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Preben Nielsen (Aisling)

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Message  Stephy Ven 27 Mai - 13:42



« Pleased to meet you »

« Whatever … »

Preben Nielsen (Aisling) Aeff

    • Surnom : Niels
    • Age : 18 ans
    • Année : Septième année
    • Année d'arrivée : Septième année, il est arrivé cette année, juste après le congé des fêtes.
    • Classe : PHYsique


« Et moi, et moi, et moi... »

« Oh me, Oh my »

La famille Nielsen
    Majoritairement masculine, parce que avec cinq fils ce n’est pas peu dire, elle est dirigée d’une main de fer par papa Nielsen. Les paroles de l’homme sont sacrées et personne n’a le droit ou ne veut, le contredire. Ses colères sont effrayantes et s’il n’est pas du genre violent, il n’a jamais hésité à corriger ses fils. L’éducation des fils Nielsen a toujours été la même, Preben n’y a donc pas échappé non plus, bien qu’il soit le cadet des fils et le favoris de sa mère. Celle-ci est d’ailleurs soumise à son époux et ses fils sont élevés dans une mentalité assez machiste. Les hommes sont aux pouvoirs, ils sont le sexe fort après tout, et les femmes leurs doivent le respect. Preben considère donc, comme ses frères, que son pénis vaut plus que toutes les paires de sein du monde. Une bien triste réalité, parce que si ce défaut peut être vue comme un léger petit défaut, voir drôle pour certaine, il n’en reste pas moins blessant. Encore davantage lorsque l’on considère qu’il le croit réellement et qu’il le fait valoir de temps à autre. Pourtant, si le père Nielsen n’hésite jamais à répéter à ses fils que mettre la main aux fesses d’une femme n’a rien d’un manque de respect mais est plutôt une marque d’intérêt, le cadet n’en est pas aussi certain. C’est là que son respect pour le sexe opposé commence probablement, mais son père vous dirait simplement que Preben à la meilleure gueule de ses fils et qu’il est donc normal qu’il n’est pas à aller aussi loin pour attirer les femmes.
    Le respect des femmes se fait donc silencieusement à la maison et si maman Nielsen a une opinion sur les agissements de ses fils, elle n’a aucun droit de les faires valoir. Son époux est le seul à avoir son mot à dire, c’est aussi simple que ça. Aussi bien dire que les Nielsen sont étroits d’esprit et que la réussite se résume à leur avis, à avoir une jolie petite femme, un travail manuel ou sportif et puis d’être autonome. Il n’y a aucun tabou dans cette famille, sinon celui des sentiments. Ce sont des durs, des vrais ! Ils se permettent donc de parler de tout et de rien, de poser des questions gênantes et de brusquer un peu les autres. Maladroit ? Oui mais ce sont des hommes et rien de moins, sous peine d’être rejeté par leur paternel, la crainte éternelle des cinq fils depuis que le sixième l’a été.


Il était du type populaire
    C’est dans cette catégorie que Niels c’est toujours situé et ce, depuis son adolescence, peut-être même avant. La plupart de ses amis vous diront donc de lui, qu’il est un type marrant, confiant et loyal en amitié. Ses notes ne ce sont jamais situés bien plus haut que la moyenne mais son intérêt poussé pour le sport a toujours su compenser avec ce manque académique. Du genre meneur, il a toujours été à la tête de son groupe d’ami et son charisme n’a d’égal que sa belle gueule. D’ailleurs, c’est de là qu’il tire toute sa confiance et ce, depuis tout petit. Son corps, son apparence et son joli minois, sont ses atouts. Sauf qu’il n’aime pas en abuser et qu’il aime voir au-delà. Enfin, c’est ce qu’il racontait toujours, bien que cela fasse rire ses amis. Ouais, quand on est attirant on peut surement se permettre de jouer le type humble tien ! Mais il y a un revers de la médaille à tout et si le type populaire fait toujours rêver de loin, lorsqu’on s’approche un peu, on réalise souvent que la perfection est loin d’être atteinte. C’est même plutôt le contraire. Et là, la confiance de Preben prend des allures démesurées. Sûr de lui ? Oui, bien entendu mais parfois un peu trop, au point d’en devenir agaçant. Sans parler qu’il a en horreur d’avoir tort. Quant à être marrant, oui probablement mais quand c’est aux dépends des petits gens, donc de quiconque n’appartient pas à son cercle d’ami ou encore, qui n’a pas la même ‘valeur’ que lui, ce n’est plus tellement drôle. Cela dit, il sait très bien qu’il peut devenir blessant mais le vit plutôt bien, une espèce d’insouciance effrontée si on veut. Après tout, le monde n’attend que lui ! Sinon, il a conscience d’être un peu bête, sauf que la plupart des gens ayant tentés de le connaître et qui ont préférés arrêter en chemin, vous diront qu’il est simplement con. Il n’y a rien à ajouter et il l’assume. On ne peut pas tout avoir après tout.
    En résumé, Preben Nielson était une grosse brute sans cervelle, mais avec une belle gueule. Il aurait pu tomber sur pire, non ?


Il est du type frustré
    Depuis que les changements ont débutés, qu’il a commencé à changer réellement, parce que tout a commencé il y a peu de temps, Niels est réellement devenu un jeune homme frustré. Non seulement refuse-t-il catégoriquement d’accepter sa ‘différence’ mais il laisse découler sa colère sur les autres. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’il soit plus brusque avec les autres, coupant même, voir terriblement blessant. Il ne veut pas de ce ‘don’ et a longtemps vécut dans le dénie. Ça ne peut pas lui arriver, impossible, il est un mec normal lui ! Il a crut que ça passerait, après tout il était un peu vieux pour ça non ? Oui mais non et le voilà propulsé dans une école peuplée de monstre, parce que c’est ainsi qu’il considère les autres élèves. Qu’importe qu’il ne soit pas le seul à souffrir, depuis qu’il a comprit qu’il quitterait sa petite vie parfaite et sa futur carrière sportive, il ne fait que geindre sur son propre sort. Seule sa petite personne compte réellement. Il est malheureux mais impossible de laisser celui-ci être découvert, ce serait trop honteux. Son orgueil est trop important, il doit être fort et c’est dans son attitude hargneuse, voir agressive ou à l’opposé et passive, qu’il fait passer le message. Il ne veut pas être là, il c’est même battu un moment pour faire valoir ses droits en tant que monstre de la famille, mais c’était peine perdu.
    Il c’est donc résigné à rejoindre Aisling mais cela ne veut pas dire qu’il en est heureux. Au contraire. Pourtant, malgré toute cette haine et cette colère qu’il a du mal à gérer, il est soulagé de se trouver parmi la classe des physiques. D’accord, il n’est pas prêt de l’avouer et il ne faut pas compter sur lui pour proposer un piquenique de groupe, mais il considère qu’il aurait pu tomber sur pire. S’il ne se sent pas encore de réelle appartenance à son groupe, leur mentalité bonne enfant et jovial, le soulage grandement. Aussi bien dire qu’il aurait franchement mal digéré d’être dans les élémentaristes.

« Don »

« Clear the area »


    • Don : Endurance
    • En détail : C’est tout bête en réalité. Mon ‘don’ me permet simplement de ne pas sentir le temps passer. Je ne suis donc pratiquement jamais fatigué, je n’ai que rarement faim ou soif, le sommeil n’est même plus essentiel dans mon cas. Sauf que voilà, si c’est utile à première vue, c’est en fait très vil comme truc. Je perds parfois le fil du temps, puisque je ne mange pas toujours et ne parlons même pas de mes troubles du sommeil. Parlons d’insomnie oui ! Et ses pertes me rattrape, faut pas croire, hein ! Une semaine sans manger/boire et dormir correctement, et je suis bon pour un séjour à l’hôpital.
    • Maitrise : Aucune. À savoir que je dois me forcer à manger, malgré mon manque d’appétit et que je fais de mon mieux pour boire un peu toutes les heures, si je n’oublis pas. Ce qui est souvent le cas. Quant au sommeil, alors là il me faut un bracelet, sinon c’est mission impossible.
    • Lui & les ELEM : On oubli tout de suite ce plan okay ? Eux et moi, ça ne colleras pas. Ce sont les pires bêtes de foire de l’école. Des jeunes avec des dons pareilles, qui en plus croient que c’est bien et que ça les rends meilleurs ? Je ne veux même pas en croiser un en allant aux toilettes !
    • Lui & les SPE : Okay, ce sont les espèces de pariât de l’école, c’est ça ? C’est pas trop mon genre en toute honnêteté et certain ont des pouvoirs assez… effrayant. Des monstres différents des autres monstres, ça me semble louche. Mais hey, si y’a de l’argent à gagner durant le poker, pourquoi pas !
    • Lui et les PHY : Mon groupe, une bande de joyeux lurons pour la plupart. Je n’arrive pas encore à me sentir des ‘leurs’, mais ils sont plutôt sympa. Les monstres les moins effrayants de l’école à mon avis. Parce qu’ils me ressemblent pour certain, parce qu’ils sont inoffensifs avec leur bracelet ou encore, parce qu’ils sont tellement cons que je vois pas la différence entre nous.
    • Lui et les PSY : Le clan ennemi du mien. En fait je les considère surtout comme des faibles. Pas mal des dons qu’ils ont sont assez banals. Je veux dire, qu’est-ce qu’ils font ici ? À leur place je rentrerais chez moi et j’arrêterais de chialer que je suis anormale. Mais sinon, je n’ai rien contres eux. Même que notre différent m’arrange. Je pourrais me trouver un souffre douleur, non ?


« Tell me baby, what's your story... »

« Getting scared »


Avant d’arriver à Aisling, j’avais une vie parfaite …
J’ai toujours vécu tout près avec ma famille et selon mon père, j’étais le plus prometteur de ses six fils. Le plus beau des Nielsen mais pas nécessairement le plus con, c’était pas mal du tout quand même.
J’ai donc grandis dans une compétition féroce avec mes cinq aînés. Étant le favori de ma mère et le petit protégé de mon père, j’ai toujours su éviter le maximum de baffe. Il suffisait d’écouter ce que papa disait, de blâmer les autres pour les gaffes et le tour était joué. À la maison, la compétition à toujours fait rage et ce, pour tout et rien. Qui était le plus grand, mangeait le plus, pouvait tenir le plus longtemps sans dormir ou la tête à l’envers. Des bêtises qui nous forgeaient le caractère, dans laquelle nous arrivions à devenir quelqu’un de différent et surtout, qui nous occupais. Parce qu’il n’y avait rien de pire pour nos parents, que six enfants turbulent qui s’ennuient. J’avais beau être le plus jeune et donc le plus petit, on ne me faisait pas de faveur. Jamais ! C’était l’une des règles de la maison : tout le monde devait être traité de la même façon. Il n’y avait pas d’exception parce que l’un était plus petit ou que l’autre était plus vieux. Non et c’était injuste à quelque part, mais comme nous étions tous bêtes ça ne nous dérangeaient pas le moins du monde. Les larmes n’étaient bien sûr pas acceptées et les complaintes encore moins, il fallait donc se tenir la tête droite et serrer les dents. Et puis au diable la fraternité, personne ne se serrait les coudes à la maison et c’était comme ça que mon père voulait la chose. À se faire des jambettes, ses fils apprendraient bien à se débrouiller seuls et à toujours se méfier des autres. C’était ça son plan pour faire de nous des hommes autonomes mais surtout, des êtres puissants. Parce que c’était ça, son obsession à lui. Être fort et surpasser tous les autres. Il n’y avait donc rien d’étrange à que nous aussi, progéniture de la bêtise incarnée, soyons tout autant obsédé par cette idée. Et ce n’est que bien plus tard, sous l’œil bienveillant d’une mère écrasée par la virilité exubérante de son époux, que nous avons appris à nous soutenir entre Nielson. Et pourquoi ? Pour apprendre à écraser les autres, parce que le nombre fait la force, parce que nous étions tous frères et finalement, parce que nous étions les plus forts après tout.

En vieillissant, je devins réellement l’exemple. Non seulement étais-je populaire à l’école mais je gagnais toujours les meilleurs postes dans les équipes sportives. Hors, notre famille ne vivait pratiquement que pour cela, le sport. Plus c’était brutal et dangereux, plus mon père était fier. Il n’y avait rien donc d’étonnant à ce que je sois élu quaterback de mon équipe de football américain, un sport que mon père adorait. Mes années au lycée passèrent à une vitesse folle. Entres mes nombreux amis, beaux et populaires aussi, et les filles qui défilaient devant moi, j’ai toujours considéré que le monde m’attendait. J’étais béni des dieux, presque aussi beaux que ceux-ci et j’avais l’embarras du choix. Et pourtant, ce ne fut pas la meneuse de claque en chef que je choisis pour devenir ma petite amie mais une fille toute simple, un choix que mon père ne comprit jamais. Erinna était pourtant une grande partie de mon univers, belle et intelligente, elle avait quelque chose d’adorable et sa timidité me plaisait sincèrement. Je ne l’aimais pas seulement pour ses bouclettes dorées, c’est son esprit et sa légèreté qui m’attirait. Elle riait toujours de mes remarques machos, je crois même qu’elle a toujours cru que je blaguais lorsque j’osais les lancer haut et fort. Son côté superficielle ne me semblait pas aussi présent que sur les autres filles mais c’est probablement là que se trouvait mon erreur. Si mon père la trouvait trop peu attirante physiquement pour se comparer à son fils cadet, il l’acceptait dans la famille sans trop de mal et lorsque j’eus enfin terminé mes études au lycée, prêt à débuter des études avancés en sport, il fut tout naturel que je demande sa main. Après tout, nous nous fréquentions depuis près de quatre ans.

Enfin fiancé et plus heureux que jamais, parce qu’après tout mon rêve de devenir un grand joueur de foot était maintenant à porté de la main, une ombre de dessina au tableau la deuxième semaine de ma rentrée. Une ombre qui prit forme sous mon manque d’appétit. Je n’avais tout simplement pas faim ou très peu, quant à ma soif, envolée ! Mes parents supposèrent que mon nouveau bonheur en était la cause. À être trop heureux, leur fils oubliait la faim et la soif. Ça avait de quoi faire rire mes frères et ont se moquaient sans mal de ma stupidité, comme celle-ci n’avait rien d’étonnant, l’incident fut balayé du revers de la main. Ça passerait. Le mot magique, la belle illusion, tout passe un jour n’est-ce pas ? Nous y avons tous cru mais les jours passèrent et rien ne passa. La faim ne revint pas, la soif non plus et l’envie de dormir me passa aussi. Un bilan auprès de notre médecin ne régla rien, bien entendu et on m’encouragea à me dépenser davantage en cours et au sport. Une très bonne idée selon mon père. Si je courais suffisamment le soir, je serais exténué et ainsi, je cesserais d’inquiéter ma pauvre mère. Comme j’aurais aimé que cette solution soit la bonne, parce que mon plan B, qui était de prier, ne changea rien à la donne. J’étais maintenant maudit, incapable de sentir une quelconque faiblesse et abandonnant tous mes efforts pour dormir et manger, il fut décidé que j’essaierais de vivre avec cette nouvelle force qui me possédait. Une belle erreur oui !

Une semaine plus tard, ce fut à l’hôpital que ma fiancée me retrouva. Je manquais non seulement de sommeil mais le médecin reprocha à mes parents de ne pas me nourrir suffisamment. Un jeune homme de mon âge devait manger au minimum trois fois par jour et avec mes nombreuses séances de sport, à noter que j’avais ajouté deux séances de jogging au tout, je méritais des portions plus que généreuses. Le blâme, lancé sur mon père, fut avalé de travers bien entendu et aussitôt de retour à la maison, c’est sur moi que sa colère retomba. Pourquoi ne pouvais-je pas être normal ? Pourquoi est-ce que je devais lui faire ça ? Il était mon père, il méritait plus de respect et ce fut finalement ma mère qui le calma. Tout rentrerait dans l’ordre, je recommencerais à manger et tout irait bien. J’y crus un moment, Erinna aussi et pendant deux mois, je fus réellement heureux. La faim allait et venait mais au moins elle ne me quittait plus très longtemps, c’était un véritable soulagement. Malheureusement, ça ne pouvait pas durer et vers la mi-décembre, l’insomnie revient avec la disparition de mes besoins essentiels. Le pire fut surement de ne pas être celui qui le réalisa le premier mais bien, Erinna. C’est à partir de là que tout se brisa.

Nous étions seuls chez elle, ses parents étaient chez des amis pour quelques jours et assez âgé pour faire des bêtises, nous avions prévus une petite fête. Fête à laquelle je ne pris pas même la peine d’assister plus de trente minutes. Sans parler que depuis mon changement, mon endurance des derniers mois les effrayaient considérablement. Ça n’avait rien de normal, il fallait bien le dire et le stade de l’admiration ayant été dépassé depuis déjà longtemps, il ne me restait plus qu’une poignée de véritable ami pour m’appuyer. Et tous ceux là s’amusaient et il y avait suffisamment d’alcool pour tenir durant des jours, il était donc temps de grimper à l’étage avec Erinna. Une fois enfermé dans sa chambre, occupés à nous dévorer mutuellement, ce fut mon manque de fatigue qui l’étonna. À croire qu’elle m’avait cruellement manqué au cours des derniers jours ou encore, que cette petite fête me donnait des ailes ! Sans vouloir me vanter, d’accord peut-être un peu, ce fut une longue nuit de plaisir ou elle fut la première à rendre les armes. Épuisée, ce ne fut qu’une fois qu’elle se mit à me supplier de la laisser en paix, qu’elle n’en pouvait tout simplement plus, qu’elle réalisa le changement en ma personne. Je n’étais plus le même, je n’étais plus ‘normal’ et elle se mit à pleurer. Tous les mots doux du monde n’y changèrent rien et elle me pria de la laisser seule. C’était tout simplement terminé, les aveux tombèrent devant mon manque d’obéissance, ce qui ne l’avait jamais dérangé avant ce jour maudit. Je n’étais plus qu’un monstre, elle avait bien tenté de repousser cette idée mais c’était bel et bien le cas. Je n’avais plus faim, elle le savait, ça la tuait de l’intérieur et au final, ma différence était trop grande pour qu’elle puisse l’accepté.

C’est une fois à la maison que je sus que tout ne serait plus jamais pareille. Maman pleurait, papa avait cet air dur au visage et une lettre m’attendait. J’étais prié de rejoindre Aisling, l’école des dingos comme ont aimais tant les appeler dans la famille, à mon retour des vacances. Il n’en était bien sur pas question, comment était-il possible que ma famille consente à m’envoyer là-bas ? Mais il n’y avait rien à redire, j’effrayais déjà mon père et il tint bon, je rejoindrais Aisling dès que le congé du nouvel an serait passé, point à la ligne. C’est donc dans cette idée, de jugement injuste à mon encontre, que j’ai rejoins l’école. Ma mère m’encouragea, je n’avais qu’à serrer les dents pour commencer puis à me montrer coopératif, ils viendraient à bout de ma différence et je redeviendrais normal. Depuis ce jour, elle me visite souvent et m’apporte des nouvelles de mes frères, qui attendent impatiemment mon retour ainsi que de mon père, qui se tue au travail pour oublier le malheur de la famille. Son fils lui reviendra, assurément.

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Message  Stephy Ven 27 Mai - 14:51

NEW VERSION

You know my name.

.
The has been high school hero.
Preben Nielsen (Aisling) Txt9
✂ Surnom : Niels (Ben pour ses proches)
✂ Age : 17 ans
✂ Année : Sixième année.
✂ Année d'arrivée : Sixième année, il est arrivé cette année, juste après le congé des fêtes.
✂ Classe : PHYsique
Supernatural Superserious.

.
A handsome half wit zero.

La famille Nielsen
    Majoritairement masculine, parce que avec cinq fils ce n’est pas peu dire, elle est dirigée d’une main de fer par papa Nielsen. Les paroles de l’homme sont sacrées et personne n’a le droit ou ne veut, le contredire. Ses colères sont effrayantes et s’il n’est pas du genre violent, il n’a jamais hésité à corriger ses fils. L’éducation des fils Nielsen a toujours été la même, Preben n’y a donc pas échappé non plus, bien qu’il soit le cadet des fils et le favoris de sa mère. Celle-ci est d’ailleurs soumise à son époux et ses fils sont élevés dans une mentalité assez machiste. Les hommes sont aux pouvoirs, ils sont le sexe fort après tout, et les femmes leurs doivent le respect. Preben considère donc, comme ses frères, que son pénis vaut plus que toutes les paires de sein du monde. Une bien triste réalité, parce que si ce défaut peut être vue comme un léger petit défaut, voir drôle pour certaine, il n’en reste pas moins blessant. Encore davantage lorsque l’on considère qu’il le croit réellement et qu’il le fait valoir de temps à autre. Pourtant, si le père Nielsen n’hésite jamais à répéter à ses fils que mettre la main aux fesses d’une femme n’a rien d’un manque de respect mais est plutôt une marque d’intérêt, le cadet n’en est pas aussi certain. C’est là que son respect pour le sexe opposé commence probablement, mais son père vous dirait simplement que Preben à la meilleure gueule de ses fils et qu’il est donc normal qu’il n’est pas à aller aussi loin pour attirer les femmes.
    Le respect des femmes se fait donc silencieusement à la maison et si maman Nielsen a une opinion sur les agissements de ses fils, elle n’a aucun droit de les faires valoir. Son époux est le seul à avoir son mot à dire, c’est aussi simple que ça. Aussi bien dire que les Nielsen sont étroits d’esprit et que la réussite se résume à leur avis, à avoir une jolie petite femme, un travail manuel ou sportif et puis d’être autonome. Il n’y a aucun tabou dans cette famille, sinon celui des sentiments. Ce sont des durs, des vrais ! Ils se permettent donc de parler de tout et de rien, de poser des questions gênantes et de brusquer un peu les autres. Maladroit ? Oui mais ce sont des hommes et rien de moins, sous peine d’être rejeté par leur paternel, la crainte éternelle des cinq fils depuis que le sixième l’a été.


Il était du type populaire
    C’est dans cette catégorie que Niels c’est toujours situé et ce, depuis son adolescence, peut-être même avant. La plupart de ses amis vous diront donc de lui, qu’il est un type marrant, confiant et loyal en amitié. Ses notes ne ce sont jamais situés bien plus haut que la moyenne mais son intérêt poussé pour le sport a toujours su compenser avec ce manque académique. Du genre meneur, il a toujours été à la tête de son groupe d’ami et son charisme n’a d’égal que sa belle gueule. D’ailleurs, c’est de là qu’il tire toute sa confiance et ce, depuis tout petit. Son corps, son apparence et son joli minois, sont ses atouts. Sauf qu’il n’aime pas en abuser et qu’il aime voir au-delà. Enfin, c’est ce qu’il racontait toujours, bien que cela fasse rire ses amis. Ouais, quand on est attirant on peut surement se permettre de jouer le type humble tien ! Mais il y a un revers de la médaille à tout et si le type populaire fait toujours rêver de loin, lorsqu’on s’approche un peu, on réalise souvent que la perfection est loin d’être atteinte. C’est même plutôt le contraire. Et là, la confiance de Preben prend des allures démesurées. Sûr de lui ? Oui, bien entendu mais parfois un peu trop, au point d’en devenir agaçant. Sans parler qu’il a en horreur d’avoir tort. Quant à être marrant, oui probablement mais quand c’est aux dépends des petits gens, donc de quiconque n’appartient pas à son cercle d’ami ou encore, qui n’a pas la même ‘valeur’ que lui, ce n’est plus tellement drôle. Cela dit, il sait très bien qu’il peut devenir blessant mais le vit plutôt bien, une espèce d’insouciance effrontée si on veut. Après tout, le monde n’attend que lui ! Sinon, il a conscience d’être un peu bête, sauf que la plupart des gens ayant tentés de le connaître et qui ont préférés arrêter en chemin, vous diront qu’il est simplement con. Il n’y a rien à ajouter et il l’assume. On ne peut pas tout avoir après tout.
    En résumé, Preben Nielson était une grosse brute sans cervelle, mais avec une belle gueule. Il aurait pu tomber sur pire, non ?


Il est du type frustré
    Depuis que les changements ont débutés, qu’il a commencé à changer réellement, parce que tout a commencé il y a peu de temps, Niels est réellement devenu un jeune homme frustré. Non seulement refuse-t-il catégoriquement d’accepter sa ‘différence’ mais il laisse découler sa colère sur les autres. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’il soit plus brusque avec les autres, coupant même, voir terriblement blessant. Il ne veut pas de ce ‘don’ et a longtemps vécut dans le dénie. Ça ne peut pas lui arriver, impossible, il est un mec normal lui ! Il a crut que ça passerait, après tout il était un peu vieux pour ça non ? Oui mais non et le voilà propulsé dans une école peuplée de monstre, parce que c’est ainsi qu’il considère les autres élèves. Qu’importe qu’il ne soit pas le seul à souffrir, depuis qu’il a comprit qu’il quitterait sa petite vie parfaite et sa futur carrière sportive, il ne fait que geindre sur son propre sort. Seule sa petite personne compte réellement. Il est malheureux mais impossible de laisser ce sentiment être découvert, ce serait trop honteux. Son orgueil est trop important, il doit être fort et c’est dans son attitude hargneuse, voir agressive ou à l’opposé et passive, qu’il fait passer le message. Il ne veut pas être là, il c’est même battu un moment pour faire valoir ses droits en tant que monstre de la famille, mais c’était peine perdu.
    Il c’est donc résigné à rejoindre Aisling mais cela ne veut pas dire qu’il en est heureux. Au contraire. Pourtant, malgré toute cette haine et cette colère qu’il a du mal à gérer, il est soulagé de se trouver parmi la classe des physiques. D’accord, il n’est pas prêt de l’avouer et il ne faut pas compter sur lui pour proposer un piquenique de groupe, mais il considère qu’il aurait pu tomber sur pire. S’il ne se sent pas encore de réelle appartenance à son groupe, leur mentalité bonne enfant et jovial, le soulage grandement. Aussi bien dire qu’il aurait franchement mal digéré d’être dans les élémentaristes.
It's the end of the world as we know it.

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♠ ♥ ♣ ♦

✎ Don :
✎ En détail :
✎ Maitrise :
✎ Lui & les ELEM : On oubli tout de suite ce plan okay ? Eux et moi, ça ne colleras pas. Ce sont les pires bêtes de foire de l’école. Des jeunes avec des dons pareilles, qui en plus croient que c’est bien et que ça les rend meilleurs ? Je ne veux même pas en croiser un en allant aux toilettes !
✎ Lui & les SPE : Okay, ce sont les espèces de pariât de l’école, c’est ça ? C’est pas trop mon genre en toute honnêteté et certain ont des pouvoirs assez… effrayant. Des monstres différents des autres monstres, ça me semble louche. Mais hey, si y’a de l’argent à gagner durant le poker, pourquoi pas...
✎ Lui et les PHY : Mon groupe, une bande de joyeux lurons pour la plupart. Je n’arrive pas encore à me sentir des ‘leurs’, mais ils sont plutôt sympa. Les monstres les moins effrayants de l’école à mon avis. Parce qu’ils me ressemblent pour certain, parce qu’ils sont inoffensifs avec leur bracelet ou encore, parce qu’ils sont tellement cons que je ne vois pas la différence entre nous.
✎ Lui et les PSY : Le clan ennemi du mien. En fait je les considère surtout comme des faibles. Pas mal des dons qu’ils ont sont assez banals. Je veux dire, qu’est-ce qu’ils font ici ? À leur place je rentrerais chez moi et j’arrêterais de chialer que je suis anormale. Mais sinon, je n’ai rien contres eux. Même que notre différent m’arrange. Je pourrais me trouver un souffre douleur, non ?
Jolie petite histoire.

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He's a self fulfilling prophesy of Make Believe

Avant d’arriver à Aisling, j’avais une vie parfaite …
J’ai toujours vécu tout près avec ma famille et selon mon père, j’étais le plus prometteur de ses six fils. Le plus beau des Nielsen mais pas nécessairement le plus con, c’était pas mal du tout quand même.
J’ai donc grandis dans une compétition féroce avec mes cinq aînés. Étant le favori de ma mère et le petit protégé de mon père, j’ai toujours su éviter le maximum de baffe. Il suffisait d’écouter ce que papa disait, de blâmer les autres pour les gaffes et le tour était joué. À la maison, la compétition à toujours fait rage et ce, pour tout et rien. Qui était le plus grand, mangeait le plus, pouvait tenir le plus longtemps sans dormir ou la tête à l’envers. Des bêtises qui nous forgeaient le caractère, dans laquelle nous arrivions à devenir quelqu’un de différent et surtout, qui nous occupais. Parce qu’il n’y avait rien de pire pour nos parents, que six enfants turbulent qui s’ennuient. J’avais beau être le plus jeune et donc le plus petit, on ne me faisait pas de faveur. Jamais ! C’était l’une des règles de la maison : tout le monde devait être traité de la même façon. Il n’y avait pas d’exception parce que l’un était plus petit ou que l’autre était plus vieux. Non et c’était injuste à quelque part, mais comme nous étions tous bêtes ça ne nous dérangeaient pas le moins du monde. Les larmes n’étaient bien sûr pas acceptées et les complaintes encore moins, il fallait donc se tenir la tête droite et serrer les dents. Et puis au diable la fraternité, personne ne se serrait les coudes à la maison et c’était comme ça que mon père voulait la chose. À se faire des jambettes, ses fils apprendraient bien à se débrouiller seuls et à toujours se méfier des autres. C’était ça son plan pour faire de nous des hommes autonomes mais surtout, des êtres puissants. Parce que c’était ça, son obsession à lui. Être fort et surpasser tous les autres. Il n’y avait donc rien d’étrange à que nous aussi, progéniture de la bêtise incarnée, soyons tout autant obsédé par cette idée. Et ce n’est que bien plus tard, sous l’œil bienveillant d’une mère écrasée par la virilité exubérante de son époux, que nous avons appris à nous soutenir entre Nielson. Et pourquoi ? Pour apprendre à écraser les autres, parce que le nombre fait la force, parce que nous étions tous frères et finalement, parce que nous étions les plus forts après tout.

En vieillissant, je devins réellement l’exemple. Non seulement étais-je populaire à l’école mais je gagnais toujours les meilleurs postes dans les équipes sportives. Hors, notre famille ne vivait pratiquement que pour cela, le sport. Plus c’était brutal et dangereux, plus mon père était fier. Il n’y avait rien donc d’étonnant à ce que je sois élu quaterback de mon équipe de football américain, un sport que mon père adorait. Mes années au lycée passèrent à une vitesse folle. Entres mes nombreux amis, beaux et populaires aussi, et les filles qui défilaient devant moi, j’ai toujours considéré que le monde m’attendait. J’étais béni des dieux, presque aussi beaux que ceux-ci et j’avais l’embarras du choix. Et pourtant, ce ne fut pas la meneuse de claque en chef que je choisis pour devenir ma petite amie mais une fille toute simple, un choix que mon père ne comprit jamais. Erinna était pourtant une grande partie de mon univers, belle et intelligente, elle avait quelque chose d’adorable et sa timidité me plaisait sincèrement. Je ne l’aimais pas seulement pour ses bouclettes dorées, c’est son esprit et sa légèreté qui m’attirait. Elle riait toujours de mes remarques machos, je crois même qu’elle a toujours cru que je blaguais lorsque j’osais les lancer haut et fort. Son côté superficielle ne me semblait pas aussi présent que sur les autres filles mais c’est probablement là que se trouvait mon erreur. Si mon père la trouvait trop peu attirante physiquement pour se comparer à son fils cadet, il l’acceptait dans la famille sans trop de mal et lorsque j’eus enfin terminé mes études au lycée, prêt à débuter des études avancés en sport, il fut tout naturel que je demande sa main. Après tout, nous nous fréquentions depuis près de quatre ans.

Enfin fiancé et plus heureux que jamais, parce qu’après tout mon rêve de devenir un grand joueur de foot était maintenant à porté de la main, une ombre de dessina au tableau la deuxième semaine de ma rentrée. Une ombre qui prit forme sous mon manque d’appétit. Je n’avais tout simplement pas faim ou très peu, quant à ma soif, envolée ! Mes parents supposèrent que mon nouveau bonheur en était la cause. À être trop heureux, leur fils oubliait la faim et la soif. Ça avait de quoi faire rire mes frères et ont se moquaient sans mal de ma stupidité, comme celle-ci n’avait rien d’étonnant, l’incident fut balayé du revers de la main. Ça passerait. Le mot magique, la belle illusion, tout passe un jour n’est-ce pas ? Nous y avons tous cru mais les jours passèrent et rien ne passa. La faim ne revint pas, la soif non plus et l’envie de dormir me passa aussi. Un bilan auprès de notre médecin ne régla rien, bien entendu et on m’encouragea à me dépenser davantage en cours et au sport. Une très bonne idée selon mon père. Si je courais suffisamment le soir, je serais exténué et ainsi, je cesserais d’inquiéter ma pauvre mère. Comme j’aurais aimé que cette solution soit la bonne, parce que mon plan B, qui était de prier, ne changea rien à la donne. J’étais maintenant maudit, incapable de sentir une quelconque faiblesse et abandonnant tous mes efforts pour dormir et manger, il fut décidé que j’essaierais de vivre avec cette nouvelle force qui me possédait. Une belle erreur oui !

Une semaine plus tard, ce fut à l’hôpital que ma fiancée me retrouva. Je manquais non seulement de sommeil mais le médecin reprocha à mes parents de ne pas me nourrir suffisamment. Un jeune homme de mon âge devait manger au minimum trois fois par jour et avec mes nombreuses séances de sport, à noter que j’avais ajouté deux séances de jogging au tout, je méritais des portions plus que généreuses. Le blâme, lancé sur mon père, fut avalé de travers bien entendu et aussitôt de retour à la maison, c’est sur moi que sa colère retomba. Pourquoi ne pouvais-je pas être normal ? Pourquoi est-ce que je devais lui faire ça ? Il était mon père, il méritait plus de respect et ce fut finalement ma mère qui le calma. Tout rentrerait dans l’ordre, je recommencerais à manger et tout irait bien. J’y crus un moment, Erinna aussi et pendant deux mois, je fus réellement heureux. La faim allait et venait mais au moins elle ne me quittait plus très longtemps, c’était un véritable soulagement. Malheureusement, ça ne pouvait pas durer et vers la mi-décembre, l’insomnie revient avec la disparition de mes besoins essentiels. Le pire fut surement de ne pas être celui qui le réalisa le premier mais bien, Erinna. C’est à partir de là que tout se brisa.

Nous étions seuls chez elle, ses parents étaient chez des amis pour quelques jours et assez âgé pour faire des bêtises, nous avions prévus une petite fête. Fête à laquelle je ne pris pas même la peine d’assister plus de trente minutes. Sans parler que depuis mon changement, mon endurance des derniers mois les effrayaient considérablement. Ça n’avait rien de normal, il fallait bien le dire et le stade de l’admiration ayant été dépassé depuis déjà longtemps, il ne me restait plus qu’une poignée de véritable ami pour m’appuyer. Et tous ceux là s’amusaient et il y avait suffisamment d’alcool pour tenir durant des jours, il était donc temps de grimper à l’étage avec Erinna. Une fois enfermé dans sa chambre, occupés à nous dévorer mutuellement, ce fut mon manque de fatigue qui l’étonna. À croire qu’elle m’avait cruellement manqué au cours des derniers jours ou encore, que cette petite fête me donnait des ailes ! Sans vouloir me vanter, d’accord peut-être un peu, ce fut une longue nuit de plaisir ou elle fut la première à rendre les armes. Épuisée, ce ne fut qu’une fois qu’elle se mit à me supplier de la laisser en paix, qu’elle n’en pouvait tout simplement plus, qu’elle réalisa le changement en ma personne. Je n’étais plus le même, je n’étais plus ‘normal’ et elle se mit à pleurer. Tous les mots doux du monde n’y changèrent rien et elle me pria de la laisser seule. C’était tout simplement terminé, les aveux tombèrent devant mon manque d’obéissance, ce qui ne l’avait jamais dérangé avant ce jour maudit. Je n’étais plus qu’un monstre, elle avait bien tenté de repousser cette idée mais c’était bel et bien le cas. Je n’avais plus faim, elle le savait, ça la tuait de l’intérieur et au final, ma différence était trop grande pour qu’elle puisse l’accepté.

C’est une fois à la maison que je sus que tout ne serait plus jamais pareille. Maman pleurait, papa avait cet air dur au visage et une lettre m’attendait. J’étais prié de rejoindre Aisling, l’école des dingos comme ont aimais tant les appeler dans la famille, à mon retour des vacances. Il n’en était bien sur pas question, comment était-il possible que ma famille consente à m’envoyer là-bas ? Mais il n’y avait rien à redire, j’effrayais déjà mon père et il tint bon, je rejoindrais Aisling dès que le congé du nouvel an serait passé, point à la ligne. C’est donc dans cette idée, de jugement injuste à mon encontre, que j’ai rejoins l’école. Ma mère m’encouragea, je n’avais qu’à serrer les dents pour commencer puis à me montrer coopératif, ils viendraient à bout de ma différence et je redeviendrais normal. Depuis ce jour, elle me visite souvent et m’apporte des nouvelles de mes frères, qui attendent impatiemment mon retour ainsi que de mon père, qui se tue au travail pour oublier le malheur de la famille. Son fils lui reviendra, assurément.
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Preben Nielsen (Aisling) Aeff
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