Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

(vincze) might be somethin' you'll regret [TDND]

Aller en bas

(vincze) might be somethin' you'll regret [TDND] Empty (vincze) might be somethin' you'll regret [TDND]

Message  Stephy Ven 3 Avr - 18:35



Vincze, Adcock
" Maybe it’s adrenaline, or stupidity, might just be that, might not, anymore. "

nom complet - Vincze, parce que Vincent ça aurait été trop facile. Trop normal. Non, fallait qu'on mêle les racines hongroise à maman dans le tas. Vince, avec un Z. Juste pour faire chier tout le monde, quoi. Adcock, aussi terrible que marrant. Add. Cock. Ouais, tu l'as entendu encore et encore. Ça t'empêche pas de sourire. De pavaner. Presque fier de porter un nom foutrement con.
surnoms - Vince ou Cock, parfois, mais pas souvent. Parce qu'on a encore oublié le Z, fucking aiguille dans une botte de foin. Juste pour rire de ta gueule. La faute au nom. La faute à ta mère, qui reluque toujours. La faute à ta propre connerie, pas si loin de celle de ta mère.
lieu de naissance et âge - Phoenix, Arizona. Même si finalement, t'y a pas passé plus de deux ou trois ans. De vague souvenir de la chaleur et des bikinis colorés de ta mère, ew. 17 ans à courir et rugir, à tout abandonner constamment pour reconstruire. Comète qui flambe dans le sillon chaotique qu'est ta mère et son incapacité à se poser.
nationalité et origines - Américain, merci au sol américain et ton père, à ce qu'il parait. T'as oublié sa gueule avec les années. C'est pas plus mal, vu que lui a oublié de payer l'allocation. Puis y'a la Hongrie, comme une mauvaise blague, celle qui finit avec « ta mère. » Adcock qui lui va comme un gant, femme enfant incapable de se passer du sexe opposé. Pas nécessairement de l'homme qui va avec, cela dit. Fucked up shit.
à nevada city depuis - 2018, suite logique de l'épopée de ta mère, toujours en quête de nouvelles saveurs. Avant ça, c'était Reno et encore avant, Sacramento. Ta mère qui suis l'autoroute pour te trouver un nouveau 'daddy', sans s'intéresser au fait qu'elle te déconstruit toute une vie, une queue à la fois.
classe à la rentrée 2019 - 11th, l'avant dernière. Et pourtant, t'as l'impression que c'est la fin du monde. Parce que c'est leur dernière, à eux. Que sans les gars, t'as peur de partir en vrille. Que sans les gars, ce sera pas pareille. Pas sûr d'y arriver. Pas sûr de graduer... peut-être que tu vas tout lâcher avec eux. La peur au ventre de ne même pas avoir le choix, ta mère cherchant déjà une nouvelle victime à Salt Lake City.
situation familiale - Elle et toi, personne ne compte vraiment, qu'elle dit. Mais au fond, y'en a jamais réellement eu que pour ta mère. Toi, t'es son petit accident chéri qu'elle aime glisser dans ses bagages. Elle avait pas compris qu'un chien, ce serait moins compliqué. C'est pas qu'elle ne t'aime pas, hein. C'est juste qu'au fond, t'as jamais été une priorité. Juste une excuse ou un passe-temps, un petit animal de compagnie à qui elle a appris de super tour. Y'a aucune normalité chez vous, depuis les tenues discutables de ta mère aux regards qu'elle laisse traîner trop longtemps sur Donny ou Mickey. T'aime pas en parler. T'aime pas y traîner. Tu ramènes jamais personne, si tu peux l'éviter. Quant au défilé de 'daddy' qu'elle t'impose, les hommes comme des sucettes qu'elle veut toute goûter, t'as appris à ne plus t'en mêler. Ta mère est une pute, Vincze, c'est un fait. Et au fond, ça ne te fait même plus mal.
situation financière - La faim justifie les moyens, sauf que parfois y'a ton estomac qui se dévore lui-même, tellement l'argent manque. Puis maman se trouve une nouvelle queue et ça va mieux. Elle cuisine, pour lui évidemment, mais tu profites aussi Vincze. De la bouffe et de l'argent du gars, au moins le temps que ça dure. Qu'elle s'agenouille devant lui, rien à foutre que tu sois là ou pas. La dépendance pour maladie, celle à leur entre jambe et au porte-feuille, jamais bien loin du reste. Même région. Et toi tu refuses de la suivre dans ses travers, pas envie de passer ta vie à lécher et pourchasser. Alors t'as trouvé Donny et fait tes preuves. Ton indépendance comme un fucking tiare que tu portes fièrement. Quant à partager avec ta mère, c'est hors de question. La bouffe, d'accord. Mais pas plus. Jamais plus. C'est pas ta pute et tu refuses d'être la sienne.
statut civil - Amoureux, comme un con. Ça fait rire tout le monde, depuis ta mère à tes potes, mais t'en a rien à foutre. Apo est spéciale, toi tu vois plus que son corps phénoménal, c'est pour son âme que tu t'es accroché. Pour son rire que t'es resté. Mommy issues que t'as d'écrit dans le front, le fils d'une putain, qui tombe amoureux d'une autre. Ouais mais non, Apo tu la vois pas comme ça. Y'a pas de parallèle - sauf que si.
orientation sexuelle - Hétéro, sans aucune hésitation d'ailleurs. Parce que t'as déjà essayé, y'a quelques années. Comme un pied de nez à ta mère, psychologie inversée à deux balles : regarde mom, moi aussi je peux me mettre à genoux devant ton copain. Sauf que non, tu peux pas Vincze. T'as même pas pu le mettre dans ta bouche que tu gerbais. Y'a d'ailleurs pas intérêt à ce qu'on te regarde comme ça avec une paire de couille sous le nombril, t'es pas intéressé. Tu peux même devenir violent. Alors que les femmes, c'est tout le contraire. Elles te fascinent, y'a pas photo. T'as même pas de « genre », rien à foutre des cheveux ou des seins, toi tu cherches ce qui palpite dans la poitrine. Romantique ou arriéré ? La limite est flou. Toi t'aimes les ventres creux et les âmes généreuses, c'est tout ce qu'il faut savoir. Toi, t'aimes Apo pis c'est tout.
traits de caractères - Persévérant, Paumé, Résistant, Violent, Loyal, Abrupt, Reconnaissant, se réconforte dans le Déni, Attach(i)ant, trop Intense, Souriant ou Grincheux (pas de juste milieu), Cancre, Débrouillard, Bagarreur, Romantique, Impulsif, Possède un excellent sang-froid, un peu Naïf, Tactile, Hyperactif, Affectueux, vraiment Con quand il s'y met (pour ne pas dire obtus.)
avatar - Hero Fiennes-Tiffin.
groupe - Silver.
matière préférée - Musique et tes doigts qui grattent la guitare, ta voix qui n'ose pas s'élever. Après, faut dire que l'école, c'est compliqué pour toi. Difficile de rester assis longtemps, de ne pas parler avec ton voisin, de ne pas smser Apo ou un gars de la bande. Les études, c'est pas ton fort.
sport préféré - Hockey, sur glace ou cosom, rien à foutre. Toi, tant qu'on te file un bâton et le droit de percuter les corps, t'es heureux. Plus jeune, t'as tenter la ligue de soccer et l'équipe de basketball, mais ça n'a pas fonctionné. Ce n'est pas une question de talent, mais de violence. Y'a que le hockey qui félicite ta rage naturelle.
livre préféré - Les menus de restaurant, pas mal les seuls trucs que tu apprécies sincèrement de lire. Meh.
artiste préféré - Personne. T'as aucune muse, juste des potes et des petits objectifs. Pas de modèle pour toi, pas de grand manitou pour te montrer la marche à suivre. Personne comprend, sinon les gars. Et ce sont pas encore des artistes - pour ça, va falloir faire au moins dix fois ce que vous faites, ouaip.
marque de vêtement préférée - Ce qui te reste de propre, c'est à dire que tu t'en fou. L'argent, c'est sur Apo que tu le met. Sur la bouffe, parce que tu manges comme un ogre - c'est juste con que tu sois pas plus baraqué. Non, toi tu portes des vieux trucs usés, mais pas par toi. Nan, t'aime mieux acheter un t-shirt à 2$ dans un vide grenier, que de dépenser 200$ pour avoir de la gueule. T'es pas « vintage » Vincze, t'es radin, mais au moins t'es propre. Yay you !
marque de ton téléphone - Pixel 4, le tout nouveau, tout beau. Iphone c'est bon pour les cons - une source constante de débat avec les gars, ceux où tu finis par ricaner joyeusement. Ton téléphone pour obsession, celui que t'as toujours à la main, celui qu'on t'arrache parfois pour que t'écoutes, un sourire un peu con en coin. Et ouais, toi t'es de ceux qui troque son modèle actuel, celui qui fonctionne encore très bien, dès la sortie du nouveau.
réseau social préféré - Facebook, pas tant pour y poster, mais pour voir ce que font et racontent les autres. Après tout, on est jamais trop informé, hein.
— teen attitude, teen problems.
Ça a commencé dans le désert, avec ta mère qui c'est fait dessert. Ça lui était encore jamais arrivée, pas d'oublier la capote hein, mais que le sang ne vienne pas. Qu'il le lui ai pris, le beau voleur. Pas seulement les billets qu'elle avait dans son sac, mais aussi sa solitude. Sa liberté. Oh, elle aurait pu avorter, mais elle avait peur. Elle c'est dit que c'était pas plus mal, que ça l'occuperait, qu'elle se sentirait moins seule. Que ça lui ferait quelqu'un pour lui laver les cheveux et lui souffler des mots tendres. T'es pas le fruit de l'amour, ni même de la passion, Vincze. T'es là que parce qu'elle en a brièvement eu envie, parce qu'elle planifiait déjà de t'enchainer à elle. T'es là parce que ta mère avait besoin d'un petit esclave, pour l'aimer et la torcher.

T'avais tout juste trois ans quand vous avez commencé à bouger. Quand elle t'a appris à vivre dans tes bagages. Garde le sac tout prêt, Vincze, parce qu'on sait jamais. Quand on va devoir filer. Quand maman en aura marre du coin. Quand il ne restera plus rien bouffer. T'as le souvenir des chambres de motel poisseuse où elle te cachait parfois, le temps de quelques heures, parfois d'un jour ou deux. Le temps de chasser une nouvelle victime, de lui faire accepter ta présence. Encore aujourd'hui, t'as du mal avec les chambres sans personnalité ou vie, tu fais jamais ton lit. Ça t'angoisse, te rappelle l'attente, la peur qu'elle ne revienne pas. Une menace quotidienne, quand t'écoutais pas. Quand tu tapais du pied. Mauvais Vincze, ferme ta gueule ou maman ne reviendra pas te chercher. Une fois t'as vraiment eu peur, elle a pris trois jours. Tu t'es pissé dessus. Mais après, tout allait bien, parce qu'elle t'a donné un bain en chantonnant puis t'as payé le restaurant. Alors pourquoi t'en rêve encore, hein ? Des fenêtres aux rideaux bordeaux, du lit au couvre-pied doré et à la solitude qui t'écrasais les poumons. Tu préfères pas y penser. Oublier. Refouler qu'on dit, ouais.

Vous avez suivis l'autoroute, vous arrêtant ici et là. T'as toujours préféré les endroits près de l'eau, sans trop savoir pourquoi. Peut-être parce que c'est l'opposé d'où t'es né. Que ça brouille le passé et les moments difficiles. Les « daddy » aux grosses voix, ceux aux mains qui piquent, ceux qui hurlent et font pleurer ta mère. Y'en a pourtant eu plein d'autre en cours de route. Des types louches, d'autres adorables. Des gars que t'évitais, d'autres que tu suivais comme un caneton, dans le vain espoir que ce soit le bon. Ça t'as pris un moment avant de capter que ça n'arriverait jamais. Ta mère, addict aux papillons, le besoin constant d'une nouvelle relation. De mettre le feu au lit et tant pis s'il cogne contre le mur de ta chambre ou que la porte n'est pas entièrement fermée. Suffit de ne pas regarder, de passer devant sans t'attarder. Tu connais les trucs. T'as appris. Même quand elle se balade à moitié à poil, tu vois plus rien Vincze. T'es un bon garçon qu'elle dit, toi t'en es pas si certain.

Et au fil du temps, t'en as eu marre de vivre dans un sac, d'être le fils « format de voyage. » Pratique et sans conséquence. T'en as eu assez de changer continuellement d'endroit, de ne pas pouvoir t'attacher, non pas aux types qu'elle pourchasse, mais aux autres. Quinze ans et même pas le temps de sortir avec une fille plus de quelques mois, que déjà vous bougez. Tu ne sais pas comment les aimer, comment t'y attarder plus de quelques instants. T'as même pas de meilleurs amis, Vincze. Que des noms qui s'empile dans ton facebook. Des gens que tu ne reverras pas, tu le sais au fond. Elle te fait voir le monde, qu'elle dit. Mais elle te pourris surtout la vie. Aucune stabilité. Aucune véritable amitié. Pas de soutient, c'est une fucking vie de chien.

Puis vous avez atterris à Nevada City, sans bonne raison, sinon que la voiture manquait d'essence. Et ta mère à directement flasher sur le mécano. Toi t'attendais que ça passe, mais elle vous a installé en ville, vous à même déniché un appartement. T'as donc repris les cours, ici. Sans trop d'espoir, jusqu'à ce que tu croises leur route. Les big boys. Donny et ses vêtements de marque, Mickey et ses bonnes notes, Cosmo et le chaos qui l'entoure, Volkan et sa nonchalance trop charmante, puis Apo, trop belle et trop bonne, un fantasme de plus dans ta poitrine. Et c'est en les voyant échanger, se protéger ou juste se sourire mutuellement, que t'as commencé à vouloir. À envier, un truc que t'avais encore jamais essayé. Enfin, oui, pour une meuf, mais jamais pour un groupe. Jamais pour une place. Alors tu t'es faufilé, t'as tenté ta chance, prêt à relever les défis. Pas froid aux yeux, hein ? Nope. Dealer pour eux ? Okay, why not. Prendre les coups pour un autre ? Anytime. T'as gagné ta place, Vincze. À la sueur de ton front et avec le sang des autres, même pas peur de faire briller la lame au bout de tes doigts. T'es peut-être petit, mais t'y as mis du coeur. Toute ta fureur.

Marre de vivre comme un SDF, ton sac toujours prêt et ta mère jamais réellement là. Besoin de quelqu'un pour surveiller tes arrières, d'une famille contre laquelle te reposer. Quand bien même t'as jamais su à quoi ça ressemblait vraiment. Jusqu'à eux. À leur mains qui te tapotent le dos et les épaules, à celle qui se pose contre ta nuque. Bien joué gamin. T'es des leurs, alors t'as droit à Apo et tu te fais pas prier. La vague impression, assez conne tien, que c'est un autre test. Le seul que tu réussis pas d'ailleurs, parce que toi tu tombes directement amoureux. Y'a quelque chose en elle qui t'appelle, qui te retiens. Apo qui se fait sirène, les draps pour océan et ses cuisses comme des rochers contre lesquels tu te fracasse. Et même pas envie d'y survivre ou de te vanter de ton épopée à travers ses eaux. Non, toi tu t'amouraches de la belle créature et lui fait la cours, aussi étrange soit le concept pour tous les autres. Y'a pas besoin, tu sais bien, mais toi t'en as besoin. D'elle et de ses bras, ceux toujours grands ouverts. Besoin de sa capacité à tout donner, sans jamais compter, parce que toi tu ne possèdes pas assez.

Après, est-ce que t'espérais réellement que votre histoire ne s’essouffle pas ? Non, évidemment que non. Y'a que Donny et Suri qui font ça - et encore, avec une brioche au four, toi tu vois venir le drame. Un gamin, ça complique toujours tout, hein. Ça sens le roussit, déjà. Mais tu pensais pas que ce serait aussi vite. Tu croyais que ce serait de ta faute, Vincze. Que tu serais assez faible pour la tromper et la perdre. Que t'étais le triste fils de ta mère. Sauf que non. C'est pas toi qui prend du recul d'Apo, c'est elle, qui te file entre les doigts. Qui se défile et y'a la rage qui monte, à mesure que votre joli bateau prend l'eau. Le hic, c'est que toi, tu sais pas nager. Que tu t'es toujours entêté à ne pas apprendre. Qu'est-ce qui se passe, hein Vincze ? Tu sais pas, mais tu vas régler le truc, peu importe qui tu dois aller secouer ou entailler. Parce que oui, la violence résout un max de truc, faut pas croire.


admit it - life would be so boring without me | relationships
suck to be you - Apo a changée, c'est un fait, mais Vincze est convaincu que c'est de ta faute. Qu'il se passe un truc entre vous. Quoi, il est pas encore certain. C'est récent et c'est ce qui explique qu'il ne t'as pas encore chopé. Pour l'instant, il t'observe mais au moindre faux pas - et il en faut peu hein, suffit de regarder Apo plus de deux secondes - il te sautera dessus. Tu lui a fais quoi à Apo, hein ?! Bien ou mal, t'es mal fichu. -- (libre)
blurred lines - Évidemment que Vincze il aime Apo, même si ça tire de la patte entre eux actuellement. Mais toi, t'es le démon. La vieille, la sale, la mauvaise habitude qui rôde pas loin. L'envie de foutre ses doigts partout sur toi. Peut-être même de se venger d'Apo - à moins que ce soit toi, ça ? Vincze il comprend rien, juste que c'est pas possible de rester seul avec toi. Que c'est risqué, alors il évite. Et pourtant, il revient toujours Vincze, le sourire en coin et la peur au ventre. -- (libre)


pseudo/prénom - bat'phanie / steph. âge/localisation - 32 / québec. avis sur le forum - :uknow: où l'avez-vous connu - c'est toujours la faute de ohwelld. :red: prélien ou inventé - prélien "vincente corleone" de @"Donny Ryder"
réserver son avatar : Hero Fiennes-Tiffin (27.02)
Stephy
Stephy
charming anti-PRINCE

Nombre de messages : 906
Date d'inscription : 30/05/2007

http://www.folio-graphiques.fr/comptes/Chewy/index.php

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum