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Wyborne Heardark [SpookShow]

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Wyborne Heardark [SpookShow] Empty Wyborne Heardark [SpookShow]

Message  Stephy Jeu 25 Nov - 8:48

Wyborne Heardark [SpookShow] I4h5kg

Insanity runs in the family
Please come for tea, just ask for me
Please come to tea, sit next to me
I'm the MADHATTER
.. All I want is a cup of tea ..

JB distribués Lundi

I am who I am
Wyborne Heardark [SpookShow] 2whi9na Identité : Wyborne Heardark
Surnom : Wyby, Wywy, Hatter, Chapelier fou
Âge : 36 ans

Métier : Homme à tout faire - Hell Cat
Lieu de prédilection : Près d'une tasse de thé.
[ Hellcat ; 108 Record ; IIId Empire ]
Wyborne Heardark [SpookShow] 50p3di



Twinkle, twinkle, little bat
How I wonder what you’re at !



Le temps, voilà Le problème majeur en ce bas monde et ce, depuis le début! Il rythme nos vies, n’en fait qu’à sa tête et impose sa bonne volonté sur nous, alors qu’il n’est pas même compréhensif ou amicale! Le temps mérite d’être tué et ne de jamais se redresser, ça oui! Alors qu’on ne me dise pas qu’on à pas le ‘temps’ de faire quelque chose ou qu’il est ‘temps’ d’en faire un autre. Parce qu’il n’y a rien de pire que de voir des êtres dotés d’intelligence, la perdre sur quelque chose d’aussi capricieux que le temps.
Le temps. Voilà ce qui a rendue ce pauvre Wyborne fou, enfin c’est ce qu’on raconte et vous savez qu’il ne faut jamais croire complètement les ragots. -Mais dans son cas, c’est plus que probable.- Légèrement gâteux malgré son âge, pas si élevé que ça tout de même, ce cher chapelier, comme on aime encore l’appeler de nos jours, à tendance à devenir plutôt agressif lorsque l’on parle de temps. Que ce sois pour lui montrer votre nouvelle montre, lui rappeler que son chiffre termine dans dix minutes ou simplement en disant à votre copine que vous n’avez pas de temps à perdre avec ses histoires, il y a de fort risque qu’il débarque et vous sermonne. Et là, il devient pénible -voir plus si affinité-. Parce que le temps est le problème, une véritable plaie et aller savoir pourquoi, il est convaincue qu’il est vivant. Non pas qu’il soit capable de marcher ou de discuter avec vous, non bien sur que non, il n’est pas si fou que cela -ou peut-être que si- mais parce que le temps se moque de nous. Selon lui, il est capable de penser lui aussi et notre façon de suivre ses caprices, car c’est bien de cela qu’il s’agit, nous rend inférieur à lui. En somme, le temps est un peu une sorte de dieu, dieu qu’il déteste d’ailleurs et tente toujours de battre.

Il n’est donc pas rare de voir Wyborne se presser pour battre des records de temps, tout comme il est normal de le voir grommeler tout seul dans son coin en fixant sa montre gousset ou encore, de jubiler ou ricaner. Il parait d’ailleurs que le temps est étrange sur cette montre la, un cadeau de la duchesse vous voyez. Il avance, recule, se fige et tout ça, tout seul comme un grand. Mais si on laisse ce côté assez étrange de sa personne, l’homme à tout faire du Hellcat est un homme charmant. Très à cheval sur l’étiquette, malgré son apparence négligé, il n’aime pas qu’on soit grossier en sa présence. Aussi, il salue les dames bien bas, ne mange jamais avec un chapeau et frappe quiconque osera porter ses coudes sur la table. De la tenue voyons! On ne lui coupe donc jamais la parole, sous peine de subir un long sermon sur le manque de politesse et celui-là, il ne vaut mieux pas l’interrompre. Sinon, là il en vient simplement au poing. Heureusement, une fois au sol, il sait que son vis-à-vis est prêt à l’écouter et reprendra donc son discours. C’est qu’il n’abuse jamais des bonnes choses ce cher Wyborne.

Parlons d’abus justement et dans le domaine, Wyby n’en connait qu’un. Le thé. Ça semble très innocent et de nos jours, il n’y a que les vieux pour en boire. Oui mais non. Lui, il carbure à ça, il ne boit que ça et il ne connait pas de meilleure odeur que celle du thé. Peu importe la saveur, l’odeur, la texture ou la température de l’eau, il adore ça. Il aime ça, littéralement. Il trouve toujours le temps de faire une pause, c’est toujours l’heure du thé après tout, il suffit de se fier au décalage horaire. Si ce n’est pas l’heure du thé ici, il est toujours possible qu’il le soit ailleurs et il n’a pas son pareille pour vous l’expliquer. Il traîne d’ailleurs un thermos sur lui, toujours remplis de thé, quoi d’autre hein. Froid, chaud ou tiède, ce n’est pas important, tant qu’il peut en boire en tout temps. Cela dit, parce qu’il devait y avoir un mais, celui-là, il ne le partage pas. On raconte qu’il met dans son thé des choses étranges, certain parle de substance illicite mais d’autre parle plutôt d’organe, ce qui est bien pire. Lui, il ne vous dira rien et se contentera de rire, bien entendue. Tout ce que l’on sait, c’est qu’il carbure à ça.

Sociable, bien qu’il traîne un air agacé ou grognon en permanence, il aime sourire et rire. Donc, il aime approcher les gens et pas seulement pour leur reprocher leur mauvaise conduite ou posture, mais aussi pour discuter. Il a un gout prononcé pour les jeunes femmes dans la vingtaine et se fait toujours un plaisir de les draguer. D’ailleurs, c’est quand il se met à ce hobbies qu’il perd son côté ‘gentleman’, qu’il endosse pourtant le reste du temps. Avec elles, il arrive parfois à être odieux, voir monstrueux et ce, sans aucun regret. Mais il y a des femmes à qui sa plait et il arrive encore - de temps à autre- à chauffer sa couche en agréable compagnie. Et puis, il a déjà été une vedette après tout et il sait quoi dire quand les choses tournent mal. C’est qu’il est habile le chapelier, il ne faut pas en douter! Et puis au final, il n’a rien à faire des demoiselles, puisqu’il se contente de chercher quelque chose qu’il a connu et qu’il a toujours détesté. Une espèce de thérapie, enfin c’est ainsi qu’il voit le processus du moins, et une vengeance sur un être exécrable qui n’est plus. En réalité, son cœur est scellé et il vous dira qu’il en a perdue la clé, bien qu’il sache précisément ou elle se trouve mais ça, c’est un secret voyons.

La gêne ou la discrétion lui sont inconnus et un brin égocentrique, il aime qu’on le remarque. Il croit d’ailleurs -à tort- que son statut d’ancienne vedette, fait de lui quelqu’un de connu, très connu même. Il ne faut d’ailleurs jamais remettre son importance en question, il en serait profondément vexé. Et là, il en vient aux poings mais vous le saviez déjà, parce que c’est un énorme manque de respect! Et puis au final, son haute estime de soi et son charisme en font quelqu’un de plutôt sympathique, quoi que rapidement agaçant, puisqu’il est centré sur lui-même. Ou sur ce cher Max, de qui il ne faut jamais parler en mal d’ailleurs. C’est un sujet très sensible pour Wyborne et s’il ne se trouble pas sans raison, lorsqu’on lui parle du lièvre de mars, il change complètement. Il peut vous parler de n’importe quoi sans perdre son sourire ou encore, ne pas sourire une seconde même en vous racontant une blague mais dès qu’on parle de Max, son expression change complètement. Il cherche toujours la raison de leur séparation, il ne comprend ses raisons à lui. Il est perturbé. Son si cher il, qui l’a abandonné, qui ne retourne plus ses appels, qui l’ignore et au final, lui a piétiné le cœur. Il ne lui en veut pourtant pas, non, il ne ressent rien de négatif vis-à-vis de ce bon lièvre. Si seulement il n’était pas aussi orgueilleux, ce pauvre Wyborne pourrait peut-être tenter de s’excuser mais ce n’est pas dans ses habitudes et s’il tuerait pour faire plaisir à Max, lui arracher un seul sourire, il n’est pas prêt de dire les mots magiques. Et puis s’excuser pour quoi? Il n’a rien fait!

Naïf à quelque part, il ne comprend pas toujours ce qu’il fait de travers et ne le comprendra que lorsqu’il le réalisera. De lui-même donc. Sinon, aucune chance qu’il puisse comprendre et faire mieux ou racheter son erreur. Il est aussi têtue qu’une mule aussi, mais ça c’est parce qu’il se doit de l’être, avec le temps qui continue de tenter de le battre vous voyez. Il ne démord pas facilement et il faut bien souvent le mordre aussi pour qu’il lâche le morceau. Et encore, ce n’est pas gagné. Avec lui, les services ne viennent pas gratuitement et si jamais Wyborne vous aide, vous pouvez être certain que c’est dans son propre intérêt. Centré sur lui-même? Si peu. Et puis même s’il a ce petit côté mesquin mal dissimulé derrière son sourire un peu inquiétant mais terriblement charmant, on lui pardonne normalement. Il y a plus fou que lui ici après tout et de toute manière, il lui arrive –rarement- d’être vraiment utile.




Up above the world you fly
Like a tea-tray in the sky !



Wyborne Heardark [SpookShow] 5ead7a
Sans être d’une grande beauté, Wyborne a en effet, un certain charme. L’âge semble lui réussir, fort heureusement pour lui, qui aurait probablement mal accepté de vieillir comme un thon, disons le. Après, il n’est pas nécessairement un géant mais son mètre quatre-vingt-trois, n’a rien de reprochable. Et puis il se maintient le monsieur, pas le temps de se laisser aller voyez-vous. Alors en dehors de ses cheveux noir, qu’il aime bien porter semi-court, les ramenant vers l’arrière tout en relevant l’extrémité et son bouc stylisé, son torse n’a rien à envier à celui des petits jeunes. Bien ciselé, il est clair que l’homme prend du temps pour se garder en forme. Un peu coquet Wyborne? Il faut bien, après tout il est une légende vivante!

Il parait qu’avant, quand il souriait, toutes les filles se pâmaient. Il avait quelque chose de dangereux et d’à la fois pure, comme un enfant. Inquiétant en somme. Mais c’est du passé et depuis bien des années, il préfère offrir cet air peu amène en permanence. Ne vous laissez pourtant pas intimider par son air agacé/bourru, il vous fera tout de même la conversation hein. Oh, il lui arrive de sourire mais c’est quelque chose de plus inquiétant quand ça se produit, comme s’il savait quelque chose que vous devriez savoir, ça ne présage rien de bon selon certain. Après, si jamais vous le rencontrer torse nue, ce qui a bien des risques d’arriver, vue le nombre de fois ou il n’enfile qu’un pantalon pour travailler, vous remarquerez ses nombreuses cicatrices. Elle lui laboure le dos, dessines des traits net et précis sur ses bras et parcours aussi son torse. D’où viennent-elles? Mystère complet mais ceux qui ont connus l'époque des Mad Tea Evening, savent de quoi il retourne. À cette époque, une entaille vous ouvraient les portes du paradis et on vous offrais un verre sans plus de cérémonie. Hors, vous connaissez son goût pour le thé... Mais shhh.

Et sinon, que porte notre cher Wyborne? En fait, on le connaissait plutôt coquet autrefois. Alors là, pantalon sombre, chemise et manteau long, son chapeau haut de forme lui donnait un air d’aristocrate mais il l’a abandonné depuis bien longtemps. Pourquoi? Il l’aurait vendue à ce qu’il parait, quelque chose de naturel à ses yeux, parce que le chapeau ne lui aurait pas appartenu. Mais depuis sa déchéance, parce que c’est de ça qu’il est question selon la populace, depuis qu’il a perdu Marshare -oh cruel destin-, il se laisse un peu aller. Les pantalons sombre et impeccable sont toujours de mise mais les jours ou il n’enfile rien pour le haut, sont tout aussi nombreux. Il a toujours son manteau noir long, il aime bien le porter sur ses épaules uniquement mais vous ne le verrez que rarement bien mis. Maintenant les chandails ont pris la place des chemises et Wyborne fait beaucoup moins attention à ce qu’il porte. C’est l’âge, c’est la paresse, c’est le manque de temps, parce que celui-là, il ne va pas s'imposer!




Murdering the time

    Il faisait chaud, très chaud et ça, c’était plutôt agaçant en soi. Le commun des mortels n’avaient aucune espèce d’envie de sortir dehors et franchement, c’était compréhensible. La seule destination qui faisait du sens par une canicule pareille, c’était la piscine. Bien entendue, ce n’était pas là que lui se dirigeait. Mais lui, il n’allait jamais dans le même sens que les autres, enfin pas souvent plutôt, parce que ça lui arrivait de temps à autre de faire la file hein. Il n’était pas excentrique au point de souhaiter être dans la marge à ce point, franchement. Vêtue de l’un de ses éternels pantalons noirs, son manteau long légendaire sur les épaules, il n’avait rien enfilé dessous et on le comprenait. D’ailleurs, au rythme de ses pas, les regards se tournaient vers lui. On le jugeait, sois parce qu’il était courageux de porter autant de vêtement avec ce temps, sois parce qu’il devait être fou. Disons que le grain dans sa tête à lui, il devait plutôt tenir de la boule de quille oui et ça, tous étaient d’accord pour se l’affirmer en ce moment. On le reconnaissait ici, là on se demandait comment on ne pouvait pas le connaître et lui, il avançait, ignorant tout de cette attention. Ça ne l’intéressait pas et puis son sens de l’observation à lui, il n’allait pas bien du tout. Pour ne pas dire qu’il n’existait pas.

    Bientôt il arriva à son point d’arrivé et là, il se permit un petit sourire alors qu’il redressait la tête. Sa quête tirait à sa fin, enfin! L’air content, bien qu’il soit en train de se déshydrater sérieusement en ce moment, il passa le seuil, la clochette tintant alors qu’une jeune femme se tournait vers lui. Jolie, pas époustouflante mais pas mal du tout. Son sourire baissa d’un cran mais il n’osa pas l’effacer. Un coup d’œil sur la plaquette attaché à son haut sans manche, parce qu’elle avait aussi chaud la pauvre, et il redressait le visage, un air plus amical au visage. Bon, pas encore quelque chose de très rassurant mais c’était le mieux qu’il puisse offrir par une chaleur pareille.

    « Bonjour… Cherry! Bel après midi n’est-ce pas? Un peu chaud mais que pouvons nous y faire. J’aimerais beaucoup rencontrer le patron. Oh! Pas la peine de vous déranger, nous sommes de vieux amis, nous n’avions simplement pas le… temps de nous voir depuis quelques années. Je me suis enfin trouvé un peu de temps libre, c’était terriblement difficile en fait.

    Le mot temps avait eu du mal à sortir, il avait même grimacé. Quel mot détestable, puisqu’il désignait un être tout aussi exécrable. Sauf que la pauvre jeune femme ne pouvait pas en placer une et qu’il n’y avait que Wyborne, qui puisse parler. Soupirant, véritablement accablé par sa situation, sois d’être dans l’incapacité de voir son si bon Max, il secoua doucement la tête. Le problème de la jeune fille prenait de plus en plus d’ampleur, l’homme étant en train de la convaincre qu’il avait raison mais qui ne l’aurait pas fait. Il parlait avec tellement de franchise et puis il y avait une pureté derrière ses paroles, quelque chose de véritable, on ne pouvait pas lui lancer qu’il mentait, qu’il jouait avec les autres. On ne pouvait que confirmer ce qu’il disait, n’est-ce pas? Oui, la plupart des gens étaient comme ça. Là il soupira et se tourna de nouveau vers la jolie cerise qui le regardait avec sympathie, plus tellement incertaine de son honnêteté. Il était vraiment un ami du patron, non? Ça en avait tout l’air.

    « Vous comprenez bien entendue. Aussi, j’aimerais pouvoir aller le saluer. Je sais qu’il ne reçoit personne sans accord mais franchement, pour un ami aussi bon que moi-même je l’ai été, pour lui. Je suis certain que vous serez de mon avis. Une petite surprise ne lui fera pas de mal, en fait, je pense même que ma présence lui ferait grand bien! On sous-estime trop souvent la force de l’amitié!

    Et il pensait vraiment tout ce qu’il disait, tellement que ça en était effrayant pour les autres employés. Mais de là à risquer sa place, de se faire engueuler par le patron? Non, sûrement pas. Sauf que le dit chapelier fou, se fichait aussi de ce fait et qu’il glissait déjà à l’arrière de la boutique, cherchant la porte qui le mènerait auprès de ce cher lièvre. Cherry tenta bien de freiner son cheminement mais honnêtement, vous aviez vraiment cru possible de retenir Wyborne plus de deux minutes? Et encore, il était généreux cet après midi -la chaleur que voulez-vous-. Passant la porte du staff arrière, il sourit à la jeune femme et posa un doigt devant ses lèvres.

    « Ce sera notre petit secret, Cherry ~

    Oui mais non, elle ne voulait pas. Trop tard mon cœur, la porte c’est refermé, je n’entends plus rien. Et il fouillait l’une des grandes poches de son manteau, en ressortant un thermos. Son thé personnel. Une petite gorgée du liquide brûlant et il rangeait le tout à nouveau, détendue et sur de lui. Il se mit à chantonner alors que ses pieds s’arrêtaient devant une autre petite porte. Il y avait combien de pièce ici hein?

    « Kiss me darling, kiss me - kiss me to - night.
    Kiss me darling kiss and you'll - be - al - right.
    Kiss me darling kiss, your kiss is so won - der - ful.


    Il avait fait appel à ce fameux casse-noisette pour lui retrouver le lièvre. Ça avait payé au moins, lui aussi avait payé mais c’était un détail, pour une fois que ce n’était pas des conneries. Parce que venant du casse-noisette, on était jamais tellement sur. Sois on se faisait les dents sur le bon truc, sois on se les cassait sur de belle connerie, oui. Toquant à la porte trois coups, il se racla la gorge. Pas la peine d’être nerveux, le temps non plus, avec lui il c’était brouillé de toute manière. Sifflotant, il attendit que des pas s’approchent de la porte, chose qui ne vint pas. Non finalement, ce fut le bruit étouffé d’une vois derrière lui, qui attira son attention. Se tournant lentement, il se remit à sourire en reconnaissant la voix de la petite cerise de plus tôt. Déjà, il pressait le pas afin de rejoindre son si cher Max, car il était certain que c’était à lui que la jeune femme s’expliquait. Comment aurait-elle pu faire autrement d’ailleurs. Il c’était imposé, pauvre pauvre cerise mais en avait-il seulement le choix. Ce n’était pas la première fois qu’il essayait mais la dernière datait quand même de deux ans, les affaires l’avait tenue bien occupé il fallait croire. Depuis, la boutique avait changé de staff et puis d’emplacement aussi. Mais tout ça, ce n’était plus important, plus du tout, parce qu’il passait déjà la porte qu’il avait emprunté et souriait à ce cher lièvre. Il semblait à la fois effrayé, ennuyé et agacé de le voir non?

    Son visage à lui, parlait de lui-même ; je suis de retour Max, Ah Max! Mais n’avait-il pas l’air de vouloir fuir son petit lapin? Est-ce que son cher acolyte de toujours tenterait de le semer? Battre en retraite? Non, jamais voyons! Mais bien sur que si, il avait comprit! C’est qu’il voulait jouer! Réjouis par sa si délicate attention, il réussit, par un miracle inconnue de tous, à se rapprocher dangereusement de lui, s’interposant entre Cherry et Max.

    « Mon merveilleux Max!




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Dernière édition par Stephy le Jeu 25 Nov - 9:08, édité 2 fois
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