfaction
Got no shame

C'est jamais le réveil qui te ramène à la réalité, Ariel. C'est les cauchemars qui t'en éjectent, bien bien avant que le téléphone sonne et que le monde se remette en marche. Le corps tendu, le corps douloureux, tu t'arraches alors aux draps. Incapable d'y rester, sans savoir comment y replonger. Cinq heures du mat et toi, t'es déjà dehors à jogger, tout en discutant avec des potes d'un autre fuseau horaire. La famille grecque que tu visites quelques fois par année, avec qui vous vous acharnez à garder le contact. Quatre fois le tour de la villa, cinq si ton père est encore là. Parce que le matin, il est jamais de bonne compagnie. Puis c'est la douche, l'eau qui nettoie tout, qui remet de l'ordre dans ta tête. Parfois, y'a le comprimé qui disparait dans ton ventre, mais normalement, tu sais faire sans. Le café que t’avale, appuyé contre l'îlot de la cuisine, les yeux perdus sur la cour intérieur de la la villa. À faire coucou à giagiá, qui sirote son thé dans la bâtisse en face. Y'a ton enfance qui t'appelle, qui se rappelle à toi, les fantômes de tes deux chéries dissimulés dans les buissons plus bas. Vos rire qui ricochent dans ton esprit, puis le baiser de ta mère, qui te ramène au présent. Mommy, qui te décoiffe joyeusement, avant de te piquer ton café. De commencer le petit déjeuner, celui que tu dévores avec appétit. Un peu comme les baisers. Ça ou les comprimés, hein Ariel.

Puis c'est vers les deux belles que tu pousses le pickup, celui que papa t'as offert pour tes 16 ans. Ton camion ou ta fierté, celui où y'a toujours un matelas de camping qui traine à l'arrière. Pour mater les étoiles ou vous y propulser, ça dépend de ton stock. Et de temps à autre, pour accueillir une coquine, celle aux mains baladeuses et à la langue câline. Normalement tu commences par Rhiannon, parce qu'elle est quelques rues plus près, mais c'est Juno qui est à l'heure. Son skate qui termine dans la queue du camion, celui qui roule à chaque arrêt, à chaque tournant. Et le klaxon qui vibre dans l'air, pour réveiller Rhiannon, quand tu met pas "Pon The Replay" à fond la caisse, les fenêtres baissées, le rire de Juno étouffé près de toi. Mais Rhi te ressemble trop, la ponctualité qui manque quand t'es attendu, sauf le matin, jamais le matin pour toi Ariel. Alors t'envahis son univers, bouffe sur ses couverts et t'étouffe de rire quand elle te chasse de son repas. Y'a Juno qui continue la route sur son skate, celle que vous rattrapez à l'école, à qui tu gueules, par la fenêtre, que c'est une course. Juno qui ne gagne que très rarement, mais que vous attendez quand même. Parce que la journée elle commence avec vous trois, jusqu'aux casiers. Leurs sacs en équilibre sur ton épaule, comme un pied de nez à ce qu'on murmure à ton sujet. Comme pour t'assurer que les gens continuent de croire que tous les trois, vous prenez votre pied ensemble.

Y'a les cours et toi qui tripote ton téléphone, mauvais pote qui voulait blaguer y'a 2 ans mais qui c'est fait avoir. Avec Rhi, tu te fais passer pour un daddy, Barry, un vieux pervers qui l'a contacter sur insta, qui voulait voir un peu de peau pour lui filer des billets. Tu pensais pas qu'elle répondrait, t'avais même pas imaginer que c'est toi, qui finirais par l'entretenir avec ton argent de poche. Yeah right, dumbass. Avec Juno, t'es Bart, un gars de Washington, quelques mois de vie en moins. T'es le bon pote, le confident qui lui parle de ses soucis, de tes doutes. T'es le type un peu amouraché, avec une comme l'autre. Barry ou Bart, tu sais jamais lequel t'es réellement, lequel t'aimerais être en tout temps. Mais ça dure depuis trop longtemps, 1 an à recevoir les photos coquines de Rhi, 2 ans à parler de tout ce qui déconne dans ta vie à Ju. Suck to be you.

Y'a aussi les autres nanas et les potes, les filles à qui tu fais des avances, aussi naturellement que tu respires ou marche. Celles qui te le rendent bien, un sourire à la fois. Les gars, avec qui tu traines, à parler de fille, de fête et de sport. Ton camion qui sers de pont, aussi. Souvent, même. Tes potes qui te servent tout autant de point de repère, la normalité c'est pas si facile que ça dans une petite ville, que de rivaux. T'arrive jamais à savoir si c'est vrai, si on attend pas pour te foutre un coup dans le dos. Parce que t'es jamais vraiment loyal qu'à toi-même, puis aux filles. Pas le choix avec Rhi et Ju, parce que vos mères sont des mousquetaires, qu'elles ont grandis ensemble et que vous avez pas le choix. À la vie, à la mort, hein ? Ouais et si tu peux en épouser une des deux en chemin, maman te serais reconnaissante. Papa préférerait pas, parce que toi, t'es censé te tirer de là. Suivre le chemin de ton oncle, celui qui ne revient ici que pour noël et trois weekend par année.

Y'a le football aussi, qui t'appelle, qui te réclame. L'énergie que tu peux fracasser contre les autres, un cri dans la gorge. Les ecchymoses qui fleurissent ensuite et ta mère qui te bichonne, alors que tu te marres. Mais au fond, t'adore ça. Certains soir, y'a match et là, t'es fier comme un paon. Avec ton maillot et tes épaulettes, le dos droit et ton cri qui résonne sur le terrain. Ta famille, y compris tes grands-parents, ne rate d'ailleurs jamais un seul match. Puis y'a les entrainements, ceux avec et surtout, ceux sans les cheerleaders. Rhi que t'aime mieux aller regarder sautiller dans les airs, quand t'as que ça à faire, Juno pas loin de toi. Ton skate, que tu balances au sol, quand la répétition s'éternise et que Ju ne tiens plus en place, non plus. Puis les filles, que tu ramènes chez elles, celles qui te récompense d'un bisou sur ta joue. C'est doux, c'est tout. Fuckboy ou pas ? Pas avec elles, en tout cas.

Finalement, y'a les fêtes. Pas tous les soirs, c'est pas assez grand pour ça ici. Mais souvent, trop souvent. Y'a l'oxy que tu t'envoies, que tu partages avec Rhi et que t'offres à Ju. L'oxycodone qui apaise tout, qui ralentit tes gestes, là dans ton camion avec Rhiannon contre le torse. Y'a les antidépresseurs pris dans la pharmacie aussi, parfois, quand maman ne regarde pas. Puis y'a les corps, ceux dans lesquels vous vous perdez. Les potes à bousculer, à tabasser quand ils vont trop loin. Rien de grave, parce que vous êtes jeunes et que c'est jamais que pour rire. Les filles à explorer, à embrasser jusqu'à ce qu'elle ne sache plus ton nom, ou toi le leur. Celles que t'entraine dans des chambres appartenant à tu sais pas qui. Qui disent souvent oui, parfois non, même si ça t'arrête jamais vraiment, jamais totalement. Non, c'est un jeu avec toi. Ou pas, parce que celui qui essai ça avec une de tes deux chéries, tu le défonces, y'a pas photo.

Puis y'a le retour à la maison. L'insomnie pour tare, celle qui t'hante le regard. Les yeux toujours un peu rose, pourtant c'est pas faute de te dépenser. La course du matin, la journée qui ne s'achève jamais, la drogue et l'alcool. Les filles, contre qui tu t'écorches, sans jamais trouver le repos. Ton père trouve ça marrant, lui. C'est la jeunesse qu'il dit, tu devrais en profiter qu'il ajoute, un jour t'auras pas suffisamment d'énergie pour tout. Là, t'es jeune et en santé, t'es un gagnant et t'es beau garçon. Rien à foutre que tu découches, ce que le regard de mommy nie. Alors c'est dans ta chambre que tu achèves ta nuit, les yeux rivés sur l'instagram d'un faux daddy et le profil truqué d'un petit con au coeur chamallow. Parfois, tu te dis que ta vie, elle est pourrie. Puis tu sombres vers deux heures et après le jogging, sous la douche, tu te dis que c'est pas si mal. Ton père à raison, t'as tout pour être heureux, alors tu souris et tu salut giagiá de la main.


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