Koichi Noriko [Reservoir Dog]
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Koichi Noriko [Reservoir Dog]
| Nom : Noriko Prénom : Koichi Surnom : Koi Age : 17 ans Date de naissance : 18 septembre Nationalité : Japonaise Statut : Little Fish • Lycéen Like: La musique pop • La vanille • Se lever a 11h • Danser • Cuisiner • Les cupcakes • Le jaune • L'été • Se balader torse nue Unlike: Le silence • Le caramel • Les maths • Recevoir une confession • Le thon • Porter des bottes • Être trop petit • Le violet DEscriptION PHYSIQUE
De taille moyenne, il ne dépasse pas ses camarades de classe et ça lui suffit largement. Parce que si vous rencontriez son père, vous comprendriez que l’adolescent à longtemps eut peur de terminer comme le plus petit de sa classe, ce qu’il était il y a encore trois ans. Les asiatiques sont connus pour être de taille plus modeste et il ne fait pas exception à la règle, eh non. Plutôt menue, voir très mince, il est physiquement loin de ressembler au capitaine de l’équipe de soccer de son école. En fait, il joue surtout au basket et c’est tout ce que son corps peut encaisser sans mal. Pratiquement imberbe, il se fait encore taquiner par ses camarades de classe au sujet de son absence de poil, mais en réalité ses jambes ne sont recouvertes que d’une fine couche très pâle. Son visage a aussi été oublié, quant à son torse, n’en parlons même pas. Heureusement, la mode est au métrosexuel, voilà ce que son paternel lui répète toujours pour l’embêter. Ce qui ne fonctionne jamais vraiment, puisque au final, Koichi se fiche royalement de son apparence. Asiatique, ses traits ne mentent pas sur ses origines et ses yeux bridés sont le point marquant de tout son visage. D’un vert impressionnant, ils sont très foncé par beaux jours et plus clair par jour de pluie. Ils pétillent de vie en permanence, souvent par espièglerie d’ailleurs et sont très expressif. Souvent sa mère lui faisait remarquer qu’on pouvait lire en lui comme dans un livre, juste en regardant ses yeux. Mais pourquoi vert? Les asiatiques ont tous les yeux foncé voyons! Eh bah non, la vie a évolué, le monde aussi et un ancêtre anglais, son arrière-grand-père maternel en fait, lui aurait légué ses yeux. Il faut aussi dire que sa grand-mère paternel avait elle aussi des yeux clair, quant à ses origines, aller savoir. Un petit nez pointue, hérité de celle-ci d’ailleurs, lui donne un petit air délicat, chose qu’il n’aime pas particulièrement. Puis il y a sa bouche, cette bouche décoré d’un grain de beauté, juste en dessous, à droite. Un autre point marquant de son visage tien. Normalement étiré d’un grand sourire, sa bouche à quelque chose d’innocent quand l’adolescent fait la moue. En réalité, c’est surtout sa couleur et sa texture, qui donne cette impression. Rosé, ce qui l’embêtait au début de l’adolescence, elle est recouverte de baume en permanence, une vieille habitude que sa mère lui à donné. Aussi, rien d’étonnant à ce que ses lèvres soient toujours en bon état, d’ailleurs quelques filles à son école s’amuse à lui voler des baiser, histoire de voir si ses lèvres sont aussi douce que les leurs. C’est devenu une espèce de blague avec le temps. DEscriptION PSYCHOLOGIQUE
Gamin, joueur et d’un tempérament joyeux, il arrivera à coup sur à vous amuser. Avec lui, rien n’est jamais perdue, il reste toujours de l’espoir et s’il se motive vraiment, il ne baisse jamais les bras. Attention cela dit, il est très sensible et s’il n’est pas susceptible au point de prendre la mouche facilement, il sait se montrer très rancunier. Encore à l’âge de bouder, il préfère ignorer les problèmes relationnels et s’enfermer dans un mutisme enfantin, quand les choses ne vont pas comme il le désire. En fait, c’est encore un grand enfant, voilà ce que sa sœur vous répondra. Heureusement pour lui, son côté adorable et bon enfant, un peu naïf même, relâche souvent les tensions. Un peu inconscient, il lui arrive de dire des bêtises sans le réaliser mais n’ayant pas peur de rire de lui-même, il rit toujours avec les autres. Facile à vivre, tête en l’air et pourtant exaspérant à souhait quand il s’y met, il est une cause de soucis pour tous ses proches. Non pas qu’il fasse exprès mais son insouciance et son manque d’ambition quant à certaines choses, vue comme essentiel dans notre société, ont de quoi inquiéter amis et parents. Même ses enseignants s’inquiètent pour lui. Autant dire qu’il laisse peu de gens insensible, on s’attache facilement à sa bouille d’ange et il le rend bien. Quant à l’amour, il ne connait pas, enfin si mais niveau parental seulement. À dix-sept ans on considère pourtant qu’il devrait avoir connue quelques relations mais non, pas du tout. Ce n’est pas les occasions qui ont manqué, il n’en a seulement jamais vue l’intérêt ou plutôt, jamais personne ne lui a encore fait ressentir l’envie de s’y intéressé. S’il a déjà été embrassé par quelques filles, quelques garçons aussi, à reçue plusieurs confession, il se refuse à entrer dans une véritable relation. Ce ne serait pas juste selon lui, à croire que malgré son immaturité il à quelque part beaucoup apprit au niveau relationnel, en regardant ses parents. D’ailleurs, le couple que forment ceux-ci, le déprime un peu. Légèrement fleur bleu? Sa sœur dira que oui. Il aimerait simplement que l’amour entre ses parents sois vrai, il rêve encore d’une fin heureuse, toujours rêveur quelque part… HISTOIRE Il n’y a pas grand-chose à raconter sur la vie d’un adolescent de dix-sept ans, voir rien. À cet âge on est encore qu’un petit con, on se cherche, on se trouve parfois et on se rebelle quand les adultes nous demandent d’être plus adulte que le gamin en nous, veut bien l’être. C’est l’âge maudit, la belle époque de notre vie, les meilleures années pour expérimenter et les plus difficiles aux niveaux des émotions. Au final, Koichi pourrait vous raconter un tas de bêtise mais sincèrement, elles ne vaudraient pas grand-chose. Quand il regardera son passé dans deux ans, les hauts et les bas de son adolescence n’auront plus grande importance, ça n’aura finalement été qu’une phase, un moment d’évolution. Mais dieu sait qu’il lui reste du chemin à faire…
Là écoute bien Koichi, je vais encore te le raconter, tu n’a pas intérêt à couper la parole à ton vieux grand-père, sinon je te jure que je te tape la tête avec ma canne. Tes parents ont immigrés en Amérique alors que tu n’étais pas encore né. En fait, tu es le premier Noriko à être né avec la nationalité américaine, pour ce que ça change remarque. Troisième enfant de la famille, le deuxième fils tant attendue, tu es rapidement devenue la cause de tous les soucis. Non seulement tu courais dans tous les sens mais tu passais ton temps à nous ennuyer avec tes questions. Oh, pas la peine de me regarder comme ça la mère, tu sais que j’ai raison! Tu étais vraiment un sale gamin, terriblement exaspérant mais heureusement, dès que tu as eu une petite sœur, tu as su bien te tenir. Ça aurait fait un congé à ta mère. Enfin, logiquement parce que à ce moment là, ta mère n’en pouvait déjà plus de vivre sur un autre continent. Ma fille n’a jamais été très résistante, en fait c’est une geignarde depuis toute petite et dès qu’elle est retombée enceinte, elle a commencée à pleurnicher pour revenir au Japon. À la place de ton père, elle aurait eu beau chialer des mois durant, ça ne m’aurait rien fait! La place d’une femme est aux côtés de son époux mais bien sur, il fallait que ton père sois un sentimentale et quand il en a eut assez d’entendre ta mère, il l’a renvoyée ici. Pourquoi lui racontes-tu son histoire de cette façon hein? Ne l’écoute pas mon petit chou, grand-maman va tout te raconter. Ton grand-père n’est qu’un vieil homme frustré, il n’a plus toute sa tête en plus. Alors, ou en étions-nous. Ah si, ta mère. C’est juste avant la naissance de ta petite sœur que vous êtes revenus au pays. Ta maman était si heureuse, elle rayonnait. Ton papa n’avait pas pu venir, en fait il travaillait très dur, il a toujours été très vaillant, ne l’oublie pas mon petit. Donc, je sais que tu t’en rappel mais c’est peu de temps après votre arrivée, que l’attentat à eu lieu. Je m’en rappelle très bien, tu étais presque un adolescent en fait et la nouvelle vous avais tous choqués. Ta mère a beaucoup pleuré encore une fois… Quand je dis qu’elle est geignarde hein! Allons, laisse-moi finir la vieille! La ville était en flamme et ta mère hurlait, ont a même craint pour la vie de Yuuka mais heureusement, si ta mère est une faiblarde, ta petite sœur est une battante. D’ailleurs, elle n’a jamais pleuré sans raison celle-là, une vrai Akishino! Donc, nous n’avons pas eu de nouvelle de ton père pendant près d’une semaine, je dois avouer que je commençais à m’inquiéter lorsqu’il a enfin appelé. Le plus surprenant c’est qu’un sentimentale comme lui n’est pas périt dans les flammes, ça m’a toujours surpris… Enfin! Il a appelé et c’est avec soulagement que ta mère apprit que vous ne rentriez pas au pays avant encore plusieurs mois, la ville étant invivable. Sauf que ton père, têtue et fortement attaché à cette maudite ville, n’à pas voulue rentré comme il devait et à préféré travailler à reconstruire la ville. Encore une fois, ta mère c’est remise à chialer, à croire qu’elle ne sait faire que ça. Et c’est ainsi que vous êtes tous resté près de deux ans avec nous, au Japon. D’ailleurs, ta petite sœur est née ici. C’était dur de vivre avec un nouveau né, je m’en serais bien passé! Et avec ta mère qui pleurait en l’absence de ton père, une vrai plaie celle-là…
Les années suivantes ne furent pas facile, loin de là. La ville n’avait rien d’accueillant, la nourriture n’avait pas un bon goût et souvent les deux garçons devaient faire sans l’aide de leur père, celui-ci rentrant tard. Heureusement, au bout de plusieurs années, celui-ci fut récompensé. Tout effort fournis mérite une récompense et la sienne vint par un grand complexe d’appartement, dont on lui fit part pour le remercier de son aide à redresser la ville. Fier de lui, il rappela aussitôt sa famille auprès de lui. Sauf que sa femme n’avait aucune intention de rentrer, tout comme la mère de famille était obstinée à ce que sa fille cadette ne grandisse pas dans cette terre cruelle. La nouvelle tomba comme un coup de poignard dans le cœur de du chef de famille. Mais si son épouse refusait de venir vivre dans le fruit de ses efforts, ce fut la sœur aînée, qui soulagea tout le monde en revenant. En fait, Shiori n’avait jamais vue son départ en Amérique comme définitif et elle rêvait déjà de la vie occidental. Bien sûr, ce fut encore un grand moment de douleur pour la mère japonaise mais une fois sa fille installée chez lui, le maître de la maison parut soulagé. Soupirant alors qu’il redressait les yeux pour croiser le regard de l’adulte, Koichi esquissa un petit sourire. En fait, il aurait été bien plus soulagé si sa chère sœur avait été capable de faire la cuisine ou encore, quelque chose de plus que de simplement laver les vêtements. Parce qu’il faut bien le dire, ça n’a rien de sorcier. Le cadet, fut donc envoyé dans la cuisine, ayant l’horaire la moins chargée de la famille et fut mis en charge des repas. Une sale idée, bien entendue! Mais sans autre choix, il avait finit par apprendre. Koichi, le cuistot de la famille, quelle idée mais c’était devenue plus qu’une blague et on ne lui reprochait plus rien quant à ses créations. Souvent son père le félicitait même, soulignant qu’il faisait aussi bien la cuisine que les filles de nos jours. Mieux que sa sœur du moins. Reposant les yeux sur sa feuille, l’étudiant plissa un peu les yeux. Il n’y a rien à raconter sur ma vie, je ne suis encore qu’un petit con.
FAMILLE Naoto Noriko • Père Un homme sérieux et travaillant, il n’aime pas perdre son temps. Il est souvent un peu dur avec ses enfants mais considère que c’est pour leur bien. D’ailleurs, il les aime plus que tout au monde. Il est encore très attaché à son épouse et l’accueil toujours avec joie lors de ses courts séjours au pays. Riko Akishino • Mère Elle est mère d’abord et avant tout, ensuite seulement se voit-elle comme une femme. Ses enfants sont sa fierté et elle est d’une douceur que tout le monde envie. Généreuse de son temps et de sa personne, elle adore aider les autres et vis son départ de sa famille, comme un échec. Takahiro Noriko • Frère aîné C’est le fils model par excellence. Il n’a jamais causé d’ennui à ses parents, est d’une politesse incroyable et plein d’ambition. Il termine justement ses études en médecine, en tant qu’interne dans l’hôpital de la ville. Pas nécessairement très populaire auprès de la gente féminine, son avenir convaincra surement les plus réticentes à poser leurs yeux sur lui. Shiori Noriko • Sœur aîné Terriblement belle et tout autant cruelle, c’est une croqueuse de diamant. Elle ne vit que pour le luxe et accumule les petits amis sans regret. Avec elle, c’est les grandes marques ou rien. On la considère souvent comme une femme froide et blasée mais au final, elle cherche simplement à évité un avenir dans la pauvreté. Yuuka Noriko • Sœur cadette L’artiste de la famille. Malgré son jeune âge, elle est reconnue pour son grand talent dans tout ce qui touche les arts, la peinture surtout. C’est la surdouée de la famille. Adorable et calme, c’est une enfant facile et la fierté de sa mère. Elle ne connait pas vraiment ses frères et sa sœur mais élevé seule, elle n’a jamais sentie de carence. |
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