(fitzwilliam) the victor spoils, the loser learns [TDND]

Stephy Mer 1 Jan - 19:05

FitzWilliam, Bravo
" you can never be perfect and good; the nature of perfection always lies in badness "

nom complet - Fitzwilliam Bravo. Ou comment se foutre de la gueule de son gamin. Fitzwilliam, c'est la faute de Jane Austen - mais surtout, de ta mère. Peut-être même de ton père, bon second - trop con pour dire non. Alors Bravo, oui, ça lui va bien. En attendant, toi tu subis. Tant pis. surnoms - Fitz. Non seulement parce que c'est comme ça que tu te présentes - tu grimaces bien assez quand on prend les présences en classe - mais aussi parce que c'est plus court. Presque cool - mais pas vraiment, t'es réaliste quand même. William. Une vieille habitude familiale, parce que William est un prénom plus acceptable - à comprendre : normal - que Fitzwilliam. Et à chaque fois qu'un membre des Bravo l'utilise, ta mère pose une main sur son coeur - tout ce mélodrame, ça te donnerait presque envie de lui pardonner sa connerie, sauf que non. Brave. Parfois - souvent - suivis d'un « oh oh » avec tes potes. Pour se foutre de ta gueule, parce que c'est devenu un cri d'encouragement. Parce que les gars, c'est cons - t'assume, pourquoi nier hein ? lieu de naissance et âge - Nevada City. Pour le meilleur, mais surtout le pire. Bientôt presque 17 ans que tu patauges ici, que t'avale un peu - pas mal - la tasse. Parce que la ville est trop petite pour la famille Bravo. Que tu rêves de plus, de grand. L'esquive, la fuite, comme un interdit qui pèse dans ton ventre - te pousse vers le fond de la piscine. C'est con d'avoir 16 ans. nationalité et origines - Américain. Majoritairement, du moins. Après, suffit de regarder ta mère pour comprendre qu'une part de sang amérindien coule dans tes veines. à nevada city depuis - qu'on t'a expulsé du ventre maternel. Il était temps de grandir, de déployer tes ailes et de prendre de l'indépendance, semble-t-il. Et comme tu fais pas les choses à moitié, depuis tu rêves de te tirer. T'as des projets plein la tête, mais rien qui concerne Nevada City à long terme - sauf visiter la tombe de tes vieux, un jour. classe à la rentrée 2019 - 11th Grade. La fin toute proche, la liberté qui gueule ton nom, là au bout de la piscine. Encore quelques longueurs et ce sera bon, terminé. situation familiale - On fait semblant que tout va bien. Aka, tes parents ne sont plus ensemble, mais n'arrêtent pas de dire et tout faire pour rester « en bon terme. » Une belle merde, quand on sait que ta mère à tromper ton père avec son frère cadet. Que ton père, au lieu de péter un câble et de s'éloigner d'elle, à préférer jouer « l'adulte mature » et tacher de la comprendre. Ils se disent amis, toi t'appelle ça un mauvais sitcom dans lequel on t'a balancé, sans te demander ton avis. situation financière - Y'a pire. Papa gagne correctement sa vie, électricien de père en fils, il partage son boulot - et ta mère, par le passé - avec son frère. Un jour, ça pourrait t'appartenir, mais c'est un cauchemar que tu cherches à oublier. Effacer. Quant à maman, elle est institutrice. Parce qu'il lui fallait d'autres gamins à aimer, à couver. Que tu es trop indépendant, trop fâché. En bref, tu manques de rien, mais tu déconnes pas non plus. Tu bosses, toi aussi, mais pas pour les Bravo - jamais - non tu bosses à la pharmacie toi. Presque charmant, quand tu tends les sacs plein de comprimé. Presque innocent quand tu files des informations aux parents de tes camarades, parce que le savoir, c'est le pouvoir. Et savoir les bobos de tout le monde ou qu'untel achète beaucoup trop de préservatif, ça peut toujours servir. statut civil - Libre, jusqu'à preuve du contraire. C'est pas que tu fuis les histoires, mais plutôt que tu te donnes jamais vraiment. T'es à la fois pas assez et trop sérieux. Avec toi, ça va soit très vite, soit trop lentement. Alors, évidemment, l'autre a du mal à suivre - toi aussi. Tu sais pas ce que tu veux, que tu dis. T'es trop jeune. Mais au fond, tu sais. Tu préfères nier, parce que c'est impossible. Interdit. Ça t'empêche pas de fantasmer, de te faire du mal, à vouloir sans pouvoir. Sans oser - pas encore. orientation sexuelle - Nord, sud, est et ouest. T'aimes pas trop les étiquettes, encore moins te limiter - tu te fais assez chier sans ça. Rien à faire du sexe de l'autre, qu'il soit défini ou pas, tant que tu peux jouer avec. traits de caractères - D'abord et avant tout, t'es quelqu'un de réaliste, tellement que parfois, t'en deviens pessimiste. Dur, que diront certains - ceux qui ont le luxe de croire aux contes de fée, ouais. T'as de l'ambition, de la volonté aussi et t'aime croire que tu sais où tu vas, quand et comment. Un peu névrosé, c'est vrai, t'es un chouia pointilleux. T'as la sale habitude de chercher les failles dans tous les plans et projets, en fait t'es foutrement exigeant. Envers les autres, mais tout autant - plus en fait - vis-à-vis de toi-même. Tu supportes mal la connerie ou l'absence d'organisation des autres, tu juges facilement ton voisin - après, quand on sait que tu te casse le cul pour pas mal tout, normal hein ? Ouaish. Un peu intolérant, t'es pourtant un gars loyal, quand tu t'attaches à quelqu'un - qu'il / elle le sache, ou pas - c'est pas à la légère. T'es même un type attentionné, qui écoute et observe - t'es pas vraiment timide en fait, tu sais juste la fermer. T'aime faire plaisir à tes gens, veiller sur eux, mais t'hésite pas non plus à les envoyer chier quand ils merdent. Bon, tu manques un peu de tact, les filtres c'est pour ton café, pas pour ta bouche. Évidemment, si tu sais secouer ton monde, tu les défends avec la même passion. Y'a que toi qui ait le droit de les faire chialer, mais faut pas croire que les larmes te font hésiter - jamais. Ça fait moins pisser. T'es un adepte du « ça va passer, t'arrête pas » - mais faut pas suivre ton conseil en voiture, c'est mal de rouler sur les gens, c'est la base quand même. Bref, t'es un brin contrôlant, parfois hautain et assurément égoïste selon les autres, parce que tu sais mieux, parce que t'hésite pas à le dire. Après, faut dire que t'en as rien à foutre de l'avis des autres, qu'on t'aime ou pas, ça t'empêche pas de dormir - ou de les défoncer sur le terrain de lacrosse. Compétitif ? À mort, mais pas mauvais perdant pour autant. avatar - Gavin Leatherwood. groupe - The silvers.

matière préférée - Mathématique. Parce qu’un et un, font et feront toujours deux. C'est logique, prévisible et un peu ton domaine de prédilection. Gamin, on a même dit à tes parents que t'étais une espèce de prodige en la matière. Les maths c'est un langage que tu comprends, que tu connais - les chiffres, ça te réconforte presque, tellement c'est facile et familier. Après, tu t'es aussi entiché du sport, parce que ça te permet de te défouler. De vider tout ce qui va pas. sport préféré - Lacrosse. Y'a deux ans, t'aurais parlé de natation, le truc que tu fais depuis tout gamin. Puis t'as rejoint l'équipe de lacrosse et depuis, c'est « ton truc » comme dit ton père. Ta famille ne rate aucun match, tes parents se réunissant pour gueuler ton nom avec entrain - c'est presque mignon. T'occupes d'ailleurs la position de gardien de but, ce qui n'est pas con quand on sait combien t'es contrôlant et que l’organisation de tout et rien, te fais quasi bander. livre préféré - Children of the Dark de Jonathan Janz. Un roman d'horreur qui t'a marqué. Peut-être parce qu'il a pour héros des adolescents aux parents un peu paumés. Mais le terrible s'y trouvant t'as interpellé. C'est un peu comme de regarder un accident de train, à la fois terrifiant et fascinant. Depuis, les bois te mettent un peu mal à l'aise - même si tu refuses d'en parler ou de l'avouer. artiste préféré - Elderbooke, NF, Arrested Youth, Zayde Wolf. Des artistes qui te font avancer, dès que leur musique te caresse les tympans. T'aime trouver des petits bouts de vérité, de tes propres pensées, à travers leurs textes. Après, ceux qui sont proches de toi connaissent aussi ton amour - presque honteux, vu ton âge et l'absence d'étable près de ta maison - du country. Un truc que tu vis relativement bien, mais que t'expliquera pas. marque de vêtement préférée - Zoo York. C'est pas tant que tes parents refusent de t'offrir des vêtements de grande marque, mais que t'y vois aucun intérêt. Alors normalement tu préfères aller vers Zoo York ou Young & Reckless, abordable mais correct. Y'a que pour tes vêtements de sport, que tu passes à supérieur : là, tu ne jures que par Nike. marque de ton téléphone - Pixel, Google. Parce que t'aime pas Apple, trop de version, trop souvent. Toi, tu gardes longtemps ton matos, mais quitte à changer, tu t'aies fait plaisir. réseau social préféré - Aucun, mais tu trouves l'application météo foutrement utile.

— teen attitude, teen problems.
Tu vis avec - seulement - ton père depuis déjà trois ans. Il aime en rire, considérer la chose avec légèreté : la vie entre célibataire, c'est bien. Mais son refrain t'ennuie, t'emmerde même. Parce que ton père n'est pas heureux, les yeux trop souvent baissés - la peur au ventre, t'as compris, de la solitude ou de te laisser voir combien c'est dur de vivre seul avec un fils. Pire, y'a la façon dont il reprend vie dès que ta mère passe le pas de la porte ou au courant des - trop - nombreux appels qu'il lui passe. Pour lui raconter qu'il a décroché un gros contrat. Parce que t'as refusé de l'appeler pour lui parler de tes notes. Tout simplement envie de savoir comment elle va, ce qu'elle fait. Tu ne peux pas comprendre, ça c'est clair. Alors parfois, ouais, c'est tendu entre vous. C'est difficile de vivre sans elle, ça t'a compris - toi aussi, elle te manque, faut pas croire. Mais t'as plus d'orgueil que lui, plus de fierté. On ne te marche pas dessus en riant.

Puis y'a ta mère, toujours souriante et d'une douceur qui s'agence fichtrement bien à sa faiblesse de caractère. La traitre, que t'aime te répéter. Pas pour moins l'aimer - après tout, toi tu t'en fou de ce qu'elle glisse entre ses cuisses - mais par respect pour ton père. Pour ne pas oublier. Peur de devenir comme elle, de tomber dans la facilité, d'être happé par les désirs d'un(e) autre, de t'y perdre et de finir les mains vides. Parce que t'as vu son petit appartement et que tu doutes qu'elle soit véritablement bien. Elle cuisine trop pour ça, t'apporte une multitude de petit plat. T'aime trop fort, ça t'étouffe quand elle refuse de te lâcher, alors que t'as déjà dit bonne nuit.

T'es un peu froid avec tes parents, mais c'est pour leur bien. Qu'ils comprennent qu'ils merdent encore et encore, depuis l'histoire entre ta mère et ton oncle. C'est pourtant inutile de parler avec eux. Non, ils t'ont plutôt envoyé chez le psy, pour parler. Pour déballer ton sac. Raconter à une inconnue comment tu leur en veux, que t'as peur de devenir un pauvre type insuffisant pour une seule personne. Peur d'être, au contraire, incapable de garder ton froc, quand on te laisse seul avec des inconnus, plus de dix minutes. Sauf que non. Parce que la psy pourrait le leur dire et que ça doit venir de toi, s'ils veulent réellement savoir. Alors t'accumule la frustration, tu recycles tout ça et tu te défonces sur le terrain. Tu donnes tout, quitte à en hurler de rage et à accumuler les pénalités. Idem auprès de tes camarades ou des pompeux de la golden oak. La violence ne règle rien, mais elle permet de souffler un putain de bon coup.

Oh, y'a eu un avant, bien entendu. Où t'étais le fils parfait, bon élève et véritable poisson dans l'eau. On a même parlé de te préparer à un futur possible en natation, les olympiques, rien que ça. Maman avait des étoiles dans les yeux, papa riait avec un air nerveux mais fier. Sauf que c'était pas pour toi, pas avec le divorce, pas avec les larmes et les soupirs. Y'a pas eu de cris chez toi, mais t'aurais préféré. Si t'as toujours été très exigeant envers ta propre personne, la séparation de tes parents t'a rendu tout aussi sévère envers les autres. Eux, ils n'ont pas eu la moyenne. Alors t'as pris du recul de la natation et t'as refusé de rejoindre la golden oak private. Au revoir les beaux rêves à l'odeur de chlore, t'as trouvé autre chose. T'as pris du recul de ta famille, même si tes vieux ont tout fait pour te convaincre que rien ne changerait - comme si tout n'avait pas déjà changé.

Puis y'a les réunions familiales Bravo, un caprice de papi B. Le seul véritable truc, qui n'a jamais changé. Une constante dans vos vies de merde. Avant, c'était marrant, tu te cachais avec les jeunes, aka Remi et vos cousins éloignés, pour faire des bêtises. Mais depuis trois ans, c'est différent. Parce que y'a eu le fameux incident. La soirée pour jeune à laquelle vous aviez tous fuis, les adultes Bravo trop content de vous voir filer. Ton oncle, que tu voulais laisser derrière toi, tellement t'en pouvais plus de voir ton père ravaler sa propre frustration face à son cadet. Puis le regard de Remi, assise en face de toi, alors que la bouteille tournait au centre du cercle que vous formiez tous. Bande de débile, des bébés se croyant grand. Sauf que c'était différent pour elle, pour toi. Que t'as vu ton reflet dans ses grands yeux, que t'as ressenti le même mal-être en elle, quand elle a glissé plus près. Jusque sur toi, tes mains se refermant doucement sur ses hanches. C'était innocent à l'époque, mais ce ne l'est plus depuis longtemps. Pas quand tu rêves de ce moment, la nuit, seul dans ta chambre. Tu ne contentes aujourd'hui plus de la maintenir contre toi, non, tu la dévores. C'est mal, tu sais bien. Sauf que ça ne change rien.

Aujourd'hui tu rêves de te tirer, ce qui explique ton sérieux dans tes études. Même le sport, n'est pas innocent - si tu peux décrocher une bourse, c'est encore mieux. Oh, t'as une place bien au chaud chez les Bravo Électrique, mais c'est hors de question. Ça n'a jamais été, ne sera jamais, ton rêve. Non, tu vois la route devant toi, imagine déjà une université loin de la maison. Trop loin pour des visites surprises de tes parents. Assez loin pour que Remi puisse s'installer sur tes cuisses sans s'inquiéter du regard des autres. Personne pour vous reconnaitre. Personne pour te rappeler que t'es tordu et que c'est la faute de tes parents.

pseudo/prénom - phanie. âge/localisation - plus vieille que toi, c'est certain, en compagnie des caribous. Canada. avis sur le forum - Joli, clair, simple. J'aime beaucoup ! où l'avez-vous connu - C'est Remington qui m'a entrainé ici, quand je lui ai dis avoir envie de rp des petits cons avec elle. prélien ou inventé - inventé

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