max -- i want, i want, i want [BITW]

Stephy Mar 1 Juin - 19:35

i demand unconditional love and complete freedom.
that is why i am terrible.

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IDENTITE ☽ Maximilian ou le pire cliché au monde. Parait que Max, c'était trop simple, trop commun. Idem pour Maxime, tien. Ça n'annonçait pas aussi clairement les revenus de papa, le parvenu, le réussis - pas comme Max, en somme. Fausse publicité en puissance et pas de remboursement à la clé, c'est con la vie. Reste plus qu'à supporter. Duggan à la gloire de son père, le rien qui devient tout. Le nom qui ouvre les portes et ferme les yeux. Le nom qui fait chier, quand même à côté, trop d'attentes dans son sillon. Parait qu'un Duggan ça marche droit. Parait que Max, le sait pas. AGE ☽ 31 ans même si mentalement, on lui en donne plutôt dans les 17, 19 si on est généreux. Éternellement adolescent, on pourrait jurer que Max vient d'obtenir son permis, tant il roule vite. On pourrait se persuader qu'il vient d'avoir la majorité, tellement il boit. Encore heureux qu'il ne mêle que rarement les deux activités. ORIGINES/LIEU DE NAISSANCE ☽ Américain et fier produit local, y'a le sourire brillant mais désabusé. La grandeur qu'on croit apercevoir, avant de réaliser que c'est jamais que des conneries. Pour Détroit, comme pour lui, pas assez brillant, pas réellement bon, les entrailles un peu pourries. Max il ressemble davantage à sa ville qu'à ses origines. Y'a la pigmentation de sa crinière, celle qui s'enflamme un peu au soleil, qui fait croire à de vague ancêtre irlandais. Peut-être, mouais. Mais y'a surtout le sang de maman, britannique naturalisée américaine. Par amour, par loyauté - des mots un peu flou pour l'ainé Duggan. STATUT CIVIL ☽ Célibataire, mais jamais véritablement seul, faut pas déconner. Le sourire et la cuisse trop facile, il enchaine les histoires avec sa queue mais pas sa tête. Peter Pan des sentiments, il préfère voler vers d'autres cieux quand il est temps d'éteindre. Parce que dire je t'aime est un risque qui va au delà de sa formation policière et que Max, il est un professionnel - rien à foutre que les deux infos n'aient aucun rapport ensemble, il est flic. Il sait de quoi il parle, quand il cause sécurité ! Et faut dire que lui, son arme est toujours chargée ! Ah ha, ou pas. OCCUPATION ☽ Officier de police, dans la brigade des mineurs et crime sexuel. Un peu ironique quand on sait que monsieur se considère comme la description même d'un 'crime sexuel' contre l'humanité - ouais mais non. Il s'y trouve depuis bientôt 6 ans. À combattre le crime, à protéger la pute et le gamin, à allumer les gyrophare dès qu'il a un peu le cafard - ou emballer la dite pute, voir faire sourire le fameux gamin. Bref, il ne s'emmerde pas, mais il manque clairement de sérieux et qu'il préfère l'uniforme à son devoir. ORIENTATION SEXUELLE ☽ Hétérosexuel ou la réponse automatique, celle sans complication. Les seins pour addiction, les hanches comme une invitation et les fesses pour véritable passion. Pourtant, pour peu qu'on le tente dans le noir, il ne fait pas de cas de ce qui se dresse entre les jambes. Une vérité qu'il préfère toutefois ignoré, qui cesse d'exister dès que la lumière est rallumée. Même pas peur qu'il dit, les mains tremblantes et le regard fuyant. Parce qu'au fond, tant que ça le fait monter, tant que ça le fait grogner, le reste il s'en fou. TRAITS DE CARACTERE ☽ Opportuniste, Charmeur, Égocentrique, Sympathique, Sens moral défaillant, Généreux, Immature, Bon joueur, Effronté, Affectueux, Traitre, Chaleureux, Serviable, Indiscret, Fidèle en amitié, Salopard en amour. GROUPE ☽ clouds. AVATAR ☽ will higginson. CREDITS ☽ weheartit en icons, citation par Tomaz Salamun.

☆ A ROAD FULL OF BLOOD
ASTRO -- Lion, le beau, le fier - toujours heureux de se pavaner et de remettre de l'ordre dans sa crinière ou le bout de sa queue. Max c'est le type qui s'intègre facilement partout, qui sait en imposer. Le spotlight lui va si bien, après tout. Orgueilleux, fier, mais pas nécessairement jaloux - non, il préfère envier ou se trouver des excuses. La faute à son besoin d'attention, la sienne se voulant défaillante. Besoin permanent d'affection, d'être le meilleur, le préféré. De sa fratrie, de ses amis, des voisins même. Rien à foutre, tant qu'il gagne ! Après, il encourage fortement tout le monde à lui pardonner son arrogance et ses excès de colère. Il ne pouvait pas être parfait quand même ! Ah et la reconnaissance, c'est pas que pour les nonnes hein. SIGNE(S) PARTICULIER(S) -- Des cheveux pratiquement parfait, qui bouclent même légèrement. Le reste n'a, selon lui, guère d'intérêt. MUSIC -- (le titre qui correspond à ton personnage) écrire ici. QUE REPRESENTE DETROIT A SES YEUX -- La maitresse de papa, à la fois MILF et marâtre à craindre. Il ne peut pas s'en passer, ne souhaite pas s'en détacher, mais parfois Detroit lui pèse. Ce qui ne l'empêche pas de vouloir se la faire... bref. SA PLUS GRANDE PEUR -- Perdre. La famille, à défaut du respect - déjà plutôt chancelant - de papa ou de la tombe de maman. Son badge, parce que même s'il vit une histoire intense et un peu douteuse avec la voiture de patrouille 8, il y tient à ce job. La main, soit son aisance à être à la fois charmant et horriblement chiant.

pseudo/prénom; phan / steph. âge/ville; still 33 / canada. type de personnage; inventé. fréquence de connexion; je passe quasi tous les jours ? max -- i want, i want, i want [BITW] 2141009456

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avis/autres; je tiens à dire bravo et merci, pour cet endroit génial et une communauté délicieusement sympathique qui a transformé mon 'les forums, c'est fini !' à 'omg me faut un DC' max -- i want, i want, i want [BITW] 1712233916

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Stephy Mar 1 Juin - 19:36

[ THE VICTOR SPOILS, THE LOSER LEARNS ]

#1 T'es le fils ainé, le tout premier né et t'as jamais laissé personne l'oublier. Tu prends trop de place, trop de temps, trop de leur amour. Chez les Duggan on évite même d'en parler - parce que ce n'est pas politiquement correct voyez-vous - mais tu es assurément le préféré. La faute à ton sourire et tes compliments, distribués sans vergogne à tous ceux osant t'approcher. Bref, à la faciliter qu'on à de t'aimer. Tu fais même des efforts pour être un frère ainé potable, celui qui est cool, le flic sans prise de tête, celui qui efface le ticket, celui qui menace l'ex petit copain. Maximilian qui se contente d'être, tout solaire que tu es. L'ainé qui mène la danse, le premier à passer, celui qui ouvre la voie - et qu'importe si ce n'est pas la bonne, tant que le paysage est joli, tant que tu es un narrateur exquis.

#2 Si ton père c'est bâtit, petit à petit, à partir de rien, quand toi t'es apparu, vous étiez déjà au sommet. De fait, t'as jamais rien connu d'autre que la grandeur. Le vertige qui palpite dans ton ventre depuis que t'es tout gamin. La peur constante de tomber en bas, jusqu'à ce que tu comprennes que papa à mis des filets partout. Suffit de savoir rebondir. Suffit de se faire acrobate. Le poids du monde, la perfection exigée, comme un manteau à retirer ici et là. Pour le plaisir. Pour reprendre ton souffle. Pour ne pas t'envoyer assez de médoc pour finir à l'hôpital - parce que l'unique fois où c'est arrivé, t'avais jamais que 18 ans et tu continues de clamer que c'était un accident. Parfois tu regrettes d'en avoir vomis la moitié - non pas que t'es fait exprès, ton corps pour traitre ultime.

#3 T'as jamais rien mérité de tout ce que tu as toujours possédé, pas avant il y a quelques années, quand tu t'es mis à voler de tes propres ailes. Pourtant, t'as jamais hésité à te vanter, à profiter. La maison dans les beaux quartiers, les vêtements griffés, le sourire aussi arrogant que tes pickup lines. Y'a toujours eu trop d'aisance dans ton existence, les belles choses qui te tombent dans les bras, que tu t'appropries par défaut. C'est terrible d'être si chanceux, d'être si bien nanti. Si seulement tu pouvais avoir honte, hein. Non, toi tu profites et parfois, quand ça te niche plus profondément dans leurs bons sentiments, tu dis merci. Homme enfant qui prend et prend encore, qui ne rend que s'il le faut vraiment - pas si mal élevé que ça, quand même.

#4 La loi et l'ordre, c'était pas vraiment une vocation. Même qu'on espérait te voir prendre la relève de papa, le droit pour guider tes pas. Sauf que toi, marcher droit, c'est pas trop ta force. Trop marrant, trop attachant, trop opportuniste. On te pardonne tes écarts de conduite, mais on allait pas non plus te laisser devenir rien ou personne. Te fallait un minimum d'importance, question d'égo, question de logique. Ton nom pour t'attirer vers ce qui brille plus fort, qui suce jusqu'à la moelle. Alors t'as fais l'école de police, pour le défi de la chose, mais aussi parce que t'avais toujours apprécié les visites au stand de tir. Ça n'a rien à voir avec ta violence, même si t'as eu des écarts - ceux qu'on à balayé sous le tapis quand t'avais 16 ans, parce que maman à supplié papa. Tu le revois encore, le gamin effondré au sol, du sang fleurissant sous son nez, les yeux écarquillés et la peur qui t'a brièvement nourris. Celle que tu caresses parfois du bout des doigts, le pouvoir qui n'a rien à voir avec les billets ou le claquement de ton nom. Que tes poings pour te propulser plus loin.

#5 Parfois, tu ressens la propreté de ton identité, comme une faute. Comme un terrible mensonge et alors, tu tombes dans la boisson. Dans l'oublie amer, celui qui s'enroule autour de ta jolie tête - à moitié vide oui - jusqu'à ce qu'elle fasse mal au petit matin. Karma is a bitch qu'ils disent, la tienne de bitch à la forme d'une gueule de bois monumental le dimanche matin, alors que tu accompagnes le reste de la famille à l'église. Que tu écoutes ton père râler sur l'absence d'un membre de ta fratrie - mais jamais toi, parce que tu fais pénitence. Tu chantes même avec le chœur, ferme les yeux et parviens presque à te convaincre que t'es le fils qu'il imagine. Max, grand défenseur de la veuve et de l'orphelin, protecteur de Detroit l'oubliée, la malmenée. Sauf que tu ne vaux pas mieux que ses batteurs de femme que tu traines au poste, pas mieux que les violeurs que tu tabasses - un peu trop, jusqu'à ce qu'on gueule ton nom et te repousse dans un coin - que tu coffres. Parce que Detroit, t'en as fais ta pétasse et tu ne la traites pas bien. Et une fois dans le confessionnal, t'évites de parler des enveloppes de billet glissées dans la poche de ta veste ou de tes rencontres 'hasardeuses' avec des proxénètes, à travers le dédale de la ville. Ceux que tu ne remarques pas, ceux que tu protèges en tournant la tête, en pointant du doigt ailleurs - ceux qui parfois, ne paient plus. Ceux dont la parole n'à pas de valeur, quand bien même il voudrait la ramener contre toi. Parfois tu regrettes d'être l'opposé de ton père, puis tu te rappelles qu'en naissant au sommet, ne restait alors plus qu'à chuter vers le bas. Rien de plus naturel que de t'offrir des matelas où atterrir, des filets où te balancer.

#6 Certaines nuits, tu te réveilles encore avec l'odeur chimique de l'hôpital dans le nez. Y'a tes mains qui la cherche, la tendre maman, celle qui c'est éteint trop vite. Depuis dix ans, tu fleuris sa tombe, mais pas assez souvent. Sa perte, qui te troue encore la poitrine. Maman de qui tu ne parles jamais, point sensible que tu refuses de traiter, la thérapie comme une infidélité. Ça ne doit pas cesser de faire mal. La douleur de sa perte, te servant de rappel. Que rien n'est éternel. Que rien ne peut plus t'atteindre, pas autant, pas aussi soudainement. Parce que tu es celui ayant hanté le plus sa chambre, alors qu'elle s'éteignait. Parce que jamais personne ne t'aimera avec la même dévotion ou une cécité complète face à tes défauts.

#7 Six ans déjà, qu'il porte le badge contre la poitrine et l'arme contre la hanche. Parce que t'as d'abord essayé le droit, juste après une année sabbatique à voyager. Puis que tu t'es perdu une autre année, trop occupé à jouer au football américain, avant de tout lâcher, parce que maman était très occupée à t'abandonner - à crever, oui. Puis t'as repris les cours, cherché du sens à tout ça, à toutes ces heures gaspillés à parler littérature, langue et philosophie. À t'égarer dans les sororités, boucle d'or sans la jupe, essayant tous les lits, sans jamais en trouvé un à sa taille. Le droit comme une langue morte, celle ne faisant aucun sens pour toi. Puis y'a eu le pari avec un pote, au détour d'un pichet de bière, le bras contre la taille d'une inconnue. L'académie de police pour défi, un fou rire sur les lèvres - personne ne pensait que tu tiendrais, pas même toi. Sauf que non, t'y as trouvé l'encadrement nécessaire, ça et une paire de main dans l'obscurité - mais ça, t'en parle pas. Pas plus que de Luke, 15 ans et aussi nerveux que toi, dans le sous sol de ses parents, à genoux devant toi. À te jurer que c'était pas gay, que suffisait de fermer les yeux - why not. Depuis, y'a plus rien de tendancieux, sauf ton uniforme, celui qui attire le regard et ton sourire qui s'assure qu'il y reste. Ta binôme, Suzie à aguicher, Suzie avec qui tu flirt trop. Ta mentor et ta partenaire, la milf que tu vas finir par ruiner, sa famille pour dommage collatéral - c'est pour eux, les gamins que t'aiment bien, la fille ainée que tu t'es même tapé, que tu te retiens. Mais ça ne tiendra pas, tu te connais - mieux, elle en a bien trop envie.

#8 T'as une malédiction en ce qui concerne la colocation, soit t'es allergique au chien du gars, soit la fille médite avec un encens qui te file la nausée. Quand c'est pas que le couple est trop bruyant au moment du couché. Tu pourrais avoir ton propre appartement, mais t'es trop social pour ça. Tu ne sais pas dormir dans le silence - ce qui ne veut pas dire que tu t'endors à coup de AH OUI OUI, BON DIEU OUI en fond sonore - alors tu squattes chez tes potes tout le temps. // Avec toi, le coup du décolleté pour éviter un ticket fonctionne toujours - après, aller savoir pourquoi tu filerais des tickets, alors que tu bosses a la 24 hein ? Mais t'aimes bien te rincer l'oeil. // T'as pas vraiment de 'genre' en ce qui concerne le beau sexe, mais t'es un fan des courbes. Seins ou fesses, toi tant que y'a de la poigne, tu te portes très bien. De fait, t'as tendance à éviter les femmes enfants, ça te mettrais presque mal d'ailleurs. // Ça fait déjà un an que tu casses les pieds à tout le monde au poste et à la caserne, pour lancer une équipe de foot. Pourquoi tout le monde est grincheux, hein ? // Ton père attend toujours que tu lui ramènes une brave fille et que tu l'épouses, il rêve de devenir papie et à même ouvert un compte d'épargne. Est-ce que tu sens la pression ? Damn right. Est-ce que ça t'encourage à copuler ? Oui, mais en coup d'essai, rien de plus. Faut pas rêver, t'es toi même encore un gros bébé. // Y'a trois ans, tu t'es retrouvé dans un échange de feu entre deux gangs. En ce qui concerne ton père, c'était la faute à pas de chance et même pas celle de ton badge - t'étais pas en service quand c'est arrivé. En réalité, tu comptais passer un deal avec un des gangs et ça a mal tourné, ils ont flairés ton odeur de flic - ils ont reconnu ta belle gueule, surtout - et ont cru que tu essayais de les doubler. De fait, t'y es presque passé. On a du te foutre dans le coma pendant deux mois, le temps de récupérer. Depuis, il te reste quelques cicatrices, de balle mais aussi de chirurgie. Des cercles à gauche, deux sur l'épaule et un près de la hanche. Quelques lignes, courbes ou pas, sur ton flanc gauche ainsi que sur ton bras. Après, c'est pas comme si tu les voyais tout le temps, puisque tout ça est visible dans ton dos - bah oui, ils ont attendus que leur tourne le dos pour tirer, ils sont moins cons que toi. // Tu doutes avoir un jour des gamins, mais en attendant, tu prends grand soin de celui de Suzie, ta binôme. Son petit dernier te sers de neveux favoris, celui que tu kidnappe pour aller au zoo ou manger du mcdo. Après, y'a eu quelques chuchotements autour de vous depuis sa naissance, à savoir s'il ne serait pas le tien, vu tout le temps que tu passes avec le gamin. Sauf qu'il a les yeux noir de son père, voyez-vous. Raté.

max -- i want, i want, i want [BITW]

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